À l’épreuve de l’idéal
Depuis que la boîte à dépêches autorise les jugements préventifs et les exécutions numériques, le libre arbitre n’est plus un préalable, mais une excuse.
Le trop de temps à perdre gagne par abandon de l’adversité et par mimétisme du divertissement.
Quand les choses reflètent plus les gens qu’elles ne les relatent, les faits divers concèdent aux croyances populistes l’inutilité d’un raisonnement isolé.
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