Les 316 propositions du rapport passent en revue un très grand nombre de thèmes, avec une large place faite à l'enseignement, au développement durable, à l'innovation, au marché du travail ou encore aux mesures en faveur des petites et moyennes entreprises.
Le rapport fixe également comme objectif de réduire de 20 milliards d'euros par an la part des dépenses publiques dans le produit intérieur brut (PIB) pendant cinq ans.
Il prévoit une réduction de la dette publique à 55% du PIB, contre 64,2% prévu pour fin 2007.
"Je veux dire que j'adhère à l'essentiel de vos conclusions", a déclaré Nicolas Sarkozy en recevant à l'Elysée ce rapport d'une commission composée de 43 experts de diverses nationalités et dirigée par Jacques Attali, ancien conseiller du président socialiste François Mitterrand.
M. Attali, qui voit dans ce rapport une "chance unique de réformer", a préconisé sa mise en oeuvre intégrale et rapide, dans une "fenêtre de tir étroite" sans échéances électorales, entre avril 2008 et juin 2009.
Le "rapport Attali" propose des recettes censées faire gagner un point à la croissance française, actuellement autour de 2%, objectif sur lequel s'est engagé le chef de l'Etat.
"Ce rapport a le mérite d'être là, a déclaré, de son côté, Ségolène Royal . Il faut avoir l'honnêteté intellectuelle de regarder les propositions mises sur la table".
"Je pense que tout ce qui va dans le sens du déblocage de ce qui freine l'initiative doit être pris en considération", a jugé la présidente du Conseil régional Poitou-Charentes.
"La France a besoin de réformes. Ce rapport a été fait pour aider la France et moi, je veux aider la France", a-t-elle déclaré.
Le rapport fixe également comme objectif de réduire de 20 milliards d'euros par an la part des dépenses publiques dans le produit intérieur brut (PIB) pendant cinq ans.
Il prévoit une réduction de la dette publique à 55% du PIB, contre 64,2% prévu pour fin 2007.
"Je veux dire que j'adhère à l'essentiel de vos conclusions", a déclaré Nicolas Sarkozy en recevant à l'Elysée ce rapport d'une commission composée de 43 experts de diverses nationalités et dirigée par Jacques Attali, ancien conseiller du président socialiste François Mitterrand.
M. Attali, qui voit dans ce rapport une "chance unique de réformer", a préconisé sa mise en oeuvre intégrale et rapide, dans une "fenêtre de tir étroite" sans échéances électorales, entre avril 2008 et juin 2009.
Le "rapport Attali" propose des recettes censées faire gagner un point à la croissance française, actuellement autour de 2%, objectif sur lequel s'est engagé le chef de l'Etat.
"Ce rapport a le mérite d'être là, a déclaré, de son côté, Ségolène Royal . Il faut avoir l'honnêteté intellectuelle de regarder les propositions mises sur la table".
"Je pense que tout ce qui va dans le sens du déblocage de ce qui freine l'initiative doit être pris en considération", a jugé la présidente du Conseil régional Poitou-Charentes.
"La France a besoin de réformes. Ce rapport a été fait pour aider la France et moi, je veux aider la France", a-t-elle déclaré.
A lire également: