Que Mr Lang soit injurieux à l'égard du corps diplomatique mériterait une réponse cinglante du Président Sarkozy, chef de la diplomatie française et une vraie mise au point de Mr Bernard Kouchner, s'il n'avait lui-même été victime de la fausse ouverture de la nouvelle ère. En 1958, de Gaulle avait ouvert, en prenant Mollet, Schuman, Boullache, Pinay, leaders de grandes formations politiques. Avec Kouchner, Besson ou Lang, on est aujourd'hui dans l'ersatz. Si Allègre les rejoignait, nous serions carrément dans la contre-façon. Pauvres gauches, où sont les grandes voix qui auraient dû s'élever notamment dans l'affaire glauquissime de l'amendement Hortefeux-Mariani sur l'ADN. Le pacte d'actionnaire chez EADS, prévu à l'époque de DSK sous Jospin Premier Ministre, n'est pas non plus à la gloire des socialistes!
Les camarades de gauche se rassurent en pensant que Bertrand Delanoë resterait non seulement maire de Paris mais pourrait ensuite dans la foulée conquérir, tel le Mitterrand d'Epinay, l'appareil du PS, et devenir ensuite Président des Etats-Unis du monde. Quo non ascendet? Bien sur, Françoise de Panafieu surnommée naguère « la pintade à roulette », lorsqu'elle combattait avec Seguin et Sarkozy Jean Tiberi, ne semble pas capable de réunir ses forces avec celles de l'urologue sympathique et mondain, député du 16ème arrondissement, Bernard Debré.
De façon évidente, celui-ci a pourtant le soutien du Président de la République et de son entourage. Henri Guaino va sûrement se présenter dans le 5ème, comme la dernière fois, maintenant que David Martinon a été nommé - comme naguère à Paris d'Ornano de Deauville par Giscard- maire de Neuilly! Et si tout à coup les électeurs comme dans toute bonne démocratie s'éveillaient à la vie. En 1977 Chirac battit durement, dans la capitale, Michel d'Ornano et Giscard. En 2007 les Parisiens commencent peut-être à se lasser des effervescences et de l'esbrouffe «genre paillette» de Bertrand Delanoë. David à Neuilly et Bébert à Paris pourraient bien être renvoyés à leurs travaux domestiques. Les électeurs n'aiment guère les nominés, nommés et élus d'avance. Le fait que, dans sa complexité politicienne le Président Sarkozy semble souhaiter que Delanoë demeure maire de Paris ne conviendra évidemment pas aux électeurs de Paname dont les habitudes sont souvent libertaires.
Si Delanoë apparaissait par trop « porteur de valises » du Président Nicolas, comme dirait son ancien adversaire Jack Lang, alors que les Parisiennes et les Parisiens, fatigués des embouteillages, de la saleté et du manque de logement le renverraient peut-être même à Bizerte.
Les camarades de gauche se rassurent en pensant que Bertrand Delanoë resterait non seulement maire de Paris mais pourrait ensuite dans la foulée conquérir, tel le Mitterrand d'Epinay, l'appareil du PS, et devenir ensuite Président des Etats-Unis du monde. Quo non ascendet? Bien sur, Françoise de Panafieu surnommée naguère « la pintade à roulette », lorsqu'elle combattait avec Seguin et Sarkozy Jean Tiberi, ne semble pas capable de réunir ses forces avec celles de l'urologue sympathique et mondain, député du 16ème arrondissement, Bernard Debré.
De façon évidente, celui-ci a pourtant le soutien du Président de la République et de son entourage. Henri Guaino va sûrement se présenter dans le 5ème, comme la dernière fois, maintenant que David Martinon a été nommé - comme naguère à Paris d'Ornano de Deauville par Giscard- maire de Neuilly! Et si tout à coup les électeurs comme dans toute bonne démocratie s'éveillaient à la vie. En 1977 Chirac battit durement, dans la capitale, Michel d'Ornano et Giscard. En 2007 les Parisiens commencent peut-être à se lasser des effervescences et de l'esbrouffe «genre paillette» de Bertrand Delanoë. David à Neuilly et Bébert à Paris pourraient bien être renvoyés à leurs travaux domestiques. Les électeurs n'aiment guère les nominés, nommés et élus d'avance. Le fait que, dans sa complexité politicienne le Président Sarkozy semble souhaiter que Delanoë demeure maire de Paris ne conviendra évidemment pas aux électeurs de Paname dont les habitudes sont souvent libertaires.
Si Delanoë apparaissait par trop « porteur de valises » du Président Nicolas, comme dirait son ancien adversaire Jack Lang, alors que les Parisiennes et les Parisiens, fatigués des embouteillages, de la saleté et du manque de logement le renverraient peut-être même à Bizerte.