Charles Pieri, 59 ans, qui a demandé sa libération conditionnelle, pourrait donc sortir de prison dans les prochains mois.
Selon l'accusation, Charles Pieri a bénéficié d'une grande partie des 28.838 euros facturés à des chefs d'entreprise par la société Corse Nettoyage Entretien (CNE), dont Pieri était le dirigeant de fait, alors qu'aucune prestation n'aurait été fournie.
Son épouse, Antonia Marty-Dessus, et Jacques Mosconi, un de se proches, dirigeants de droit de CNE, ont écopé de quatre et six mois avec sursis. Les deux chefs d'entreprise, Jean-Thomas Trojani et Mathieu Verdier, ont été condamnés à douze mois et un mois avec sursis.
Dans un autre volet, non terroriste, de ce dossier, le responsable présumé d'un système de surfacturation mis en place lors de la construction par SIIF Energie, filiale d'EDF, de fermes éoliennes dans le Cap Corse, André Allègre, a écopé de trois ans dont deux avec sursis et 100.000 euros d'amende.
Près de 10% des 15,4 millions d'euros du marché des éoliennes, auraient été détournés. Le juge d'instruction Philippe Courroye avait soupçonné un moment que cet argent a pu servir pour financer les groupes clandestins armés en Corse. Un soupçon que l'enquête n'a pas permis d'étayer.
Source: Asociated Presse via Yahoo News
Selon l'accusation, Charles Pieri a bénéficié d'une grande partie des 28.838 euros facturés à des chefs d'entreprise par la société Corse Nettoyage Entretien (CNE), dont Pieri était le dirigeant de fait, alors qu'aucune prestation n'aurait été fournie.
Son épouse, Antonia Marty-Dessus, et Jacques Mosconi, un de se proches, dirigeants de droit de CNE, ont écopé de quatre et six mois avec sursis. Les deux chefs d'entreprise, Jean-Thomas Trojani et Mathieu Verdier, ont été condamnés à douze mois et un mois avec sursis.
Dans un autre volet, non terroriste, de ce dossier, le responsable présumé d'un système de surfacturation mis en place lors de la construction par SIIF Energie, filiale d'EDF, de fermes éoliennes dans le Cap Corse, André Allègre, a écopé de trois ans dont deux avec sursis et 100.000 euros d'amende.
Près de 10% des 15,4 millions d'euros du marché des éoliennes, auraient été détournés. Le juge d'instruction Philippe Courroye avait soupçonné un moment que cet argent a pu servir pour financer les groupes clandestins armés en Corse. Un soupçon que l'enquête n'a pas permis d'étayer.
Source: Asociated Presse via Yahoo News
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