A première vue, l'économie américaine est en pleine forme. La croissance a été, hier, revue à la hausse, à 4,9 % contre 3,9 %, initialement prévu, au troisième trimestre.
Jamais, depuis la même période de 2003, les Etats-Unis n'avaient connu une activité aussi soutenue. Cette performance a été obtenue grâce à la reconstitution des stocks par les entreprises et au maintien de la consommation des ménages.
Mais, pour les économistes, il s'agit là des derniers feux de la croissance. Pour eux, le quatrième trimestre sera nettement moins brillant, compte tenu de la crise financière et du marasme immobilier.
Certains, prévoyant une baisse des taux de la Fed, le 11 décembre prochain, évoquent même une récession en 2008. Hier, la Maison-Blanche a abaissé ses prévisions de croissance à 2,7 % pour 2008 contre 3,1 % auparavant.
Wall Street a clôturé en très légère progression tandis qu'à Paris l'indice CAC 40 a terminé en hausse de 0,66 %. Le billet vert s'est requinqué, l'euro ayant reculé à 1,4766 dollar.
Jamais, depuis la même période de 2003, les Etats-Unis n'avaient connu une activité aussi soutenue. Cette performance a été obtenue grâce à la reconstitution des stocks par les entreprises et au maintien de la consommation des ménages.
Mais, pour les économistes, il s'agit là des derniers feux de la croissance. Pour eux, le quatrième trimestre sera nettement moins brillant, compte tenu de la crise financière et du marasme immobilier.
Certains, prévoyant une baisse des taux de la Fed, le 11 décembre prochain, évoquent même une récession en 2008. Hier, la Maison-Blanche a abaissé ses prévisions de croissance à 2,7 % pour 2008 contre 3,1 % auparavant.
Wall Street a clôturé en très légère progression tandis qu'à Paris l'indice CAC 40 a terminé en hausse de 0,66 %. Le billet vert s'est requinqué, l'euro ayant reculé à 1,4766 dollar.