Le numéro un libyen Mouammar Kadhafi est arrivé mardi à 11H45 à l’Assemblée nationale, dont il a rencontré le président Bernard Accoyer, avant une réception boycottée par la gauche mais aussi une partie de la majorité.
En visite officielle en France, Mouammar Kadhafi devait rester environ une heure dans l’enceinte du Palais-Bourbon mais il ne s’exprimera pas, malgré le souhait qu’il avait exprimé, dans l’hémicycle comme cela est parfois le cas de certains chefs d’Etat (Bill Clinton, Abdelaziz Bouteflika, Juan Carlos d’Espagne...).
Echarpe noire, cape noire, costume noir sur chemise verte avec un badge lui aussi vert en forme de carte d’Afrique, le leader libyen est arrivé dans une limousine blanche, accueilli dans la cour par M. Accoyer, la garde républicaine à pied étant placée de part et d’autre d’un tapis rouge.
Sur le perron de l’Hôtel de Lassay, résidence officielle du président de l’Assemblée, les honneurs lui ont été rendus par une compagnie d’infanterie. MM. Kadhafi et Accoyer se sont ensuite serré la main devant les drapeaux des deux pays dans le vestibule de la résidence.
Les deux hommes se sont ensuite rendus dans le petit salon pour un entretien programmé pour une quinzaine de minutes. M. Accoyer a indiqué dans la matinée qu’il aborderait avec le chef de la Jamahiriya libyenne la question du «cheminement» de Tripoli vers la démocratie.
M. Kadhafi rencontrera ensuite plusieurs responsables parlementaires dans la salle des Fêtes, parmi lesquels le président du groupe d’amitié France-Libye, Patrick Ollier (UMP), le président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Axel Poniatowski.
«La démocratie contamine les autres Etats, c’est quand on se parle qu’on résout les problèmes», a justifié Renaud Muselier, ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères.
Les députés de gauche (PS, PCF, Radicaux et Verts), eux, boycottent la réception.
«L’Assemblée nationale, ce n’est pas n’importe quel lieu, c’est l’institution parlementaire qui s’inscrit dans une longue tradition des droits de l’Homme. Il est important de rappeler nos valeurs. Je regrette profondément cette visite et nous continuerons de protester», a déclaré, peu avant l’arrivée de M. Kadhafi, le patron des députés PS, Jean-Marc Ayrault.
Des députés UMP invités ont également annoncé leur intention de boycotter cette rencontre.
En visite officielle en France, Mouammar Kadhafi devait rester environ une heure dans l’enceinte du Palais-Bourbon mais il ne s’exprimera pas, malgré le souhait qu’il avait exprimé, dans l’hémicycle comme cela est parfois le cas de certains chefs d’Etat (Bill Clinton, Abdelaziz Bouteflika, Juan Carlos d’Espagne...).
Echarpe noire, cape noire, costume noir sur chemise verte avec un badge lui aussi vert en forme de carte d’Afrique, le leader libyen est arrivé dans une limousine blanche, accueilli dans la cour par M. Accoyer, la garde républicaine à pied étant placée de part et d’autre d’un tapis rouge.
Sur le perron de l’Hôtel de Lassay, résidence officielle du président de l’Assemblée, les honneurs lui ont été rendus par une compagnie d’infanterie. MM. Kadhafi et Accoyer se sont ensuite serré la main devant les drapeaux des deux pays dans le vestibule de la résidence.
Les deux hommes se sont ensuite rendus dans le petit salon pour un entretien programmé pour une quinzaine de minutes. M. Accoyer a indiqué dans la matinée qu’il aborderait avec le chef de la Jamahiriya libyenne la question du «cheminement» de Tripoli vers la démocratie.
M. Kadhafi rencontrera ensuite plusieurs responsables parlementaires dans la salle des Fêtes, parmi lesquels le président du groupe d’amitié France-Libye, Patrick Ollier (UMP), le président de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Axel Poniatowski.
«La démocratie contamine les autres Etats, c’est quand on se parle qu’on résout les problèmes», a justifié Renaud Muselier, ancien secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères.
Les députés de gauche (PS, PCF, Radicaux et Verts), eux, boycottent la réception.
«L’Assemblée nationale, ce n’est pas n’importe quel lieu, c’est l’institution parlementaire qui s’inscrit dans une longue tradition des droits de l’Homme. Il est important de rappeler nos valeurs. Je regrette profondément cette visite et nous continuerons de protester», a déclaré, peu avant l’arrivée de M. Kadhafi, le patron des députés PS, Jean-Marc Ayrault.
Des députés UMP invités ont également annoncé leur intention de boycotter cette rencontre.
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