Tribune Libre
23/03/2022 10:23

​Comment les grandes revues médicales fabriquent une fausse science des vaccins

En juin 2021, un journal médical de bon niveau, Vaccines, a publié une étude explosive sur les vaccins anti-Covid.

Les auteurs ont examiné les morts suspectes liées à ces vaccins (signalées à la pharmacovigilance) et concluent :

« Pour 3 morts prévenues par la vaccination, nous devons accepter 2 morts causées par le vaccin. Cette absence de bénéfice clair devrait conduire nos gouvernements à repenser leur politique vaccinale »[1]


En juin 2021, un journal médical de bon niveau, Vaccines, a publié une étude explosive sur les vaccins anti-Covid.
 
Les auteurs ont examiné les morts suspectes liées à ces vaccins (signalées à la pharmacovigilance) et concluent :
 
« Pour 3 morts prévenues par la vaccination, nous devons accepter 2 morts causées par le vaccin. Cette absence de bénéfice clair devrait conduire nos gouvernements à repenser leur politique vaccinale »[1].
 
Ce bilan est catastrophique – et contraire à la propagande politico-médiatique sur ces vaccins présentés comme « sûrs et efficaces ».
 
Résultat : quelques jours seulement après sa parution, cette étude a été rétractée.
 

Cela veut dire que le journal médical, qui avait pourtant validé le contenu de l’article, l’a subitement retiré, sans donner d’explication valable[2].
 
Il n’y avait pas d’erreur de calcul. La méthodologie était parfaitement défendable[3].
 
Mais ses conclusions étaient inacceptables « politiquement » – il fallait donc qu’il disparaisse.
 
Même histoire, trois mois plus tard, en septembre 2021.
 
Cette fois, l’étude est pourtant moins « explosive »… et l’un de ses auteurs principaux est un professeur de médecine de renommée mondiale.
 
Il s’agit du Dr Peter McCullough, un cardiologue et épidémiologiste ayant publié plus de 650 études scientifiques, dont une cinquantaine sur la Covid-19.
 
Dans cette nouvelle étude, le Dr McCullough montre que les myocardites causées par les vaccins sont beaucoup plus fréquentes qu’on ne le pensait[4].
 
Selon ses calculs, réalisés sur des données canadiennes, le vaccin multiplierait par 19 le risque de myocardite pour les enfants de 12 à 15 ans.
 
Cette étude très sérieuse avait elle aussi passé le processus de validation normal (peer-review).
 
Mais l’éditeur de la revue, Elsevier, a brutalement retiré l’étude, sans expliquer pourquoi… et sans même en informer les auteurs !
 
Conséquence : un mois plus tard, l’autorité de santé américaine a pu approuver les vaccins Covid pour les 5-11 ans, sans avoir à prendre en considération les conclusions alarmantes de cette étude – car elle « n’existait plus ».
 
« C’est une tentative de censure », s’est exclamé le Dr McCullough. « Elsevier (l’éditeur) essaie illégalement de censurer un article au moment précis où il a le plus besoin d’être lu »[5].
 
Peut-on faire confiance au « consensus scientifique », dans ces conditions ?
 
Si les revues scientifiques refusent de publier les études et articles critiques vis-à-vis des vaccins, peut-on encore croire à la « science vaccinale » ?
 
Non, et c’est une raison supplémentaire pour moi de ne pas participer à la religion du dieu Vaccin.
 
Le problème n’est pas seulement que Big Pharma finance des études scientifiques « biaisées » en faveur de la vaccination…
 
… le problème est aussi que les journaux scientifiques n’hésitent pas à censurer les études critiques et à orienter la science vaccinale !
 
Et malheureusement, cela ne date pas des vaccins Covid, loin de là :
 
Avant le Covid, une étude explosive sur les dangers de l’aluminium vaccinal avait été brutalement censurée
 
Vous vous souvenez peut-être de l’affaire sidérante des « moutons espagnols »[6].
 
C’était en 2009, en Espagne : de nombreux moutons sont alors frappés d’une étrange maladie neurologique.
 
Certains ont des « trous » dans leur laine, signe qu’ils se mordent entre eux. D’autres sont léthargiques, prostrés, ou encore agités et tremblants.
 
Pour éclaircir ce mystère, on fait appel au Pr Lluís Luján, un médecin vétérinaire universitaire très respecté.
 
Très vite, ce chercheur réalise que cette maladie étrange vient très probablement d’une campagne de vaccination contre le virus de la « langue bleue » chez les moutons[7].
 
De fait, trois nouveaux vaccins contenant de l’aluminium avaient été injectés aux moutons espagnols, en moins d’un mois.
 
Après avoir réalisé de nombreux travaux montrant que ces vaccins sont coupables, le Pr Lluís Luján finit par publier la preuve ultime, fin 2018[8].
 
Avec son équipe, il a réalisé une sorte « d’essai clinique » sur 21 moutons :
 
Un groupe de moutons a reçu une injection d’eau salée (placebo) ;
Un groupe de moutons a reçu une injection d’aluminium seul ;
Un groupe de moutons a reçu une injection de vaccin contenant de l’aluminium.

Et les résultats sont nets : les moutons qui développent les fameux symptômes neurologiques (hyperexcitations, comportements agressifs, états de prostration, etc.) sont bien ceux qui ont reçu de l’aluminium.
 
C’est la preuve que l’injection d’aluminium peut créer une grave inflammation du cerveau.
 
Et si des vaccins peuvent causer ce problème chez de gros mammifères comme les moutons, c’est qu’ils comportent peut-être les mêmes risques pour l’être humain.
 
Cette étude était donc une catastrophe pour tous ceux qui disaient que l’aluminium des vaccins ne posait aucun danger.
 
Alors, voici ce qui s’est passé ensuite.
 
Un « anonyme » a envoyé une lettre à l’éditeur de la revue (Pharmacological Research, du groupe Elsevier – retenez bien ce nom, Elsevier, déjà mentionné plus haut), et cela a suffi pour que la revue décide de retirer cette étude !
 
Cette fois encore, le Pr Luján et son équipe n’avaient commis aucune erreur. La méthodologie était sérieuse, fiable.
 
Mais sans la moindre raison valable, l’éditeur a décidé de retirer l’étude[9].
 
Pour le Pr Luján, qui n’avait jamais émis de critique sur les vaccins avant cette affaire, la situation est grave :
 
« Le plus grand dogme du 21ème siècle, est que les vaccins sont totalement sans danger. Qu’il ne peut jamais rien se passer de mal, jamais.
 
C’est pourquoi nous sommes visés. Ils veulent nous envoyer un message : ne mettez pas le nez dans nos affaires. Travaillez sur autre chose. Ils veulent que nos recherches disparaissent »[10].
 
Mais qui sont « ils » ?
 
Pourquoi des revues médicales, qui devraient être neutres, se comportent-elles ainsi ?

 
Choc : voici comment les revues scientifiques sont liées à Big Pharma
 
Pour comprendre ce qui se passe, il suffit de « suivre les flux d’argent ».
 
En commençant par les revenus issus de la publicité.
 
Comme vous le savez sans doute, beaucoup de revues grand public de santé « alternative »  ne contiennent pas la moindre publicité.
 
C’est une question d’indépendance : ces revues ne veulent pas risquer d’être influencées par qui que ce soit, pas même par des herboristeries irréprochables.
 
La totalité des recettes de ces revues vient des abonnements de leurs lecteurs, ce qui leur donne une grande indépendance éditoriale.
 
Naïvement, on pourrait s’attendre à ce qu’il en soit de même pour les grands journaux médicaux : The Lancet, The New England Journal of Medicine (NEJM), The JAMA, The British Medical Journal, etc.
 
Ce serait d’autant plus logique que des politiques entières de santé publique se basent sur ce qui est publié dans ces journaux – en France comme dans le monde entier !
 
Et pourtant, dans les faits, ces journaux sont intimement liés aux intérêts de Big Pharma.
 
D’abord parce qu’ils acceptent d’insérer dans leurs colonnes des publicités pour l’industrie pharmaceutique.
 
Mais surtout, parce que ces journaux médicaux pratiquent sans retenue le système très lucratif du « retirage ».
 
Voici comment cela fonctionne : dès qu’un de ces journaux publie une étude positive sur un médicament, le fabricant achète des milliers d’exemplaires de l’édition concernée[11] !
 
Or, le retirage massif d’un seul numéro peut générer jusqu’à 2 millions d’euros de chiffre d’affaires pour la revue !
 
Ce n’est pas rien, quand on sait que le chiffre d’affaires annuel de The Lancet est de 40 millions de dollars[12] (et celui du NEJM de 100 millions).
 
Au total, on estime que ces « retirages » représentent jusqu’à un tiers des recettes de ces journaux[13] !
 
C’est d’autant plus significatif que ces recettes ont un taux de marge d’au moins 80 % (car cela ne coûte rien de ré-imprimer)[14].
 
Bref, ces retirages commandés par Big Pharma font gagner énormément d’argent aux journaux médicaux !
 
Vous me direz peut-être que ce n’est pas un gros problème, car ces revues sont désintéressées.
 
Mais ce n’est pas du tout le cas ! L’immense majorité de ces journaux médicaux sont détenus par des entreprises privées, et sont donc « à but lucratif »… c’est-à-dire que leur l’objectif légal est bien de gagner un maximum d’argent.
 
Et les dirigeants de ces revues sont très bien payés, merci pour eux : par exemple, l’éditeur en chef du NEJM gagne la modique somme de 703 324 dollars par an, soit à peu près 60 000 euros par mois.
 
Ces revues sont de vrais business, donc forcément sensibles aux revenus publicitaires et aux « retirages » octroyés par Big Pharma !
 
Et ce n’est pas tout.
 
Car il faut aussi savoir qui dirige réellement ces revues !
 
Dans n’importe quelle entreprise, le vrai décideur n’est pas le directeur, mais bien l’actionnaire. Ce sont les actionnaires qui nomment (et licencient) les dirigeants des entreprises, et décident donc de la stratégie à mener.
 
Or, qui sont les actionnaires de ces journaux médicaux ?
 
The Lancet, par exemple, appartient à Elsevier, elle-même filiale de la multinationale RELX Group.
 
Et qui possède RELX Group ?
 
Réponse : des financiers !
 
Vous pouvez regarder la liste officielle des actionnaires : ce sont essentiellement de grands groupes de gestion d’actifs, comme BlackRock[15].
 
Or ces « fonds d’investissement » sont connus pour rechercher et exiger un maximum de rentabilité.
 
Et comme si ce n’était pas un motif suffisant pour se méfier, il faut savoir que les principaux actionnaires d’Elsevier sont aussi les principaux actionnaires… de Big Pharma !
 
Par exemple, BlackRock, pour ne citer que lui, est l’actionnaire numéro 1 de RELX Group, et l’un des top 10 actionnaires de… Pfizer.
 
C’est même pire que ça, car l’actionnaire numéro 1 de Pfizer est Vangard Groupe… qui est lui-même le principal actionnaire de BlackRock !
 
Bref, ce sont les mêmes acteurs (et probablement les mêmes personnes) qui possèdent les principales revues médicales ET les principales multinationales pharmaceutiques.
 
Conclusion sur l’océan de CORRUPTION de la science vaccinale
 
On comprend mieux pourquoi il y a un énorme problème avec tout ce que publient ces revues – comme on l’a vu, hélas, tout au long de la pandémie Covid.
 
Les grandes revues médicales ont retardé ou refusé la publication d’études favorables aux molécules pas chères (hydroxychloroquine, ivermectine)… et se sont empressées de publier des études malhonnêtes défavorables à ces traitements.
 
Vous vous souvenez sans doute de l’article frauduleux publié dans The Lancet, qui avait conclu que l’hydroxychloroquine tuait 10 % des patients Covid.
 
Ce n’était pas un « accident de parcours », mais l’illustration d’une corruption systémique dans le monde des revues scientifiques.
 
Rappelez-vous ce qu’avait expliqué le Pr Raoult aux députés, lors de son audition en juin 2020 :
 
« La même semaine, la revue The Lancet a reçu trois articles : notre article sur 3 700 patients, où aucun mort n’était imputable à l’hydroxychloroquine ; l’étude fantasque des Pieds nickelés américains (NDLR : celle qui conclut à 10 % de morts en plus) , dont tout le monde pouvait voir qu’elle n’était pas vraie ; une troisième étude, dont j’ai fait la revue, qui rapportait une expérience de l’association internationale des rhumatologues. Or, les gens du Lancet ont rejeté les deux études démontrant qu’il n’y avait pas d’accidents avec l’hydroxychloroquine, et publié l’étude des Pieds nickelés. Je ne suis pas paranoïaque mais là, on commence à se poser des questions ![16] »
 
Le scandale ne s’arrête pas à la seule revue The Lancet.
 
Choqué par les méthodes de l’autre « grand journal », The New England Journal of Medicine (NEJM), le Pr Raoult lui avait écrit un courrier de deux pages, avec ce titre emprunté à Cicéron, Quousque tandem abutere, patientia nostra –, qui signifie : Combien de temps allez-vous abuser de notre patience[17] ?
 
À l’époque, le Pr Raoult soupçonnait le NEJM d’assassiner l’hydroxychloroquine pour mieux promouvoir le remdésivir, le médicament hors de prix de Gilead.
 
Mais en réalité, il s’agissait d’abord d’abattre un concurrent majeur à la vaccination.
 
Si on avait soigné les malades avec le protocole Raoult, peu de gens auraient accepté d’être les cobayes d’une immense expérimentation vaccinale.
 
De même, des études favorables à l’ivermectine, une autre molécule efficace et bon marché, ont été censurées par des journaux médicaux (après validation)… et des études en apparence défavorables ont été immédiatement publiées dans les plus grandes revues[18][19].
 
Vous rendez-vous compte de l’étendue de la corruption de la science ?
 
Car j’ai parlé ici uniquement des biais des revues scientifiques elles-mêmes !
 
Je n’ai même pas abordé les autres facteurs qui aboutissent à publier des études trompeuses ou biaisées :
 
Les biais de ceux qui organisent les essais cliniques – pensez à Pfizer et à son essai clinique vraisemblablement frauduleux sur son vaccin anti-Covid ;
Les biais liés aux « sponsors » d’une étude – pensez aux essais cliniques ou études financés par Big Pharma ou la Fondation Bill et Melinda Gates ;
 
Les biais liés aux auteurs d’une étude – pensez aux études financées sur fonds publics mais signées par des auteurs en conflits d’intérêts[20].
Ces biais, assez bien connus, ne doivent pas faire oublier l’influence énorme des revues scientifiques elles-mêmes.
 
Car les chercheurs ne vivent que de leurs publications scientifiques : c’est par le nombre de publications scientifiques qu’est calculée leur « valeur »… c’est en publiant un maximum d’articles dans des revues prestigieuses qu’ils peuvent espérer obtenir ou conserver leur poste à l’Université, et bien sûr obtenir de nouveaux financements pour continuer à faire de la recherche.
 
Ce n’est pas pour rien qu’on parle de « publish or perish », dans le monde de la recherche : publier ou mourir.
 
Cela incite évidemment les chercheurs à travailler sur des sujets qui augmentent leurs chances d’être publiés dans des revues prestigieuses… et à éviter les terrains « minés », comme celui des dommages causés par les vaccins !
 
Bref, la science vaccinale « officielle » n’est pas honnête.
 
On nous répète sur tous les tons qu’il est prouvé scientifiquement que la plupart des vaccins sont « sûrs et efficaces ».
 
Mais rien n’est moins sûr, car il y a un biais systémique contre les études qui mettent en évidence les effets indésirables de la vaccination.
 
Voilà pourquoi il faut absolument écouter les experts indépendants de l’industrie pharmaceutique :
 
Qui ont un véritable esprit critique, sans parti pris sur la vaccination ;
Et qui lisent toutes les études en détail, y compris celles qui ne sont jamais « acceptées » dans des revues prestigieuses.

Beaucoup de médecins, scientifiques et bureaucrates se contentent de lire les résumés des articles publiés dans les grandes revues scientifiques – sans réaliser qu’ils sont souvent trompeurs, ou qu’ils ne reflètent pas la totalité de la science des vaccins.
 
Et voilà comment on perpétue le mythe du dieu vaccin, en toute impunité « scientifique ».       

Sources :

           
 
[1] https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/693/htm
 
[2] https://www.mdpi.com/2076-393X/9/7/729/htm
 
[3] https://www.xavier-bazin.fr/alors-ces-vaccins-larnaque-du-siecle/
 
[4] https://61cd53882b04210007373ebe–i-do-not-consent.netlify.app/media/A%20Report%20on%20Myocarditis%20Adverse%20Events%20in%20the%20U.S.%20Vaccine%20AdverseEvents%20Reporting%20System%20%28VAERS%29%20in%20Association%20with%20COVID19%20Injectable%20Biological%20Products.pdf
 
[5] https://www.thedesertreview.com/opinion/columnists/beyond-ivermectin-censoring-medical-journals/article_b1089af2-4279-11ec-b491-5bcaf600d33c.html
 
[6] https://www.xavier-bazin.fr/nouvelle-preuve-des-dangers-de-laluminium-vaccinal/
 
[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23579772
 
[8] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1043661818313732
 
[9] Fait d’autant plus étonnant que l’équipe a accepté de répondre à toutes les questions qui lui ont été posées après coup. Leurs données brutes ont même été examinées par une biostatisticienne mandatée par Elsevier, laquelle n’a rien vu d’anormal.
 
[10] https://childrenshealthdefense.org/news/anatomy-of-a-science-study-censorship/
 
[11] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC3386142/
 
[12]https://growjo.com/company/The_Lancet#:~:text=Estimated%20Revenue%20%26%20Financials,currently%20%2439.6M%20per%20year.
 
[13] https://qz.com/2121448/medical-journals-have-incentives-to-publish-positive-drug-studies/
 
[14] https://blogs.bmj.com/bmj/2018/01/24/richard-smith-the-hypocrisy-of-medical-journals-over-transparency/
 
[15] https://fr.wikipedia.org/wiki/RELX_Group
 
[16] http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/opendata/CRCANR5L15S2020PO771231N028.html
 
[17] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/Quousque-tandem-abutere.pdf
 
[18] https://www.xavier-bazin.fr/ecoutez-ce-que-dit-lun-des-plus-grands-medecins-au-monde/
 
[19] https://twitter.com/pierrekory/status/1434741303527579648
 
[20] Et il faudrait ajouter aussi les biais des reviewers, qui peuvent eux-aussi orienter la nature des études validées pour publication.
 


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