Plusieurs points doivent être étudiés lors d’un rachat de credit immobilier, que ce soit par l’emprunteur ou par l’établissement financier. Au niveau du demandeur, il doit évaluer le montant restant à payer pour le capital initial emprunté, ainsi que les frais relatifs à un remboursement anticipé.
C’est la somme de ces deux montants qu’il doit emprunter à nouveau pour le rachat de crédit. Toutefois, il peut aussi inclure les frais de dossier du nouveau prêt ainsi que les frais de courtage s’il a recours à un professionnel pour rechercher un bailleur.
Par ailleurs, il doit aussi évaluer les mensualités qu’il aura à payer lorsque le rachat de crédit immobilier est en place. Elles dépendent du montant du crédit, du taux d’intérêt et de la durée.
Ainsi, pour avoir un montant assez faible au niveau de ces mensualités, il faut bénéficier d’un taux assez bas et étaler le prêt sur une durée plus longue.
Cependant, les décisions à prendre dépendent des besoins et des capacités de chacun. Il se peut qu’un emprunteur veuille se débarrasser au plus vite de ses engagements et fait augmenter les mensualités, d’autant plus que ses revenus lui permettent de faire face à cette hausse.
D'autre part, il faut aussi tenir compte des autres frais périodiques à payer en relation avec le prêt, comme les assurances et autres garanties.
C’est la somme de ces deux montants qu’il doit emprunter à nouveau pour le rachat de crédit. Toutefois, il peut aussi inclure les frais de dossier du nouveau prêt ainsi que les frais de courtage s’il a recours à un professionnel pour rechercher un bailleur.
Par ailleurs, il doit aussi évaluer les mensualités qu’il aura à payer lorsque le rachat de crédit immobilier est en place. Elles dépendent du montant du crédit, du taux d’intérêt et de la durée.
Ainsi, pour avoir un montant assez faible au niveau de ces mensualités, il faut bénéficier d’un taux assez bas et étaler le prêt sur une durée plus longue.
Cependant, les décisions à prendre dépendent des besoins et des capacités de chacun. Il se peut qu’un emprunteur veuille se débarrasser au plus vite de ses engagements et fait augmenter les mensualités, d’autant plus que ses revenus lui permettent de faire face à cette hausse.
D'autre part, il faut aussi tenir compte des autres frais périodiques à payer en relation avec le prêt, comme les assurances et autres garanties.
Les études à faire pour l’établissement financier
Pour un établissement financier qui est sollicité pour un rachat de crédit immobilier, il faut également qu’il procède à quelques études avant de donner son accord et réaliser l’opération. Il doit ainsi déterminer la solvabilité de l’emprunteur. Pour cela, il évalue ses revenus et leur stabilité. Un emprunteur qui n’a pas d’emploi fixe ou dont le travail à long terme n’est pas assuré présente des risques d’insolvabilité importants. Par contre, lorsqu'il a une source de revenus stable, il a plus de capacité à supporter les mensualités du prêt. Evidemment, le risque zéro n’existe pas et il faut donc apporter un minimum de couverture au crédit. De ce fait, l’établissement financier doit aussi étudier les garanties à demander.Etant donné qu’il s’agit d’un rachat de crédit immobilier, le bien immobilier concerné par le prêt initial constitue la garantie principale. La saisie de ce bien ne doit être effectuée qu’en dernier recours en cas de non remboursement, d’où la raison de demander d’autres garanties, comme l’assurance incident de la vie.
Cette assurance peut couvrir de nombreuses situations où l’emprunteur se retrouve dans l’incapacité de payer les mensualités, comme une maladie grave, une invalidité, un décès ou la perte d’un emploi.
Taux de rachat de crédit immobilier au plus bas
Le niveau d’endettement de l’emprunteur
Un autre point très important lors de l’étude d’un rachat de crédit immobilier est le niveau d’endettement de l’emprunteur. Une personne endettée doit procéder au remboursement de ses différents engagements via ses revenus.Une partie de ses rentrées d’argent est donc déjà affectée à ces remboursements alors qu’il doit aussi supporter des dépenses pour vivre, notamment au niveau de l’alimentation, du logement, des déplacements et de bien d’autres. Il doit donc lui rester un minimum de fonds pour faire face à ses charges habituelles après avoir payé les mensualités de ses dettes.
D'une manière générale, les retenues sur le revenu pour les mensualités ne doivent pas dépasser les 30% des rentrées d’argent, pour qu’une personne puisse vivre normalement. Il faut donc évaluer les différents engagements pris, incluant les prêts auprès des organismes de crédit et les achats à paiement échelonné. Il faut également tenir compte des assurances à payer périodiquement dans le montant fixe à débourser car elles doivent aussi être libérées.
Ainsi, dans le cas où le niveau d’endettement d’un emprunteur est déjà assez élevé, il est préférable de ne pas lui accorder un rachat de crédit immobilier jusqu'à ce que certaines de ses dettes soient remboursées intégralement.