Vendredi 22 Décembre 2006 - 17:33
Fil d'Infos
Avenir de notre pays: LES COMMUNISTES ONT VOULU GARANTIR la presence de la gauche antilibérale dans cette bataille presidentielle décisive
"fallait il se servir de la campagne de la présidentielle pour proceder à une recomposition politique de la gauche de la gauche comme le reconnait enfin Christophe Aguitton dans "Liberation" ? ou fallait il rassembler tous ceux qui souhaitent battre la droite,définir une autre voie pour toute la gauche,une voie de rupture avec le libéralisme et de réponse à l'urgence
sociale ?
Les communistes mais aussi les collectifs antiliberaux ont choisi le deuxieme terme de l'alternative." LA GAUCHE antiliberale avec MG BUFFET sera enfin presente dans les confrontations de l'election présidentielle." extrait de l'interview d'Alain Hayot dans la Marseillaise du 22 decembre 2006.
Rappel des résultats du vote interne des communistes:
-inscrits 93 978 votants 52 893
Buffet: 42 011 (81,07%) Anti Buffet: 9808 (18,93%)
BDR: votants 66,57%
Buffet 78,22% Anti Buffet 21,78%
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le Vendredi 22 Décembre 2006 à 17:33
Vendredi 22 Décembre 2006 - 01:02
Fil d'Infos
Traversée à la rame atlantique et politique, article de l'Humanité
l'Homme ou le marché?
Il a toujours ramé pour une cause. En 1995, c’est pour les sauveteurs en mer qu’il traverse l’Atlantique Nord en cent trois jours. Deux ans plus tard, lors d’une course en double où il finit deuxième, il rallie en quarante-neuf jours les Canaries aux Antilles avec un ancien détenu pour qu’on parle de la réinsertion. En 2000, il entreprend la traversée du Pacifique Sud sur son canot Keep it Blue, du nom de l’association qu’il anime, pour sensibiliser l’opinion publique à la préservation des océans, mais la gangrène qui ronge ses pieds a raison de lui et il abandonne à mi-parcours. Cette fois, Jo Le Guen, colosse à la moustache épaisse et au caractère bien trempé, participe à Rames Guyane, course transatlantique à l’aviron en solitaire qui a appareillé de Saint-Louis du Sénégal le 19 novembre pour rejoindre Cayenne en Guyane (lire encadré). Avec pour leitmotiv un questionnement : « L’homme ou le marché ? 2007 : l’heure du choix. »
à la force,du poignet
Il a traversé le Sahara, il a vécu de nombreuses années à Bora Bora, en Afrique, au Mexique, mais ce que les gens ont retenu de ce marin engagé, c’est son opiniâtreté. Installé à Lampaul-Plouarzel (Finistère), originaire de l’île de Molène, fils, petit-fils et arrière-petit-fils de marins pêcheurs, Le Guen a traversé une dizaine de fois l’Atlantique à la voile, dont deux fois en solitaire, mais c’est à la rame et à la force du poignet qu’il s’est fait un nom. « J’ai toujours préféré courir pour une cause que pour un sponsor, explique cet homme dans la force de l’âge (cinquante-neuf ans), aux mains larges et rugueuses. Quand Michel Horeau (l’organisateur de la course - NDLR) m’a proposé cette course, je me suis dit : "Je la fais pour quoi ?" Et puis en réfléchissant, ça m’est venu, comme une évidence. »
Il détaille son raisonnement : « L’outil est devenu une fin en soi, et l’homme un élément de cet outil. L’homme ou le marché, c’est une question de société. Qui peut, qui a les moyens de se passer de cette question ? »
Et de répondre : « Pour le marché, plus exactement pour le capitalisme financier, l’homme et la nature ne sont que des éléments du système de production. Cette logique est mortifère (...). Les États ont failli. Ils ont démissionné face à la puissance, la capacité de réaction et d’adaptation des grands groupes privés. Aussi ai-je fait le choix de contribuer à promouvoir une candidature à la prochaine présidentielle, quelle qu’elle soit, qui rassemblera les forces antilibérales. »
Toujours aller de l’avant
C’est dans son lit, après son amputation des dix orteils, à Punta Arenas (Chili), que Jo Le Guen prend conscience que les « politiques ont baissé les bras ». « Quand je suis sorti de l’hôpital de Brest et de la morphine, cela faisait cinq mois que l’Erika avait fait naufrage. Pour sortir de ce traumatisme, je n’avais qu’un seul choix : aller de l’avant. Immobilisé chez moi, les pieds emmaillotés, j’ai constaté que les victimes n’étaient pas plus respectées depuis le naufrage de l’Amoco Cadiz en 1978. Je me suis intéressé au Fipol (Fonds d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures). » Dès qu’il peut marcher, il part à Londres assister aux réunions du Fipol et joue le rôle d’empêcheur de tourner en rond. Il sortira un documentaire de cinquante-deux minutes, Marées noires : le naufrage des droits de l’homme ? quelques années plus tard expliquant les arcanes du système.
Pour Rames Guyane, il est à l’origine du monotype (tous les bateaux sont identiques - NDLR) de huit mètres, choisi par l’organisation, qui est largement inspiré de l’embarcation qu’il avait imaginée pour affronter le Pacifique Sud. Il aurait pu en tirer une certaine fierté ou une appréhension. C’est plein d’humilité qu’il est reparti à l’assaut des flots : « Traverser l’océan à la rame, cela revient à le traverser à la vitesse d’un marcheur. C’est une relation privilégiée qu’on a avec la mer. »
à la force,du poignet
Il a traversé le Sahara, il a vécu de nombreuses années à Bora Bora, en Afrique, au Mexique, mais ce que les gens ont retenu de ce marin engagé, c’est son opiniâtreté. Installé à Lampaul-Plouarzel (Finistère), originaire de l’île de Molène, fils, petit-fils et arrière-petit-fils de marins pêcheurs, Le Guen a traversé une dizaine de fois l’Atlantique à la voile, dont deux fois en solitaire, mais c’est à la rame et à la force du poignet qu’il s’est fait un nom. « J’ai toujours préféré courir pour une cause que pour un sponsor, explique cet homme dans la force de l’âge (cinquante-neuf ans), aux mains larges et rugueuses. Quand Michel Horeau (l’organisateur de la course - NDLR) m’a proposé cette course, je me suis dit : "Je la fais pour quoi ?" Et puis en réfléchissant, ça m’est venu, comme une évidence. »
Il détaille son raisonnement : « L’outil est devenu une fin en soi, et l’homme un élément de cet outil. L’homme ou le marché, c’est une question de société. Qui peut, qui a les moyens de se passer de cette question ? »
Et de répondre : « Pour le marché, plus exactement pour le capitalisme financier, l’homme et la nature ne sont que des éléments du système de production. Cette logique est mortifère (...). Les États ont failli. Ils ont démissionné face à la puissance, la capacité de réaction et d’adaptation des grands groupes privés. Aussi ai-je fait le choix de contribuer à promouvoir une candidature à la prochaine présidentielle, quelle qu’elle soit, qui rassemblera les forces antilibérales. »
Toujours aller de l’avant
C’est dans son lit, après son amputation des dix orteils, à Punta Arenas (Chili), que Jo Le Guen prend conscience que les « politiques ont baissé les bras ». « Quand je suis sorti de l’hôpital de Brest et de la morphine, cela faisait cinq mois que l’Erika avait fait naufrage. Pour sortir de ce traumatisme, je n’avais qu’un seul choix : aller de l’avant. Immobilisé chez moi, les pieds emmaillotés, j’ai constaté que les victimes n’étaient pas plus respectées depuis le naufrage de l’Amoco Cadiz en 1978. Je me suis intéressé au Fipol (Fonds d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures). » Dès qu’il peut marcher, il part à Londres assister aux réunions du Fipol et joue le rôle d’empêcheur de tourner en rond. Il sortira un documentaire de cinquante-deux minutes, Marées noires : le naufrage des droits de l’homme ? quelques années plus tard expliquant les arcanes du système.
Pour Rames Guyane, il est à l’origine du monotype (tous les bateaux sont identiques - NDLR) de huit mètres, choisi par l’organisation, qui est largement inspiré de l’embarcation qu’il avait imaginée pour affronter le Pacifique Sud. Il aurait pu en tirer une certaine fierté ou une appréhension. C’est plein d’humilité qu’il est reparti à l’assaut des flots : « Traverser l’océan à la rame, cela revient à le traverser à la vitesse d’un marcheur. C’est une relation privilégiée qu’on a avec la mer. »
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le Vendredi 22 Décembre 2006 à 01:02
Mercredi 29 Novembre 2006 - 03:30
Nos thèmes et projets
déclaration du PCF Salon de Provence et région concernant les incendies de véhicules à Salon pendant le mois de novembre
C'est lui l'insécurité!
A l'exemple de nombreuses villes, Salon subit de nouveau des incendies nocturnes et volontaires de véhicules sur la voie publique.
Ces manifestions violentes (crapuleuses ou non) rappellent à la société son incapacitée assurer la cohésion sociale,culturelle et économique.
Ces pratiques cancéreuses sont tout à la fois banalisées par le ministère de l'intérieur (un recensement national spécifique a été mis en place) et instrumentalisées par le pouvoir politique. L'incendie spectaculaire et criminel de 3 bus sur la place des trophés dans la nuit de mardi à mercredi dernier est une nouvelle illustration de l'echec de la politique sécuritaire de ce gouvernement et de son ministère de l'intérieur.
Les communistes de Salon et Région condamnent sans appel ces incendies volontaires.Ils s'interrogent sur l'impuissance déclarée de la Police Nationale, sur la qualification de ces destructions anonymes en violence urbaine alors que de nombreux indices montrent une préméditation, une synchronisation en différents points de la ville et l'utilisation de mise à feu avec retardateur.
L'appel de l'union du Maire avec son opposition municipale pour "un oecuménisme et une solidarité" pour "solliciter les citoyens et faire avancer l'enquête" ne reste qu'une propagande politicienne dangereuse. L'action de la Police ne doit pas être une campagne de communication et de manipulation de l'opinion publique.
Le peuple de France et de Salon a besoin d'une police service public de la tranquilité et de la qualité de vie.
pour le PCF Salon et région
Jean-François GAST
contact 06 86 47 33 99
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le Mercredi 29 Novembre 2006 à 03:30
Vendredi 24 Novembre 2006 - 18:34
Initiative Publique
Réunion publique avec le Collectif (Collectif pour un rassemblement anti libéral de gauche et des candidatures communes du Pays Salonais
Jeudi 30 Novembre 2006 à l'ATRIUM (salle 3) bvd aristide Briand SALON
-Présentation de notre objectif et de notre CHARTE
-faire de la politique autrement : Débat dans la salle Votation Citoyenne afin de donner une indication sur le choix de notre candidat(e) antilibéral
A l'appel de personnalités, de militants, de la LCR, du PRS , des Verts, les Alternatifs, MARS, Collectif pour l'éco-developpement, Convergence Citoyenne, gauche Républicaine, Parti Communiste Français
-Présentation de notre objectif et de notre CHARTE
-faire de la politique autrement : Débat dans la salle Votation Citoyenne afin de donner une indication sur le choix de notre candidat(e) antilibéral
A l'appel de personnalités, de militants, de la LCR, du PRS , des Verts, les Alternatifs, MARS, Collectif pour l'éco-developpement, Convergence Citoyenne, gauche Républicaine, Parti Communiste Français
PCF Salon de Provence
Rédigé par PCF Salon de Provence le Vendredi 24 Novembre 2006 à 18:34
Parti Communiste Français
PCF Salon de Provence
Section du Parti communiste français Salon de Provence (Bouches Du Rhône 13)
143 Rue La Fayette 13300 Salon de Provence
Actions citoyennes à Salon de Provence
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