Le Secrétariat national du Parti communiste de l'Inde condamne fermement l'arrestation injustifiée du Secrétaire général du CPI D Raja, du Secrétaire du Conseil national Atul Kumar Anjaan, du député Binoy Viswam et d'une centaine d'autres militant.e.s à Raj Ghat dans la capitale nationale le 30 janvier 2020 .

Dans le cadre d'une manifestation des partis de gauche, démocratiques et laïques, inscrite dans la semaine de mobilisation «Save Constitution, Save Our Country», les dirigeant.e.s et les militant.e.s de ces partis, organisaient une chaîne humaine allant de Raj Ghat à Shantivan, du Fort Rouge à Jama Masjid, et de Daryganj à Rajghat.

Alors que la chaîne humaine voyait la participation de 10.000 personnes - des étudiant.e.s, jeunes, femmes, agriculteurs, travailleurs et autres de tous horizons - le Secrétaire général du CPI s'adressait au rassemblement de Rajghat, la police a arrêté les chefs du parti et une centaine de militant.e.s. Le gouvernement de Modi-Shah est nerveux face à la chaîne humaine marquant le jour du Martyr le 30 janvier alors que leur parti, et ses organisations sont impliqués dans le meurtre horrible du Père de la Nation (Mahatma Gandhi a été assassiné par un membre du RSS).

Le Parti communiste condamne sévèrement l'arrestation injustifiée des dirigeant.e.s et militant.e.s et leurs départ vers une destination non déclarée. Le Parti communiste met également en garde le duo Modi-Shah des conséquences désastreuses, affirmant qu'aucune répression ne peut étouffer le soulèvement des masse.

Une fois de plus, le peuple se réveille.

Le Parti Communiste d'Inde (Marxiste) a condamné l'arrestation des dirigeant.e.s du CPI et s'inquiète de la violence qui s'abat dans le pays.


Un militant nationaliste tire sur des étudiant.e.s à Delhi