Sur le plan électoral, le Président JM Baylet a proposé au PS une méthode de travail.
Le constat est que la gauche doit tenter de se rassembler derrière un candidat unique à l'élection présidentielle. Mais le PRG pose comme condition de participer au choix de ce candidat et de ne pas être seul partenaire du PS.
Il propose pour cela que les radicaux, verts et socialistes travaillent à un projet commun et arrêtent, s'ils tombent d'accord, une méthode équitable de désignation du candidat. Si la gauche a un candidat commun il doit être choisi logiquement par tous les partis de gauche.
Concernant les élections législatives, le PRG exige pour qu'il ait possibilité d'accord, des discussions trilatérales avec les Verts et non pas bilatérales PS/PRG et PS/Verts.
Ces discussions devront être globalisées c'est àdire inclure toutes les élections à venir (municipales, cantonales et sénatoriales) pour que le PRG y souscrive.
Dans le cas contraire le PRG adoptera une stratégie autonome et réfléchira à présenter son meilleur candidat à la présidentielle.

Cliquez ici pour visualiser le tract.

Il m'arrive aussi d'effectuer des mariages, celui-ci je l'ai trouvé original car les jeunes mariés sont arrivés à cheval, habillés en gardians, ils étaient accompagnés d'une dizaine de gardians, tous à cheval.

Vendredi après-midi, l'ensemble des participants ont débattu de la réforme nécessaire des institutions, de nouvelles institutions politiques pour la France et pour l'Europe.
Samedi matin, alors que les changements sociaux posent de façon renouvelée la question de la place de la religion dans l'espace public, et que s'esquisse un retour en force de l'école privée, les radicaux de gauche ont débattu de la laïcité, de ses limites et de ses modalités d'application.
Samedi après-midi, le modèle économique et social français : faut-il refuser l'économie de marché ? Comment concilier liberté d'entreprendre et solidarité ?
Dimanche matin, les échéances politiques prochaine, débat de politique générale.
Discours de clôture du Président Jean-Michel BAYLET.

Je suis né le 24 novembre 1960 à Bône en Algérie dans une famille d'origine italienne des environs de Naples, d'où ma fierté d'être 100% méditerranéen. J'ai passé ma petite enfance à Marseille dans un quartier populaire, bruyant, pas toujours agréable, à Frais Vallon, La Rose.
Arrivé à Istres, à l'adolescence, mes activités se résument à ma scolarité et à ma passion pour la boxe, sport que j'ai pratiqué en tant que boxeur amateur jusqu'à l'âge de 24 ans, année de mon mariage en 1984.
Je travaille dans la même entreprise depuis 25 ans en tant qu'électrotechnicien.
Durant ces années de travail, j'ai toujours été syndiqué - ce qui m'a permis de comprendre le sens du mot UNION et que sans solidarité on arrive à rien du tout, en tout cas à pas grand-chose. J'ai toujours éprouvé le besoin de m'engager contre les injustices, lutter contre les inégalités, croire en la possibilité d'un changement, et c'est en 1981, avec l'élection de François Mitterrand, que j'ai compris que c'était possible (plus de droits pour les salariés, contrat emploi solidarité, abolition de la peine de mort...)
Parmi mes amis, j'ai eu la chance ou la malchance de fréquenter des militants du Parti Radical De Gauche pendant de longues années, sans pour autant m'engager au sein du PRG.
Ce n'est qu'en 1999 que j'exprimai le souhait d'adhérer au Parti Radical De Gauche.
De ce fait, avec mes amis Radicaux Istréens, nous avons choisi de soutenir la candidature de François Bernardini lors des élections municipales de mars 2001, car, à l'époque, il était le candidat désigné par la seule section PS présente à ISTRES.
Depuis, je suis toujours Conseiller Municipal délégué au tourisme et je suis déterminé à mener à bien la mission qui m'a été confiée.
Je suis également délégué communautaire pour ISTRES au sein de Ouest Provence dans la commission aménagement du territoire communautaire.
Après le résultat du référendum, campagne à laquelle j'ai participé activement pour soutenir le NON effectivement, j'ai refusé de suivre la ligne (voir tract) de mon parti politique, car je suis quelqu'un qui suit ses convictions et ses sentiments.
Aujourd'hui, j'ai la certitude qu'une union de toutes les sensibilités de gauche est possible.
Depuis l'élection municipale partielle de Décembre 2006, je suis maintenant Adjoint au Maire toujours délégué au Tourisme.

Je ne manque jamais l'occasion de dire que les Bouches-Du-Rhône est le premier département touristique de la région PACA, en terme d'accueil, toutes sortes de tourisme confondues :
- tourisme d'affaires
- tourisme sportif
- tourisme loisirs

Il est vrai que la Provence attire de plus en plus de monde par son climat, la beauté et la diversité de son paysage, son patrimoine et surtout son bord de mer.
Le tourisme est une activité majeure de l'économie de notre département, il peut et il doit permette de créer encore plus d'emplois et de richesse.
Nous avons la chance à Ouest Provence d'avoir un territoire qui offre une multitude de possibilités :
- Des loisirs de pleine nature (randonnée, VTT, équitation...)
- Art et terroir (miel, vin, huile d'olive, farine...)
- La Mer avec tout ce que cela englobe comme activités nautiques
- Culturel : église Notre Dame de Beauvoir XIII siècle, centre ancien à Istres, l'Hauture à Fos /mer, la tour St-Louis à Port-St-Louis, le centre ancien de Grans, Miramas-le- Vieux, le charme du village de Cornillon....
- Des évènements sportifs et festifs de qualité (fête des bergers en décembre, féria d'Istres en juin, Natation "les masters" plus de 1300 nageurs, cyclotourisme "pâques en Provence", tennis "tournoi international"...)

A chaque grosse manifestation sportive sur le territoire de Ouest Provence, nous n'avons pas une capacité d'accueil suffisante aussi bien en hébergement qu'en restauration, c'est dire le succès et l'intérêt de ces évènements.
En tant qu'élu au tourisme, je pense pouvoir dire que nous n'avons rien à envier à nos voisins, mais que nous pourrions tirer beaucoup plus de bénéfices de toutes ces manifestations.
Pour cela, il faudrait que l'ensemble des professionnels du tourisme (restaurateurs, hébergeurs, commerçants...) s'implique davantage dans l'organisation de ces rendez-vous.
Par exemple, proposition de menus appropriés à l'évènement, une politique tarifaire mieux adaptée pourrait capter une clientèle plus jeune.
Il est vrai également que le comportement des consommateurs a changé, la durée des séjours est beaucoup plus courte, les gens partent plus souvent et moins longtemps et se décident souvent au dernier moment.
Mon objectif, pour l'instant, ce n'est pas de développer à Istres un tourisme de masse mais si les vacanciers qui séjournent pas très loin de chez nous, en Camargue, au pays d'Aix, aux environs de Marseille viennent passer une journée à Ouest Provence et principalement à Istres pour assister à une manifestation ou bien parce qu'ils ont eu une information qui les a intéressés, ils contribueront au développement économique de notre ville et de notre territoire.
Il faut que nous ayons une vision plus globale du tourisme avec des actions mettant en valeur un tourisme de qualité. Nous devons avoir une plus grande collaboration avec nos voisins, fixer des objectifs communs, par exemple l'organisation de courts séjours.
C'est par le développement d'un tourisme de qualité que nous pourrons tendre vers un tourisme durable qui soit créateur d'emplois.
Par exemple, la création d'un label qualité chez les professionnels peut être une assurance pour le touriste de ne pas être déçu.