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une pause? chardesames
soyez certain d'une totale matrise, d'une longue attente, 37 annèes, pour enfin pauser ma vie dans un espace temps. comme un canard en pleine migration, quitant la belle figure gèometrique dans le bleu azur. pour se poser au bord d'un quelconque bois ou bord de lac pour comprendre...malgrés le désordre, vite rétablie, son absence ne sera qu'à peine remarquée.le bon ordre établi ne serait etre destabilisé, par une defaillance minime, voir meme commune...combien d'entre nous au travers des siecles ont pris le temps de casser le temps, et de ne plus en etre esclave. grand nombre d'anonymes et celebres personnage s'y sont essayé, avec plus ou moin de reussite, non pas en terme de célebrité, mais en terme de satisfaction, de choix et de consèquences qui en decoulait....je vous invite donc a faire une pause.
chardesames
L’amour est une embelie cardiaque defiant toutes les maladies et surmontant toutes les tentatives de guerisons précoces, immédiates ou instantannée. Non ! le seul reméde au chagrin d’amour ce n’est que le temps ! oui, le temps qui peu nous extirper de ce cancer genèralisé. Et encore son effet n’est pas total ou meme pas asser longtemps appliqué pour etre guerisseur. On meurt d’amour…
je le trouve merveilleux,humble et magnifiquement crèè.mais il est sali, emputé par l’union, les concessions, le partage. il s’empoussiere dans les dèsobligeantes obligations...au début on n’essaie de ne pas se laisser aspirer par les besoins que l’on croit nécessaires.alors on va au restaurant toute les semaines voir tout les jours, on cinématise nos soirées on philosophe notre avenir, certainement diffèrent du voisin et on caricature nos semblables en snobant du haut de nos premices,leurs vie. on se bat pendant des jours, des semaines, des mois voir des années pour les plus resistants, pour ne pas entrer dans le cercle, la routine,la banalité. Mais la lutte est vaine, comme la chèvre de mr Seguin, qui se sachant condamnée voulu etre plus resistante, pour la meme finalité : le ventre du loup.Nous serons tous mangés… chardesames
le gros homme..
Je suis assis dans ce restaurant chinois ou je consomme un poisson de second choix et ou les serveuses sont comme les deux roues sur le periph. À Paris: instannés, rapides et non identifiés.bref, je regarde et sur le présent je met des pauses. J’observe et m’amuse de ce gros homme, tout droit sorti d’un film traitant de la mafia.coupe gominée.plaquée et teint brun aux joues rondes et grasses.dés sa premiere apparition au café, en bas du restaurant, je me suis dis « c’est la baleine !l’homme de main de sony dans le film, il etait une fois dans le Bronx ».il était là, envellopé dans sa veste de pluie, rouge. Attachée jusqu’au coup , qui semblait le contenir et l’axfixier.nos regards se croisent, il semble tout inquiet il attend ou cherche quelqu’un…et si c’etait moi ?l’idée traversant mon esprit comme un eclair me fais froid dans le dos. Comment s’extirper d’une telle masse qui vous bloquerez contre le zinc…me dit-je.Il met la main à sa poche et retire son portable pour finalement se lever et partir. Me laissant seul avec mon imagination et le pourquoi de son entrée et si précoce sortie. je le retrouve dans le dit restaurant, il surgit de derriere le paravent, suivit de la personne qu’il attendait….sa mére !je n’ai pu m’empecher de rire, tout d’abord de moi, et de mon imagination fertile et aussi rire de cette scéne ou ce gros homme haut et inquietant semblant à la recherche de l’homme dont il avait sur sa vie, un contrat, n’attendait et ne recherchait que sa maman ! d’un coup le sbire se transforme sous mes yeux en un gosse fragile ,docile devant sa génitrice qui lui prodigue milles et un conseils …ma folie m’amuse. chardesames
Apparat.
Puis je commence mon tour d’horizon, toutes les tables ne sont pas occupées, l’heure n’est pas propices à la cohue, il est 18h30.mais tout de meme il y a un trio en face de moi, un couple et une tierce, amie de la concubine qui parle, parle et parle..les mots sont mitrailleusement distribués à la « copine », qui n’en perd aucun et se defend d’un debit équivalent.l’homme heureusement pour lui à son verre et son assiette pour ne pas paraître trop « neutre »ou distant, dans cette joute verbale. À l’occasion il glisse meme une apartèe qui rappele aux « dialoguistes » sa présence. La fille , invitèe du couple me fascine car elle joue merveilleusement. Son apparat est lui aussi tres evocateur et sacralise bien ce besoin feminin de nous faire croire que le naturel et une grace, sur ces dernieres,divine.les cheveux sont d’une rectitude troublante.rangès mathématiquement sur un grand front. Ils tombent d’une frange bien tracée, et qui semble avoir etait traitée au laser.et rien ne bouge !tout reste immobile !meme les coup de tetes renversants pour exprimer l’hiralité de sa rèthorique ou de celle de sa comparse, ne troublent pas l’ordre militaire capilaire… je pense immèdiatement aux enervements devant la glace de la salle de bain,aux calculs et autres trucs et astuces,tirés sur les plus expérimentès magazines de beautés , régissants le bon gout des uns et les envies des autres.les efforts consentis par la femme depuis les premieres pousseés d’ormonnes !cette lutte journaliere contre le temps, le gras, le bouton, le gros cul, le rimel,les masques, les levres ,les poil. pourquoi ? c’est simple…pour etre naturelle, naturellement belle…car il est là le summum et le paradoxe! paraître totalement et naturellement belle, innée douée et après tant d’efforts et sacrifices, faire mine que tout cela est normal,banal…et que la profonde question existencielle est : « je sais pas ce que j’ai en ce moment ! j’suis trop belle ». l’autosatisfaction, elle, est innée, l’hypocrite flatterie des amies,normale.le regard des hommes salivant,logique et que justice…non ce qui mérite le sacrifice, c’est le defilé, la parade, l’insant, l’entrée en scéne! chaque déplacement dans la salle doit etre minutieusement calculé, effectué dans un total desinterressement de ses semblables.mais il doit marqué de son empreinte, tout du moins jusqu'à la prochaine prestation... chardesames
Famille moderne.
Il y a une vingtaine d’années, j’ai suivi mon pére sur les terres de Mr Francois Mitterand, et étant en net décalage avec ma cité et mon quartier, je réussis,tout de même, par une certaine faculté d’adaptation et un charme de jeunesse qui ne laissait pas indifférent, a avoir une petite amie, dont les mœurs familliales étaient somme toutes trés puritaines et trés bourgeoises. Je m’explique. Alors que le pére et la mére me furent présentés. Et apres avoir fait bonne impression, je pus manger en famille, partager le meme lit de ma copine et partir en vacances sans que l’on ne m’en fit rien payer.naïf et ravis je me pretais a toutes les us et coutumes familiales, pourvus que j’y trouvais mon compte, materiel sexuel et social. La vie ètait belle, mon père rassuré, continuait sa vie, et moi je me hasardais dans la mienne, sauf qu’un matin,je me suis retrouvé sur la route des grands parents… On me flatta, et l’on se félicita que le petite, réussit a trouver un garcon aussi charmant, et pas trop bete, car pour toute precision la jeunette en question n’etait pas tres gracieuse. Moi, je les écoutais a peine puisque héro, malgrés moi, j’ètais sur un nuage. Puis, tout à coup le vieux me regarde et devant tout le monde me lache : « tes mains ! fais voir tes mains ! », je m’execute et lui tend mes deux membres, que j’avais par chance, soigneusement manucurées, et là, stupeur dans le camps des viellards, l’ancien après une inspection des mes ongles, regarde la famille et rassure tout le monde par un sourire chaleureux, et satisfait ; d’un air de dire « c’est le bon, c’est un bon petit garrs. », moi toujours aussi con, je souris ègalement et me rejouis à l’avance, des multitudes de récompenses et autres gratifications qui vont dècouler de ce test réussit. La vielle se léve, tire du tirroir une photo, revient vers moi et dit « voilà, la robe que la petite portera », sur la photo, jaunie par le temps, comme celle qui me la tendait, il y avait ce couple de vieux de la vieille, qui posaient pour leurs mariage. Et là ! une décharge de 220w, dans le cerveau !je comprend ce que l’on attend de moi, et me retrouve avec ses deux gateux, le pére, la mére et ma promise, qui me regarde avec grand bonheur…je ne dis rien, je suis trop troublé, la connexion tardive de mes deux émisphères cérébrales ne me permet pas la rétorique, alors je stagne, une véritable litargie,un légume ! De retour au nid, je passe la soirée, comme je peux et vais me coucher. Et par la grace de Dieu, et surtout sans demander mon reste, à la faveur de l’aube naissante, je plis bagages, minimum, et déguerpis sur le champ ! Cette histoire aurait due me faire leçon ! aiguiser mes sens, ma perception de l’amour. Mais je débutait deja là, ce qui fut le drame de ma vie et qui encore aujourd’hui me laisse traces et douleurs. je veux parler de cette faiblesse à aimer ou croire que l’on peut aimer, n’importe qui à partitr du moment, ou c’est pour elle ,et le reste du monde, inespéré. Elle est laide personne n’en veux ? « laissez je m’en occupe ! ». elle à des gosses, une situation minable ? « faites place ! » et Tel un chevalier blanc, au cœur, délavé, je m’elance dans les bras de la « pauvresse », et fais de sa vie un conte de fée. Mais en fait de chevalier blanc, il n’y a que Don Quichotte. et de conte de féee, je me retrouve dans une histoire digne de finr chez Delarue.meme la dite pauvresse, reprend vite du poil de la béte, car flairant la situation et le pigeon elle me soutire,mon temps, ma personne et surtout mon argent…mieux se laisser sèduire,pour mieux se laisser mourir…. chardesames
ma voisine de chambre.
aujourd’hui, meme si la journee n’est pas encore terminée, j’ai eu le plaisir de rencontrer ma voisine de chambre et son homme…une jouisseuse précoce ou bonne commédienne qui arrive à faire croire à ce con, qu’il l’enmene loin, et en trois minutes! leurs ebats non qu’un avantage c’est celui de me rassurer quand à mon idée sur les aptitudes feminines à faire passer des levriers, courreurs de lievres en carton, pour des bergers allemands, endurants et intelligents… pourtant elle est moche, dissimulé derriere les couches de peintures faciales, elle ne peut cacher ses traits masculins, meme ses doigts gros et bourssouflés trahissent le manque de feminité qui émane de son etre. C’est deseperant de se donner autant de mal pour tricher et pour finalement n’etre encore que plus visible…et à celle là aussi on lui dit surement qu’elle est belle,attirante qu’elle a du chien,enfin si je peux…Les regards qui se pose sur elle l’eleve, est-elle consciente que seul un « viandard »,pourrait se laisser attirer par tel gibier ? ou ca lui donne du grade et de l’importance de fair saliver ces vieux cochons avide de pouvoir vider leur semence sur une « pas trop vielle », »pas trop laide » et qui accepterai surtout ! elle, lui et eux, me dégoute … chardesames
pardon, milles fois pardon pour les fautes de français. mais j'écris, vite pour ne pas perdre le fil, et je néglige les régles de cette belle langue. pardon à ceux qui ont fait tant d'efforts pour la maitriser.
chardesames
Spleen
Ca faisait lontemps que la « marée de l’angoisse » n’avait pas été si haute. C’est une tempéte dont les vagues qui s’échouent, inlassablement contre les faces arides de mon cœur, annéantie tout espoir d’en sortir indemne. Ca tourne en rond, comme si rien de neuf ne pouvait arriver. le sommet de l’exaltation est atteind…quel spleen !merde… C’est affolant cette sensation de ne rien pouvoir y faire. ni l’ami, ni la foule ou meme l’argent ne soulage cette boule dans le ventre. Rien n‘efface le gout amére de chaque action ;on attend plus que le coup final, que l’on vous acheve. La moindre irritation prend des proportions incroyables, ca dechaine la melancolie qui gicle de votre ame pour eclabousser tout vos actes, vos envies, votre pensèe. Ca gangréne, et gagne du terrain, d’heures en heures on est affaibli par la moindre dèpense d’energie physique ou spirituelle. Le choix que j’ai fais de ne plus etre absorbé,par le sourire ou l’attention d’une femme, pése sur mes habitudes et reflexes.je connaissais les ètapes qui me feraient faces en prennant cette décision capitale mais innévitable. La joie, la liberté, le stress, la solitude, enfin tout les sentiment et leur extrêmes bouillonnent et se heurtent !la cassure du plis de l’âme pris depuis tant d’annèes, déchire le cœur. les choix deviennent irréverssibles. Je céde et me voilà perdu. Je rèsiste et je ne sais quel en sera le sacrifice et le réel résultat. Ali, calife des musulmans, disait « je souffre devant la longueur du chemin, la pauvreté des provisions et l’ampleur du but à atteindre. ». il parlait, lui, de la satisfaction de son Seigneur. Et moi je ne parle que de ma pauvre et derisoire destinè. La disproportion est le ruisseau de la folie. L’ascension est dure. Mais il faut, tenir ; se reposer un peu, mais ne pas reculer, ne pas ceder, c’est le prix à payer pour etre ce que j’ai toujours au fond de moi, été… la culpabilité est au delà des limites qui pourraient etre reprochées par n’importe quel procureur. Je ne suis coupable que de moi, sans aucune circonstances attenuantes. La perpétuité me guette, me voilà en prison dans la cellule de ma vie. C’est vrai, je suis coupable de moi. Le loup qui mangea « blanchette » est-il coupable de l’avoir fait ? ou n’a t-il ètè que la sanction logique de la désobéissance de la chévre, consciente de la conséquence mortelle, de son choix. Je ne puis reprocher au fond de moi, à ces « diablesses », d’avoir remplies leurs roles.je me sent juste bléssé dans mon orgeuil, d’avoir été si naïf et menteur. C’est humain, que de ne pas accepter de se sentir ridicule et roulé aux yeux du monde et de son Seigneur. Mon inaptitude se traine depuis 37 longues années, de quoi lui laisser le temps de faire des dègats irrèparables et de marquer de son emprunte, ma vie mais surtout celle des destins, qu’elle a croisée. 37 ans avant de lui donner la place quelle mérite, à l’accepter à sa juste valeur…mon ami, j’ai de longues heures devant moi à avoir le cœur si lourd. chardesames
Merci Daudet !
Lire !lire ! et partir….c’est en te lisant mon veil Alphonse, que l’aiclaircie est venu. Un peu d’acalmie sur la dite-tempéte,sevissant sur mon âme et fracturant mon cœur. Tartarin de Tarascon ! quelle poésie !quelle flamme de vie ! Pagnol,Daudet,Raimu,Fernandel et autres spountzs, vous étes par tout temps l’abri de ma folie,de ma solitude et de mes joies. Gloire au Miséricordieu de vous avoir créé. Je retrouve auprés de vous, de votre fougue, de votre, naurelle et ensoleillée, poésie, un rechauffement, un arbre sous lequel je peux m’abriter ou profiter d’une ombre propice. et qui l’en soit ainsi…se nourrir l’âme de vos sonnets, de votre soleil exagérateur et des Saints Versets sereints et appaisants, me comble. A en rougir de honte, que d’autres soient si pauvres de verités, qui sont pour le coup, toutes bonnes à dire et à redire… chardesames
Visage connu
Cette « noiraude », comme ils le disent ici, pour designer une femme brune. Je disais donc cette noiraude à quelque chose dans son visage qui heurte ma memoire. Je ne serai dire ce sont ses yeux, ronds comme des petites billes, qui lui donne ce regard d’eternelle surprise de la vie. Ou alors ses levres etroites et seches, tracées en une fois, si j’ose. Elle ne se maquille pas, ne se coiffe pas non plus apparement. Sans cesse, se demêlant les cheveux comme le font les gosses, devant la téle, ou sur la table de l’ècole. Vous savez, ce petit geste enroulant du bout des doigts méches après méches et qui leur donne ce coté pensifs et rêveurs. Elle s’installe depuis deux matin en face de moi, sur une table me faisant front, et commande son thé et son croisssant, puis sort une cigarette et fume, et refume…c’est affolant, qu’est ce qui se passe avec celle là ?elle a abandonnée la lutte, ce qui l’entrainne aux limites de l’acceptable feminin dans le domaine de l’apparence ou bien c’est une fatalitè ? C’est du « j’men-foutisme » poussé à l’extrême ! et dés le lendemain me voilà convaincu de mon préssentiment. En effet, la drolesse débarque, le jean tombant au point de laisser la moitié de son cul, enveloppé dans un string noir, nous dire « bonjour » et nous laisser constater de son écarlate luminessance … Mais meme ca ce n’est plus, de nos jours, un probleme, car combiem de ventre dégoulinants de ces jeans, remplient par des culs gelatineux, qui a chaque pas, se heurtemt, se frottent, nous eclabousse la vue. Ces écervellées sont comme hyptnotisées, enfermèes dans des bulles de complaisances et d’autosatisfactions qui les rassurent dans leur démarche de la beautè et du bon gout. elle finissent meme par y croire…on se rappel, le plus gros mensonge est celui qui passe le mieux…dans ce cas là, on peut decoder par c’est la plus odacieuse qui sera convoitée et la regle ? c’est qu’il n’y a pas de régles…les femmes revendique sans cesse un rabaissement constant de la gente masculine, une lutte quotidienne pour exister et etre reconnues. Mais elle retournent de leur propre chef, des decénies en arrieres, pour redevenir des « femmes objets » des « femmes trophées »…curieuse lutte que celle de l’ego. Et je suis persuadé que cela reste la plus grande guerre qui soit, pour chacun d’entre nous. chardesames
le livre est une vertue depuis que l’homme est ce qu’il est, et surtout ce qu’il est devenu. Oui c’est meme plus que cela, c’est un veritable trésor intarrissable, et une fois ecrit, lu et ou non reconnu, il laisse son emprunte, sa trace,là, quelquepart dans telle biblio, ou librairie ou encore sur une empoussiérée ètagére…trop tard messieurs les dictateurs ! messieurs les tirans, les bien pensant et autres protefeuilles bedonnants !meme vous les alcooliques, les droguès les putes, les fous, les immolés, les mollahs et autres curés défroqués du corps et de l’ame ! tous ! tous ! vous etes, à juste titre ou pas, devoilés, affichés et reconnus !moi aussi du reste je n’y coupe pas, surement dans une page d’un quelconque journal féministe, ou dans les revues psychologiques traitant de la skyzophrenie douce. Ou encore dans le proces verbal d’une quelconque police nationale. Le premier « travail » d’Hitler, fut de « baillonner » les penseurs et autres intellectuels. L’homme dans sa monstruositè avait une intelligence remarquable, mise au service d’une cause effroyable certes. Il disait aussi que le plus gros mensonge est celui qui passe le mieux…je me demande, là tout songeur si certains hommes, politiques ou pas, n’ont pas eu « mein kampf » sur leur table de chevet. Tout personnage dans sa folie nous attire, c’est une contre-nature que de ne pas etre interessé et captivé par le pourquoi du comment.dire le contraire serait faux et de plus criminel, car ignorer l’histoire c’est etre condamné à la revivre chardesames
Les remords
Ca ne sert à rien, meme pas a faire mieux la prochaine fois. Car si tout n’est pas identique, il est tout de meme des points communs qui laisse songeur. La piece de thèatre, ainsi faite, qu’est celle de la vie, nous donne tendance à nous travestir en un autre, que nous souhaitons etre le meilleur pour nous et aussi, il faut bien l’admettre, pour la satisfaction de la sociéte environnante. La rencontre en amour différe de celle de l’amitié, cette grotesque mise en scéne, que nos mœurs nous inflige, à répondre à une gestuelle dite, courtisane. Comme s’il fallait se faire accepter de l’autre. Et ce, en respectant l’adage : « la fin justifie les moyens ». observez !mais observez ! on selectionne, on trie on construit avec nos 'legos psychologiques' l'homme ou la femme idéale. et on l'affirme! « recherche homme grand, sportif,mate,indépendant, serieux, mais pas trop. Sincére .qui me prenne pas la tête. Pas menteur.entre 35 et 40. le tout sans enfant. »…que tu sois travailleur, mais un travail qui te prenne un minimum de temps, et qui rapporte gros. Que tu sois présent à la maison, mais pas envahissant et que tu fasses les taches ménagères, car tout ce qu’elles ont retenues de l’Islam c’est l’investissement du St prophete en sa demeure. Et tout le reste n’est qu’archaïque : « Faut vivre avec son temps ! ». Etre à l’écoute, oui à l’écoute, d’environs 6000 mots prononcés par jour ! Prennez le temps ! assayez vous et ecoutez !…le non sens et l’oisiveté des dialogues sont ahurissants. Je parle pas de capacités intellectuelles, en disant que l’homme est mieux, plus intelligent ou autre. Non rein de cela, c’est un fait que j’ai établie, et qui refléte une grande partie d'entre nous. Ca ne fera pas l’hunanimité, mais qui pour un nombre cela trouvera échos et aquiescement. J’en suis certain.Certes, de nos jours et c’est très tendance, que beaucoup d’hommes se complaisent également dans ce genre de discussions, attitudes et autre philosophie de vie tout aussi inutiles et éphémères…je pige pas !comment refouler ce que nous sommes, il est impératif et tout simplement innévitable que cela resugisse. Tôt ou tard. Et bien souvent les conséquences sont proportionnellement désastreuses à l’attente engagèe. S’affirmer ne veut pas dire s’imposer, loin de là. Dans ce genre de conseils, qui nous sont promulguès par des gens plus ou moins proches de nos vies, il y a souvent méprise. Etre soit n’est pas forcément une bonne attitude vis à vis d’autruit, combien d’entre nous ont pour ligne de conduite de dire ce qu’il ont sur le cœur,devenant les chevaliers du bon droit et du vrai savoir. Comme si leur cœur détenait vérité,justice et luccidité. Alors ils distillent leurs émotions et visions. Sément par vents et par « mots » leur cérébrale vérité. Alors que cette derniére n’est vraiment entiére que quand elle est recouverte de sagesse car elle donne une issue, une possibilité de compréhension, mais surtout elle donne une possibilité à celui qui y est confronté, d’atteindre lui-même, cette dite-vérité.. Alors que cette derniere, crachée au visage à l’état brut, écrase et ne laisse en guise d’acceptation et de changements que des extrêmes attitudes. L’homme n’est pas le meilleur exemple de la sagesse que l’on puisse citer. Un regard sur notre passé suffit à comprendre, que nous aurions pu en tirer sagesse, mais que nous avons préféré en tirer profit… chardesames
Encore un echec, encore de retour vers mon moi…pour repartir à zéro. Je vais juste m’épargner les sans cesses, « c’est la derniére fois » ! passons…..patientons.
Je suis decu, de moi, là aussi encore une fois. C’est prodigieux cette inexpliquable attirance pour ce dont on est pas fait ou apte. Cette attraction humaine est désolante de non sens et de temps perdu. Putain j’suis écoeuré !… J’arrive pas à ecrire, à prier ou meme penser ! Quel con ! Vraiment quel con ! chardesames
La rencontre, je m’y suis vu…
Comment dire, c’est simplement incroyable. La defaite pas encore consommée, ma faillite spirituelle non digérée il fallait pourtant que je continu mon chemin. Après avoir dormi dans mon bus pendant une semaine, avalé kilometres surt kilometres. Le tout avec le sourire « social » qui s’impose et convient bien sur. La situation me poussa donc à rechercher un toit, et par la cause, à contacter celui, qui, me troubla… Rangez, braves gens, vos fléches empoisonnées dans les carcans de vos préjugés. Peut on être ébranlé, sans pour autant se laisser attirer par la consommation du sens figuré du dit-mot :« ébranlé » ? Après un contact téléphonique, rendez vous est pris pour visiter la chambre solliciter par ma personne et les modalités desirées par le loueur. L’homme est sage, d’une maigreure relative qui sans un œil vif et un sourire empli d’une intelligente suptilité, pourrait nous faire croire que la fatigue de la vie et ses coup de masse ont eu raison de sa lutte. Il n’en ai rien, il EST !… et je ne suis pas seul au monde. Nous glissons sur les questions d’argents, d’organisations et autres protocoles. Nos évidences communes et sociales nous ont trahies. Ne tarde pas les discussions « philosophico-comiques ». ne tarde pas Les rêves à voies hautes, les évidences humaines et matrimoniales, les constats socio-politiques et la dérive, non pas des continents, mais de la jeunesse à qui on ment, et qui s’en arange. Tout cela nous rapproches, au point ou je me suis vu dans un miroir de 20 ans, éloigné de moi. Ne sachant si j’atteindrai cet age, me voilà propulsé. Avoir 60 ans à 40e ans ! Le décallage de ma pensée me fait peur, mes aigreurs et autres écoeurements me radicalise face à l’espèce humaine. La vision de cette gabgie terrestre dégoulinant de connerie et d’intention bestials me percute l’âme, déchire ma spiritualité ! mais cette rencontre m’a rassuré,réconforté .Car même si la terre est ronde, il y a tant de cons qui en ont la vision carrée que je me demandais s’il ne fallait pas que j’en arrondisse les angles saillants de ma pensée, pour ne plus me blessé. Et il a surgit, et il a dit, dans la tourmente du vent de la simplicité de l’humanité, me claquant au visage. Comme pour me retenir de ne pas sombrer, il m’a dit de sa voix tranquille et son sourire brisant le « mal pensé »… : « et pourtant elle tourne…. » chardesames
J'ai entendu ce prénom résonner au fond de moi et............
Amel….Amel….Amenes et donne moi le miel, Le miel de ta voix, Qui fît taire les rois, Appauvris les poétes, Et qui fut pour mon coeur… « chifa ». Amel…Amel…Amenes et donnes moi le miel, Le miel de tes mots, Le miel qui se fait suave à mes oreilles, Celui qui me rendit beau. Et que coule et se répende, Comme l’eau bienfaitrice, Sur les jachéres de mon être, dont on ne peu plus rien prètendre Tes lumieres fantastiques . Amel…Amel…Te restes tu du miel ? A tant le partager, Et pour finir à ne que trop donner, Te retrouverais tu pauvresse ? Si un jour tu te tarie, Que tous te voient, inutile Laisse moi te guider Je connais des fleurs Aux pétales opalines, Qui ont poussées, Belles et divines dans mon cœur, soudain vivant, de ta voix, de tes mots et de ta lumiere, elles te ferons acceuil et asile, pour que tu les fécondes, et y retrouve le Calice faisant de nous, des êtres vivants… Des être aimants. chardesames
La poule aux cheveux d’or
Est sortie, Toutes voiles dehors. Elle dandine, exhibe et pavane Son médiocre corps. Feignant, Avec la certitude Que les ignorants, Eux, Ne sont pas ignorés. Elle progresse sur le bitume L’air décidé et Sans virgules Qui permettent de respirer. Tête basse, Lunettes démeusurées, Elle transpire la grace Et L’assurance « des abusés ». Maître renard, Par l’odeur alléchée, Se tein à peu prés ce langage : « comment l’approcher, comment la coucher ? » Mais patogeant Dans ses primaires équations, La belle, entre-temps, à filé. Ce n’est plus qu’une illusion. Il reste là, Quoit, idiot et ébété, S’en voulant d’être aussi Long à la rèaction, Et de manqué, À ce-point, De témérité. Ne sait-il pas pourtant, Que les plus belles vitrines Souvent, Nous laisse de glace, Tellement, Les prix qu’on y pratique, Serait Pour nos bourses, Une audace ! chardesames
Bleu lilas. Fleur d’une azure Splendeur. Qui me laissa quoit, En humant son cœur. Je vous ai vu, Joli pédoncule. Vous articuler dans un jardin, Minuscule, Pensant que les fleurs, Que l’on butine, Font le bon miel. Et que celles que l’on ceuille, Sont les plus belles. Et vous pensiez, Belle incrédule, Que personne ne saurait, Vous regarder… Vous qui avez su, Seule, vous cultiver. Mais vous avez la renomée, celle qui ne saurait s’acheter. Car vous avez grimpé, Oh belle fleur, Peut être Pas bien haut. Mais seule ! chardesames
A ne rien comprendre,
On fini par tout savoir, A ne rien entendre, On finit par mieux y voir. Inverses et contradictions, Complexes conseptions, C’est l’homme, Qui dans ces érudies érections. Se masturbe le cervelet, Pour atteindre le sumum, L’efficiente éjaculation… Un branleur en somme. A ne rien comprendre, On fini par tout savoir, A ne rien entendre, On finit par mieux y voir. Femme Rieuse et perpl- exe. Facessieuse et toujours amoureuse de son Ex. Elle s’emporte sevére, quand je suis hors con- texte. Pourtant, j’mépuise à la satisfaire. Con- tenté, par cette flamme jiclant de mon silex, Et quand, Elle, sa- fesse et tout le reste, con- vergent. Alors ca devient Illisible. Comme un fichier .EXE. A ne rien comprendre, On fini par tout savoir, A ne rien entendre, On finit par mieux y voir. J’en ai vu des mûres Et des déjas vertes. Mais jamais d’aussi rapident à faire le mur, quand j’laisse la fenêtre ouverte… Sujette au migraines soudaines, Elle en avait le feu au cul, D’avoir autant de fievre… Alors de cash en cachets, J’suis dev’nu fauché. Et une autre dans ma vie, Est entrée. Cette fois-ci Sans se faire prier ou payer, Et pour la derniere fois je fus fauché. La mort, collante compagne, m’a, elle aussi, saignée, prennant son temps, et le mien qui m’etais compté, elle m’a grignoté, gangrainé insatiable et cruelle elle m’a laissé, les pieds devant. Certes, mais pour une fois, et depuis longtemps, c’est moi… qui me suis fais la belle. chardesames
J’ai de longues heures à etre moi, De longues annèes a supporter le poids de mon infamie, De mes erreurs, A attendre, qu’enfin, Le Decideur, Du haut de son génie, me mette à trepas… Je ne rougirai pas de la voir en face, Cette mort que tous accable. Depuis que je la sais sur mes traces. Et Je ne veux pas attendre Que mes tempes blanchissent, Je ne veux pas voir, Mon corp qui se plisse, Qui se repli, qui s’amaigri Sur ce cœur qui malgrés tout, Bat, et rebat mon dégout… Je serai seul devant toi, Je veux te tendre les bras, T’aimer, pleurer une derniére foi, sur ce temps, trop long, que je ne desirai pas. Sur cette vie, si mal distribuée, qui me laissa froid. et Dont je fut étranger… Allez pleurer, Sur d’autres tombes, reservez vos larmes A de meilleurs. Aux poétes, aux sages et autres panseurs. Il aura suffit Que j’y crois, Pour être trahis. Il aura suffit Que j’aime Pour être anéhanti… Je n’ai rien demandé À Dieu. Ce jeu, Je ne voulais pas y participer. Mais de Sa toute Omniscience, Il m’a fait danser, Toujours à contre-temps, en pantin balancé. Comment pourrais-je Lui reprocher ? De mal-vivant Ne suis-je pas déjas renégat ? Et à être si bas, tombé, Il se peut, Qu’On en rit déjas Jusque dans l’au-delà, Et pour l’éternité. |
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