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Afrique: le Tchad avec ou sans Déby
Je refute dans son ensemble cette déclaration de son excellence Fidel Moungar. C'est autant cautionner le paternalisme colonial. Les tchadiens doivent s'asumer et decider eux meme qui doit les diriger et je pense c'est la notion meme de la democratie. le tchad est un pays democrate, la souverainété appartien au peuple qui doit deléguer ce pouvoir à un fils du tchad digne de diriger au mieux le pays. on ne doit pas attendre que la communauté internatinale nous impose un president ou decide du depart de deby. cette conception est revolue et c'est pas Moungar qui nous en convaincra. souvenez vous de la revolution française de 1789 et laissez les tchadiens faire ce qu'ils ont à faire: le netoyage ou le maintien.
Voulez vous par là affirmer qu'au Tchad: "Hors la guerre point de salut"?
Idriss Déby est mais c'est mon opinion, au pouvoir par la grâce des puissances étrangères! Si ces puissances n'en veulent plus elles feront en sorte qu'il parte. Nous ne sommes plus en 1789 et si le sang a coulé en France cela ne justifie aucunement qu'il coule au Tchad au 21eme siècle.
Mais ou est le scandale quand quelqun écrit qu'un homme politique demande que les tchadiens doivent demander un coup de main par exemple à L'ONU? Comment en effet organiser des élections générales au Tchad sans controle international?
Je ne sais pas ci ce qui est écrit dans le blog ci dessous est exacte, mais c'est pas trés flateur pour Moungar!:
"Sortie médiatique de l’opposant Fidel Moungar à Paris: ‘‘Fidel Moungar regarde vers N’Djaména’’
cefod: ‘‘Fidel Moungar regarde vers N’Djaména’’, c’est la principale conclusion que tire le reporter du Progrès qui couvert l’exposé de l’ancien Premier ministre tchadien. Pour M. Moungar, Idriss Déby est le président légal que tout le monde doit reconnaître et la première des choses à faire, c’est de faire arrêter la guerre et de retourner au pays, rapporte le journal. En tout cas, souligne le journal, tout le long de ses interventions, Fidel Moungar est resté Fidel aux institutions républicaines. Le Progrès rapporte également que l’orateur entretient l’assistance de ‘‘l’honneur de parler au président’’, ‘‘L’honneur de travailler avec le président’’, ‘‘le plaisir de recevoir un appel du chef de l’Etat’’. Dans sa chute, notre confrère relève que comme la plupart des ‘‘opposants’’ au régime de Déby, l’exil commence à lui peser lourd et l’envie de retour au pays est de plus en plus pressant dans les différentes causeries." b[
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