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Le sida a été introduit aux Etats-Unis via Haïti, selon une étude
Le virus du sida, originaire d'Afrique, s'est propagé aux Etats-Unis via Haïti vers 1969, dix ans plus tôt qu'estimé jusque-là, affirme une étude. Cette théorie élimine totalement la théorie populaire du patient zéro qui aurait été un steward canadien homosexuel.
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"L'esprit quantique" versus "Le cantique des cantiques"
Témoignage de Lucien BONNET
S.V.P., Voir "Bill A Ri et voici la lumière!"
Dans : http://www.contact-canadahaiti.ca
LETTRE AU PRÉSIDENT ARISTIDE
Montréal, le 7 février 1991
Révérend Père Jean Bertrand Aristide
Président de la République d’Haïti
Palais National
Port-au-Prince
Haïti
Monsieur le Président,
Le monde entier a les yeux fixés sur vous, sur Haïti et sur son peuple.
Tous et chacun attendent de vous et de votre gouvernement légitime, on ne peut plus démocratique, que quelque chose se passe en Haïti.
Un des porte-paroles les plus célèbres de l’humanité, Jean-Paul II, est jadis venu chez nous en mars 1983 proclamer tout haut ce que tous et chacun murmuraient tout bas : « Il faut que quelque chose change ici ».
Aujourd’hui plus que jamais le peuple haïtien, debout, aspire à quelque chose et fait vraiment que quelque chose se passe.
Et l’Histoire, qui désormais repose entre tes mains chère Haïti, te dis : « C’est à ton tour de te laisser parler d’amour ».
Vas, Haïti, vas ! Montre-nous ton vrai visage, positivement !
À chacun alors de jouer son rôle pour donner à ce pays son cachet d’excellence.
À ce prix, volontiers, je m’adresse aujourd’hui à Votre Excellence et à « notre excellence de peuple », qui offrez à ce pays une manière d’être quelquechose. Oui, comme qui dirait : « Quelque chose comme un grand peuple ».
Vas-y, Haïti, vas ! … sur les pas de ton Prophète devenu pour toi Homme d’État.
Dans cette optique, Monsieur le Président, à qui d’autre qu’à Votre Excellence je pourrais confier ce document adressé jadis sous forme de lettre à Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II à l’occasion de sa première visite en Haïti, ainsi que l’accusé de réception émané du Vatican ?
Cette « Lettre au Pape Jean-Paul II » vise à attirer l’attention sur le problème du racisme anti-noir et ses répercussions négatives au niveau même de l’avancement du progrès scientifique en Occident et plus précisément dans le domaine de l’Optique.
Dans le Monde occidental, en effet, selon la théorie admise depuis Newton, on considère que le blanc est la synthèse des couleurs ; en réalité c’est le contraire : le blanc constitue l’analyse ou le décodage « visible » de la lumière ou des couleurs, alors que le noir en est la synthèse ou la composition « invisible ».
Autrement dit, l’obscurité ou la noirceur et par extension le « Trou noir » (terme utilisé à tort dans le Monde scientifique pour désigner la réalité des astres invisibles ou Soleils noirs) sont source d’énergie et de lumière.
Cette matière première de l’énergie lumineuse culmine, à son degré extrême de rayonnement par neutralisation de toutes les couleurs du spectre, sous la forme de « lumière blanche » selon l’expression consacrée.
Par conséquent, le « noir absolu » - absorption de toutes les couleurs - est une composition divisible de la lumière. La théorie de Newton, sans contredit, donne une interprétation partielle à la notion de lumière en excluant le noir. Notre apport tend à démontrer que le noir est non seulement partie intégrante du processus de la lumière mais en est la synthèse véritable. Le concept de lumière s’affirme donc comme étant un tout « divisible » comprenant une gamme d’intensités (ou de couleurs) où le noir est la forme « invisible » (ou absorbée) de l’énergie ainsi considérée.
Qu’il me soit ici permis, Monsieur le Président, pour étayer ces propos concernant les Trous noirs et le rayonnement, de poser avec Hubert Reeves, docteur en astrophysique nucléaire et conseiller scientifique de la NASA, la question suivante : « Que deviendrait le Soleil si on le plongeait dans un rayonnement de haute température comme celui qui existait au début de l’univers ? » Au lieu d’émettre de la lumière, il en absorberait et finirait par se résorber entièrement dans le fluide cosmique.
Le fluide cosmique, Excellence, voilà ce que par « erreur d’Optique » on appelle « l’obscurité » ou « les ténèbres de l’espace ». C’est ce flux électromagnétique, océan incommensurable où baignent les planètes et les étoiles, comme la mer qui relie les continents les uns aux autres. L’obscurité est donc « la mer de l’espace ».
Mais que se passerait-il si on injectait dans ce rayonnement primordial non pas une étoile ordinaire comme le Soleil blanc mais un « Trou noir » ou « Soleil noir » ?
Selon la physique d’Einstein, un Trou noir est un lieu où la gravité est si formidablement intense que rien ne peut s’en échapper, pas même la lumière « visible ». Un tel objet devrait aspirer et absorber le rayonnement et augmenter progressivement sa propre masse (E=MC2 toujours…).
Mais après Einstein, il y a eu Bohr, Heinsenberg et la physique quantique ; et rien ne sera plus jamais pareil.
La version einsteinienne du Trou noir est équivalente à l’affirmation que la matière située à l’intérieur du Trou noir est définitivement « assignée à résidence » dans ce volume d’espace. Selon le mot de Hubert Reeves, « Un énoncé aussi absolu est donc contraire à l’esprit quantique d’après lequel : rien n’est jamais définitivement localisé quelque part. Il y a toujours probabilité d’en sortir. Si le mur d’enceinte est trop haut, on creusera un tunnel ; si les prisonniers sont patients, ils s’évaderont. Il suffit d’attendre ».
En vertu de ce principe, les Trous noirs « s’évaporent ». Constamment, de la matière s’échappe sous forme de rayonnement ; les Trous noirs « brillent » ! Leur surface se comporte comme celle de n’importe quel corps porté à une certaine température et ce « rayonnement » alimentera sans fin le merveilleux « fluide cosmique » que l’on s’obstine, comme des aveugles, à appeler « l’obscurité ».
Nigra sum « sed » formosa. Oui ! mais de préférence ne faudrait-il pas dire : je suis noire « et » belle ? Car l’obscurité, à la fois source et véhicule de la lumière, n’a pas à se défendre d’être la belle et infiniment discrète matière première de l’univers. L’obscurité est la mère de l’univers.
Discrète et belle es-tu, toi aussi, Haïti. Discrète, oui ; mais effacée, jamais ! À l’image de la « Vierge Noire » qui t’inspire et qui t’aime. Du sommet et par delà l’espace de ta « Cité Soleil ».
C’est pour proposer une approche plus constructive qui amène des correctifs aux données traditionnelles abusives dites encore scientifiques de l’Optique que nous nous sommes adressé, Excellence, à ce témoin authentique du signe des temps, Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II — prophète de l’ère nouvelle.
Soyez félicité, Excellence, et que soit à jamais félicitée notre « excellence de peuple » pour avoir rendu possible, aujourd’hui, que sonne l’heure et l’ère de notre « nouvelle indépendance ».
Lucien Bonnet
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Le Cosmos, un grand trou noir?
Selon le physicien Jae-Weon Lee
Image de milliers de galaxies formant le cosmos captée par le télescope spatial Hubble et transmise par l'Agence spatiale européenne.
Photo AFP
Agence Science-Presse
La solution à l’énergie sombre, cette mystérieuse énergie qui imprégnerait l’ensemble du cosmos, réside peut-être dans le fait que notre cosmos est en fait... un trou noir.
Le physicien Jae-Weon Lee, de l’Institut d’études avancées de Corée du Sud, compare «l’événement-horizon», cette limite encerclant le trou noir, à l’intérieur de laquelle rien ne peut s’échapper, pas même la lumière, aux limites observables de notre Univers: tout ce qui se trouve au-delà de cet horizon nous est à jamais caché.
Avec son équipe, il a calculé l’énergie qui serait générée lorsque deux particules «corrélées» (c’est-à-dire immuablement liées l’une à l’autre, en vertu d’une théorie propre à la physique quantique qu’il serait trop long d’expliquer ici), lorsque ces deux particules donc, sont séparées par l’événement-horizon: le résultat de ce calcul, affirment ces chercheurs, correspond à la quantité d’énergie nécessaire pour expliquer que l’expansion du cosmos soit en train d’accélérer plutôt que de ralentir —un phénomène encore inexpliqué, mais que les cosmologistes attribuent à cette mystérieuse énergie sombre.