Les sapeurs pompiers de Mbour dépêchés, quelques minutes après ,sur les lieux de l’accident, ont procédé à l’évacuation des blessés .Ils les acheminent dans un premier temps vers le centre de santé de Mbour. Au cours de cette évacuation, le bilan s’alourdit, une troisième victime décède .Les causes de l’accident ne sont pas encore formellement déterminées.
Les commentaires vont bon train. Les quelques blessés encore lucides après le choc pointent un doigt accusateur sur le car Ndiaga Ndiaye qui, disent-ils, était lourdement chargé. Pour eux, c’est le chargement défectueux du car qui est la cause de l’irréparable.
Pour rappel, la Nationale 1, surnommée, la « Route qui tue » est célèbre par son cortège d’accidents macabres aux bilans très lourds .Cet accident est le énième enregistré.
Toujours, ce sont des défaillances humaines qui sont ciblées .Des animaux traversant la route, des dépassements non autorisés et d’une manière générale l’imprudence des chauffeurs sont relevés comme les causes des accidents occasionnant des pertes en vies humaines et des dégâts matériels inestimables . Si l’état défectueux de la route a été longtemps tenu pour responsable des nombreux accidents de la circulation, il demeure aujourd’hui admis que les voitures roulent à des vitesses folles sur le tapis Diamniadiao-Kaolack surtout de nuit et font des collisions mortelles.
Source: Sud Quotidien
Les commentaires vont bon train. Les quelques blessés encore lucides après le choc pointent un doigt accusateur sur le car Ndiaga Ndiaye qui, disent-ils, était lourdement chargé. Pour eux, c’est le chargement défectueux du car qui est la cause de l’irréparable.
Pour rappel, la Nationale 1, surnommée, la « Route qui tue » est célèbre par son cortège d’accidents macabres aux bilans très lourds .Cet accident est le énième enregistré.
Toujours, ce sont des défaillances humaines qui sont ciblées .Des animaux traversant la route, des dépassements non autorisés et d’une manière générale l’imprudence des chauffeurs sont relevés comme les causes des accidents occasionnant des pertes en vies humaines et des dégâts matériels inestimables . Si l’état défectueux de la route a été longtemps tenu pour responsable des nombreux accidents de la circulation, il demeure aujourd’hui admis que les voitures roulent à des vitesses folles sur le tapis Diamniadiao-Kaolack surtout de nuit et font des collisions mortelles.
Source: Sud Quotidien