"Nous voulons réussir", a-t-il déclaré lors d'une allocution télévisée, tout en affirmant que "le compromis est parfois difficile".
La ZANU-PF, le parti de Mugabe, et le Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition) de Morgan Tsvangirai ont entamé jeudi dernier à Johannesburg des négociations sur un gouvernement de partage du pouvoir, sous la médiation de l'Afrique du Sud.
Lundi, des sources proches des pourparlers avaient affirmé que les négociations avaient été rompues, les deux camps s'opposant sur la volonté de Robert Mugabe de conserver la présidence.
Mais mardi le président sud-africain Thabo Mbeki avait assuré que les pourparlers se poursuivaient que la date-limite pour un accord, fixée au 4 août, serait respectée.
Ces négociations ont été engagées pour résoudre la crise née des résultats de l'élection présidentielle. En tête à l'issue du premier tour le 29 mars, Morgan Tsvangirai avait décidé de se retirer du second tour du 27 juin qui l'opposait à Robert Mugabe, en raison de l'escalade des violences contre ses partisans, qui ont fait au moins 120 morts. Mugabe, seul candidat, a donc remporté un scrutin dénoncé par la communauté internationale.
Source: Yahoo News
La ZANU-PF, le parti de Mugabe, et le Mouvement pour le changement démocratique (MDC, opposition) de Morgan Tsvangirai ont entamé jeudi dernier à Johannesburg des négociations sur un gouvernement de partage du pouvoir, sous la médiation de l'Afrique du Sud.
Lundi, des sources proches des pourparlers avaient affirmé que les négociations avaient été rompues, les deux camps s'opposant sur la volonté de Robert Mugabe de conserver la présidence.
Mais mardi le président sud-africain Thabo Mbeki avait assuré que les pourparlers se poursuivaient que la date-limite pour un accord, fixée au 4 août, serait respectée.
Ces négociations ont été engagées pour résoudre la crise née des résultats de l'élection présidentielle. En tête à l'issue du premier tour le 29 mars, Morgan Tsvangirai avait décidé de se retirer du second tour du 27 juin qui l'opposait à Robert Mugabe, en raison de l'escalade des violences contre ses partisans, qui ont fait au moins 120 morts. Mugabe, seul candidat, a donc remporté un scrutin dénoncé par la communauté internationale.
Source: Yahoo News