Depuis l'apparition de la maladie en août dans ce pays d'Afrique australe, 1.546 personnes sont mortes du choléra et 29.131 cas suspects ont été diagnostiqués, a indiqué un porte-parole de l'OMS à Genève.
Harare, la capitale zimbabwéenne, est toujours la zone la plus touchée, avec 330 morts et 9.916 cas diagnostiqués, selon ce nouveau bilan.
Un précédent bilan publié le 23 décembre faisait état de 1.174 morts et 23.712 cas suspects dans le pays.
Les agences humanitaires de l'ONU, qui se préparent déjà pour un scénario catastrophe de 60.000 personnes atteintes, avaient prévenu il y a une semaine que l'épidémie de choléra se propageait "toujours dans le pays, ce qui signifie qu'elle n'est toujours pas sous contrôle". Ces craintes sont d'autant plus vives que la saison des pluies, propice à une propagation de la maladie qui se transmet par les eaux usées, commence à peine au Zimbabwe.
Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) comme la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ont expliqué craindre une aggravation de la situation sur fond de crise générale dans le pays, économiquement ruiné et paralysé politiquement depuis la défaite du parti du président Robert Mugabe aux élections de mars.
Source: Dabio
Harare, la capitale zimbabwéenne, est toujours la zone la plus touchée, avec 330 morts et 9.916 cas diagnostiqués, selon ce nouveau bilan.
Un précédent bilan publié le 23 décembre faisait état de 1.174 morts et 23.712 cas suspects dans le pays.
Les agences humanitaires de l'ONU, qui se préparent déjà pour un scénario catastrophe de 60.000 personnes atteintes, avaient prévenu il y a une semaine que l'épidémie de choléra se propageait "toujours dans le pays, ce qui signifie qu'elle n'est toujours pas sous contrôle". Ces craintes sont d'autant plus vives que la saison des pluies, propice à une propagation de la maladie qui se transmet par les eaux usées, commence à peine au Zimbabwe.
Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) comme la Fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge ont expliqué craindre une aggravation de la situation sur fond de crise générale dans le pays, économiquement ruiné et paralysé politiquement depuis la défaite du parti du président Robert Mugabe aux élections de mars.
Source: Dabio