Si son groupe voit régulièrement ses revenus augmenter, ses bénéfices font cependant le chemin inverse, passant d'1,9 milliard de dollars de bénéfices en 2005 à cinq fois moins trois ans plus tard (424 millions précisément). Une chute de près de 80 % en 36 mois, qui aurait de quoi en perturber plus d'un, d'autant que l'ogre Google semble indétronable, et que Microsoft ne cesse de faire du pied pour racheter une partie voire l'intégralité de Yahoo!.
Confirmant encore devant des analystes financiers qu'elle ne comptait pas vendre Yahoo!, Carol Bartz a même avoué être surprise de l'état de sa société. S'attendant à retrouver une entreprise désorientée, il n'en est rien. Est-ce de la franchise ou de la simple communication pour rassurer ses actionnaires ? Nous le saurons bien assez tôt.
« Suis-je venue chez Yahoo! pour vendre la société ? » s'est-elle posé la question ? « Non ! » a-t-elle aussitôt répondu. Et Carol Bartz de continuer son propre jeu de question-réponse : « Ai-je prévu de vendre immédiatement l'activité recherche ? Je ne suis pas arrivée avec des idées préconçues. »
Affirmant que Yahoo! ne devait en aucun cas être divisée, balayant les rumeurs laissant entendre que Yahoo! pourrait céder certaines activités, dont son moteur de recherche, Bartz a néanmoins semé le doute avec sa précision "immédiatement" quant à la vente de son activité recherche. Et ce n'est pas la remarque suivante qui a permis de calmer le jeu :
« Mon travail est de faire en sorte que, en tant que société, nous examinions tout ce qui a un sens à long terme et de créer de la valeur pour l'actionnaire. S'il y a quelque chose d'intéressant à regarder, nous regarderons. »
En somme, en ces temps difficiles et à l'avenir incertain, Yahoo! ne serait pas contre une offre "qu'on ne refuse pas". Reste à savoir à combien de dizaines de milliards de dollars cette offre doit être fixée.
Source: Yahoo News
Confirmant encore devant des analystes financiers qu'elle ne comptait pas vendre Yahoo!, Carol Bartz a même avoué être surprise de l'état de sa société. S'attendant à retrouver une entreprise désorientée, il n'en est rien. Est-ce de la franchise ou de la simple communication pour rassurer ses actionnaires ? Nous le saurons bien assez tôt.
« Suis-je venue chez Yahoo! pour vendre la société ? » s'est-elle posé la question ? « Non ! » a-t-elle aussitôt répondu. Et Carol Bartz de continuer son propre jeu de question-réponse : « Ai-je prévu de vendre immédiatement l'activité recherche ? Je ne suis pas arrivée avec des idées préconçues. »
Affirmant que Yahoo! ne devait en aucun cas être divisée, balayant les rumeurs laissant entendre que Yahoo! pourrait céder certaines activités, dont son moteur de recherche, Bartz a néanmoins semé le doute avec sa précision "immédiatement" quant à la vente de son activité recherche. Et ce n'est pas la remarque suivante qui a permis de calmer le jeu :
« Mon travail est de faire en sorte que, en tant que société, nous examinions tout ce qui a un sens à long terme et de créer de la valeur pour l'actionnaire. S'il y a quelque chose d'intéressant à regarder, nous regarderons. »
En somme, en ces temps difficiles et à l'avenir incertain, Yahoo! ne serait pas contre une offre "qu'on ne refuse pas". Reste à savoir à combien de dizaines de milliards de dollars cette offre doit être fixée.
Source: Yahoo News