La controverse entre les deux personnalités du principal parti d'opposition, partie du fait que l'ex-candidate à la présidentielle est venue samedi à une réunion organisée par son ancien lieutenant sans y être invitée, entame ainsi son cinquième jour et suscite la consternation au sein même du PS.
"Il y a 20 dirigeants du courant qui sont élus par les militants au bureau national, ils le restent, pas un seul ne bougera, l'esbroufe médiatique ne fait pas la réalité", a dit Vincent Peillon sur Europe 1.
Une autre de ses déclarations sur BFM TV enregistrée mardi soir et diffusée largement mercredi a animé les débats sur l'épisode. "On est en psychiatrie lourde, là (...) On est élus, nous, on est pas des clowns", avait-t-il dit.
Mardi soir, l'ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait annoncé qu'elle le congédiait et confiait l'animation du courant appelé "Espoir à gauche" à trois de ses proches, Najat Belkacem, Gaëtan Gorce et Jean-Louis Bianco.
Depuis sa création en 1971, le PS français est organisé en courants, une modalité censée permettre le règlement de la cohabitation entre les diverses tendances.
Un vote des militants pourrait intervenir pour départager Vincent Peillon et Ségolène Royal, une solution souhaitée par les deux personnalités. D'autres épisodes sont donc en vue.
Mardi soir sur France 2, le premier secrétaire du PS Martine Aubry a expliqué qu'elle ne comprenait pas la querelle et préférait se concentrer sur les actions d'opposition menées par son parti contre les réformes de Nicolas Sarkozy.
Le député PS de l'Essonne Manuel Valls a estimé sur l'émission Questions d'info, de la Chaîne parlementaire, que l'affaire n'avait aucun intérêt et il a demandé à ses camarades de "reprendre leurs esprits" et de s'arrêter. "Tout cela est ridicule, pathétique et déplacé", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News
"Il y a 20 dirigeants du courant qui sont élus par les militants au bureau national, ils le restent, pas un seul ne bougera, l'esbroufe médiatique ne fait pas la réalité", a dit Vincent Peillon sur Europe 1.
Une autre de ses déclarations sur BFM TV enregistrée mardi soir et diffusée largement mercredi a animé les débats sur l'épisode. "On est en psychiatrie lourde, là (...) On est élus, nous, on est pas des clowns", avait-t-il dit.
Mardi soir, l'ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait annoncé qu'elle le congédiait et confiait l'animation du courant appelé "Espoir à gauche" à trois de ses proches, Najat Belkacem, Gaëtan Gorce et Jean-Louis Bianco.
Depuis sa création en 1971, le PS français est organisé en courants, une modalité censée permettre le règlement de la cohabitation entre les diverses tendances.
Un vote des militants pourrait intervenir pour départager Vincent Peillon et Ségolène Royal, une solution souhaitée par les deux personnalités. D'autres épisodes sont donc en vue.
Mardi soir sur France 2, le premier secrétaire du PS Martine Aubry a expliqué qu'elle ne comprenait pas la querelle et préférait se concentrer sur les actions d'opposition menées par son parti contre les réformes de Nicolas Sarkozy.
Le député PS de l'Essonne Manuel Valls a estimé sur l'émission Questions d'info, de la Chaîne parlementaire, que l'affaire n'avait aucun intérêt et il a demandé à ses camarades de "reprendre leurs esprits" et de s'arrêter. "Tout cela est ridicule, pathétique et déplacé", a-t-il dit.
Source: Reuters via Yahoo News