Toutefois, la Géorgie, soutenue par l'Union européenne, a dénoncé un scrutin illégal.
"C'est l'expression de la volonté de notre peuple", a déclaré le leader sud-ossète Edouard Kokoïti, après l'annonce des résultats officiels qui accordent une nette victoire aux trois partis le soutenant.
Le parti Unité, le Parti communiste et le Parti du peuple avaient apporté leur soutien à l'ancien lutteur de 44 ans.
"Notre république et notre indépendance ont prouvé leur maturité par ce nouveau test. Comme vous pouvez le voir, la situation est parfaitement calme et stable dans notre république", a dit Kokoïti.
La province a proclamé son indépendance, reconnue par la Russie, après une brève guerre au mois d'août dernier.
Mais l'Union européenne, qui avait servi de médiatrice pour mettre un terme au conflit, a déclaré "ne reconnaître ni la légalité des 'élections', ni leurs résultats".
"La tenue de ces élections est illégitime et représente un pas en arrière dans la recherche d'un accord de paix durable en Géorgie", a affirmé la République tchèque, qui assure actuellement la présidence de l'UE.
"L'UE réaffirme son soutien entier à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de la Géorgie à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues", a ajouté Prague.
Selon les chiffres officiels, les trois partis fidèles à Kokoïti ont réuni à eux trois plus de 90% des votes. Le taux de participation s'établit autour de 82%.
Le parti socialiste-mère patrie, seule formation à critiquer Kokoïti, a recueilli moins de 7% des voix et ne sera pas représenté au parlement.
Pour l'opposition Ossète, ce scrutin visait à confirmer la mainmise sur le pouvoir du chef séparatiste qu'elle accuse de gaspiller l'argent fourni par Moscou pour reconstruire le territoire.
La commission électorale avait recensé plus de 52.000 personnes inscrites sur les listes, bien que l'opposition estime que la moitié des 70.000 habitants de la région l'ont quittée après le conflit de l'été dernier.
Source Reuters via Yahoo News
"C'est l'expression de la volonté de notre peuple", a déclaré le leader sud-ossète Edouard Kokoïti, après l'annonce des résultats officiels qui accordent une nette victoire aux trois partis le soutenant.
Le parti Unité, le Parti communiste et le Parti du peuple avaient apporté leur soutien à l'ancien lutteur de 44 ans.
"Notre république et notre indépendance ont prouvé leur maturité par ce nouveau test. Comme vous pouvez le voir, la situation est parfaitement calme et stable dans notre république", a dit Kokoïti.
La province a proclamé son indépendance, reconnue par la Russie, après une brève guerre au mois d'août dernier.
Mais l'Union européenne, qui avait servi de médiatrice pour mettre un terme au conflit, a déclaré "ne reconnaître ni la légalité des 'élections', ni leurs résultats".
"La tenue de ces élections est illégitime et représente un pas en arrière dans la recherche d'un accord de paix durable en Géorgie", a affirmé la République tchèque, qui assure actuellement la présidence de l'UE.
"L'UE réaffirme son soutien entier à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de la Géorgie à l'intérieur de ses frontières internationalement reconnues", a ajouté Prague.
Selon les chiffres officiels, les trois partis fidèles à Kokoïti ont réuni à eux trois plus de 90% des votes. Le taux de participation s'établit autour de 82%.
Le parti socialiste-mère patrie, seule formation à critiquer Kokoïti, a recueilli moins de 7% des voix et ne sera pas représenté au parlement.
Pour l'opposition Ossète, ce scrutin visait à confirmer la mainmise sur le pouvoir du chef séparatiste qu'elle accuse de gaspiller l'argent fourni par Moscou pour reconstruire le territoire.
La commission électorale avait recensé plus de 52.000 personnes inscrites sur les listes, bien que l'opposition estime que la moitié des 70.000 habitants de la région l'ont quittée après le conflit de l'été dernier.
Source Reuters via Yahoo News