A en croire Boubacar Sissoko, chef d’un centre de santé, au Mali, les températures dépassent souvent 40 degrés Celsius, la campagne de vaccination est donc toujours une énorme entreprise logistique. Vacciner les Maliens dans ce pays essentiellement rural contre la Covid-19 sera un défi encore plus grand.
La population de la capitale congolaise s’exprime diversement sur le futur vaccin contre le coronavirus. Malgré les assurances scientifiques locales sur le bienfait du vaccin, nombreux affichent leur réticence.
La chercheuse biologiste moléculaire indique qu’«il n’est pas dit un vaccin qui a 95% d’efficacité aux Etats-Unis aura aussi cette efficacité sur le continent. L’Africa CDC prépare des sites de clinique pour pouvoir tester ces vaccins ». « Donc, chaque pays doit déterminer quelles sont les populations devront accès en priorité au vaccin », a-t-elle indiqué.
Francine Ntoumi prévient également que le vaccin ne sera pas disponible pour toutes les populations africaines.
Les brazzavillois ont une opinion partagée sur ce vaccin tant attendu. Nombreux s’étaient déjà montrés très hostiles à une éventuelle campagne de tests de vaccin.
« Pour moi, ce n’est pas une bonne nouvelle. A mon avis, ce n’est pas la vraie solution, la solution est certainement ailleurs », déclare Lebon Ziavoula.
A en croire Alphonse N’dongo, patron d’un restaurant, trouve que c’est ‘’une bonne nouvelle’’, affirmant que les commerçants vont à nouveau devoir voyager.
« Beaucoup de congolais dépendent de leurs petites activités commerciales avec Dubai, la Chine, la Turquie, ou la France. Grace à ce vaccin, les gens pourront à nouveau se mouvoir », se satisfait M. Ndongo.
La population de la capitale congolaise s’exprime diversement sur le futur vaccin contre le coronavirus. Malgré les assurances scientifiques locales sur le bienfait du vaccin, nombreux affichent leur réticence.
La chercheuse biologiste moléculaire indique qu’«il n’est pas dit un vaccin qui a 95% d’efficacité aux Etats-Unis aura aussi cette efficacité sur le continent. L’Africa CDC prépare des sites de clinique pour pouvoir tester ces vaccins ». « Donc, chaque pays doit déterminer quelles sont les populations devront accès en priorité au vaccin », a-t-elle indiqué.
Francine Ntoumi prévient également que le vaccin ne sera pas disponible pour toutes les populations africaines.
Les brazzavillois ont une opinion partagée sur ce vaccin tant attendu. Nombreux s’étaient déjà montrés très hostiles à une éventuelle campagne de tests de vaccin.
« Pour moi, ce n’est pas une bonne nouvelle. A mon avis, ce n’est pas la vraie solution, la solution est certainement ailleurs », déclare Lebon Ziavoula.
A en croire Alphonse N’dongo, patron d’un restaurant, trouve que c’est ‘’une bonne nouvelle’’, affirmant que les commerçants vont à nouveau devoir voyager.
« Beaucoup de congolais dépendent de leurs petites activités commerciales avec Dubai, la Chine, la Turquie, ou la France. Grace à ce vaccin, les gens pourront à nouveau se mouvoir », se satisfait M. Ndongo.