"Puisque la France va assurer la présidence de l'Union européenne au deuxième trimestre 2008, j'ai décidé que la sécurité sanitaire et tout particulièrement la préparation à une éventuelle pandémie de grippe d'origine aviaire serait un point fort de l'agenda", a-t-elle déclaré devant la presse.
Elle s'exprimait en conclusion de la huitième rencontre ministérielle annuelle sur l'Initiative pour la sécurité sanitaire mondiale (GHSI) qui s'est tenue cette semaine au siège des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) près de Washington, et qui regroupait notamment, outre la France, les Etats-Unis, l'Allemagne, la Grande Bretagne, l'Italie, le Canada, le Japon et l'Union Européenne.
"La France veut être exemplaire en ce qui concerne la préparation à cette pandémie et le faire non seulement dans un cadre national mais également européen", a-t-elle ajouté.
La ministre a aussi défendu les mesures prises en France contre une éventuelle pandémie de grippe aviaire, affirmant notamment que les vaccins et médicaments stockés étaient en nombre très supérieur à celui des personnes qui pourraient être infectées.
Outre la préparation des personnels qui seraient appelés à intervenir en cas de pandémie, la responsable française a rappelé que des plans de coordination et de préparation avaient été établis pour assurer la continuité administrative et sanitaire en cas de besoin. Elle a dit qu'un exercice national aurait lieu en décembre pour vérifier que tous ces dispositifs seraient mis en oeuvre.
Elle s'exprimait en conclusion de la huitième rencontre ministérielle annuelle sur l'Initiative pour la sécurité sanitaire mondiale (GHSI) qui s'est tenue cette semaine au siège des Instituts nationaux américains de la santé (NIH) près de Washington, et qui regroupait notamment, outre la France, les Etats-Unis, l'Allemagne, la Grande Bretagne, l'Italie, le Canada, le Japon et l'Union Européenne.
"La France veut être exemplaire en ce qui concerne la préparation à cette pandémie et le faire non seulement dans un cadre national mais également européen", a-t-elle ajouté.
La ministre a aussi défendu les mesures prises en France contre une éventuelle pandémie de grippe aviaire, affirmant notamment que les vaccins et médicaments stockés étaient en nombre très supérieur à celui des personnes qui pourraient être infectées.
Outre la préparation des personnels qui seraient appelés à intervenir en cas de pandémie, la responsable française a rappelé que des plans de coordination et de préparation avaient été établis pour assurer la continuité administrative et sanitaire en cas de besoin. Elle a dit qu'un exercice national aurait lieu en décembre pour vérifier que tous ces dispositifs seraient mis en oeuvre.