Le motif exact de l'agression est inconnu.
Selon la police, l'homme a volé l'arme de l'agent et s'est enfui en voiture avant qu'un accident ne l'oblige à poursuivre à pied.
La chaîne d'information française BFMTV a rapporté que l'agresseur a été pris dans une chasse à l'homme qui a impliqué deux hélicoptères de la police et plus de 200 agents.
La victime se trouvait dans un état critique, ont indiqué les médias.
Les écoles situées à proximité ont été placées sous protection policière.
L'incident survient un mois après qu'une policière a été poignardée à mort près de Paris par un ressortissant tunisien qui avait regardé des vidéos religieuses glorifiant les actes de djihad juste avant de commettre son attaque.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré qu'il se rendait sur les lieux de l'attaque de vendredi.
La question de la sécurité intérieure sera probablement au cœur de la campagne en vue de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Marine Le Pen, chef de file de l'extrême droite et principal opposant à la candidature d'Emmanuel Macron à la réélection, dépeint le président comme faible en matière de sécurité et affirme que la police doit être mieux protégée.
Selon la police, l'homme a volé l'arme de l'agent et s'est enfui en voiture avant qu'un accident ne l'oblige à poursuivre à pied.
La chaîne d'information française BFMTV a rapporté que l'agresseur a été pris dans une chasse à l'homme qui a impliqué deux hélicoptères de la police et plus de 200 agents.
La victime se trouvait dans un état critique, ont indiqué les médias.
Les écoles situées à proximité ont été placées sous protection policière.
L'incident survient un mois après qu'une policière a été poignardée à mort près de Paris par un ressortissant tunisien qui avait regardé des vidéos religieuses glorifiant les actes de djihad juste avant de commettre son attaque.
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré qu'il se rendait sur les lieux de l'attaque de vendredi.
La question de la sécurité intérieure sera probablement au cœur de la campagne en vue de l'élection présidentielle de l'année prochaine.
Marine Le Pen, chef de file de l'extrême droite et principal opposant à la candidature d'Emmanuel Macron à la réélection, dépeint le président comme faible en matière de sécurité et affirme que la police doit être mieux protégée.