L'université trop libre de Bruxelles
Cela commence par des sonneries de téléphone portable. Stridentes, lancinantes, elles s'élèvent des rangs garnis de l'amphithéâtre K de l'Université libre de Bruxelles (ULB). Devant 800 personnes, ce soir du 7 février, l'essayiste française Caroline Fourest, militante laïque et féministe, débat avec Hervé Hasquin, ancien ministre belge et recteur honoraire de l'université, de la récupération par Marine Le Pen du concept de laïcité. Rapidement, les sonneries laissent place à un cri, scandé par une cinquantaine de personnes : 'Burqa bla-bla ! Burqa bla-bla !' Le porte-parole des perturbateurs finit par descendre sur l'estrade, foulard noué sur la tête. Souhail Chichah explique sommairement son action : selon cet assistant-chercheur de l'ULB, les travaux de Caroline Fourest sur l'islam et l'intégrisme font d'elle une 'musulmanophobe de gauche'.(lemonde.fr) Le racisme et la stupidité sont partout, cependant ce n'est pas en faisant des démonstrations de force de ce style qu'il faut se faire entendre, bien au contraire.
Le combat des rebelles syriens à la frontière turque
Moussa, un rebelle syrien de 28 ans, revit le moment où son groupe de combattants s'est retrouvé il y a quelques jours sous le feu des militaires alors qu'ils transportaient un camarade blessé à travers la frontière syro-turque. "Ils ont tiré de toutes les directions, devant, derrière. Puis d'autres soldats sont apparus juste devant nous", raconte-t-il en tirant nerveusement sur sa cigarette. "On a été pris par surprise, on ne savait pas quoi faire, alors on s'est enfui", poursuit le jeune homme efflanqué, désormais à l'abri dans la province turque de Hatay. Un des combattants a péri sur place, d'autres ont été blessés. Trois rebelles ont été capturés, Moussa et ses autres camarades ont réussi à passer la frontière.(fr.reuters.fr) C'est tout de même un comble que même les combattants veulent quitter le pays.
Portugal: Les anti-austérité rassemblent peu
De notre envoyé spécial à Lisbonne. Sur la place Dom Pedro V, les haut-parleurs crachent: «Le peuple uni ne sera jamais vaincu!» Mais, autour de la camionnette de la CGTP, personne ne reprend le fameux slogan. «Le problème, c'est que le peuple n'est pas vraiment uni…», sourit Vitor. Jeudi, la manifestation contre les mesures d'austérité n'a pas rassemblé les foules à Lisbonne. Selon nos estimations, environ 2.000 personnes ont défilé du Rossio au Parlement. «Les gens ne peuvent plus se permettre de perdre une journée de salaire en faisant grève», explique Vitor. Ingénieur informatique dans le privé, Vitor est venu manifester pour tous les précaires. «Mon salaire à moi n'a pas diminué, mais j'ai bien senti l'augmentation des taxes…»(20minutes.fr) Cela prouve à quel point la population est asphyxiée par le capitalisme.
Source: Yahoo actualités
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Cela commence par des sonneries de téléphone portable. Stridentes, lancinantes, elles s'élèvent des rangs garnis de l'amphithéâtre K de l'Université libre de Bruxelles (ULB). Devant 800 personnes, ce soir du 7 février, l'essayiste française Caroline Fourest, militante laïque et féministe, débat avec Hervé Hasquin, ancien ministre belge et recteur honoraire de l'université, de la récupération par Marine Le Pen du concept de laïcité. Rapidement, les sonneries laissent place à un cri, scandé par une cinquantaine de personnes : 'Burqa bla-bla ! Burqa bla-bla !' Le porte-parole des perturbateurs finit par descendre sur l'estrade, foulard noué sur la tête. Souhail Chichah explique sommairement son action : selon cet assistant-chercheur de l'ULB, les travaux de Caroline Fourest sur l'islam et l'intégrisme font d'elle une 'musulmanophobe de gauche'.(lemonde.fr) Le racisme et la stupidité sont partout, cependant ce n'est pas en faisant des démonstrations de force de ce style qu'il faut se faire entendre, bien au contraire.
Le combat des rebelles syriens à la frontière turque
Moussa, un rebelle syrien de 28 ans, revit le moment où son groupe de combattants s'est retrouvé il y a quelques jours sous le feu des militaires alors qu'ils transportaient un camarade blessé à travers la frontière syro-turque. "Ils ont tiré de toutes les directions, devant, derrière. Puis d'autres soldats sont apparus juste devant nous", raconte-t-il en tirant nerveusement sur sa cigarette. "On a été pris par surprise, on ne savait pas quoi faire, alors on s'est enfui", poursuit le jeune homme efflanqué, désormais à l'abri dans la province turque de Hatay. Un des combattants a péri sur place, d'autres ont été blessés. Trois rebelles ont été capturés, Moussa et ses autres camarades ont réussi à passer la frontière.(fr.reuters.fr) C'est tout de même un comble que même les combattants veulent quitter le pays.
Portugal: Les anti-austérité rassemblent peu
De notre envoyé spécial à Lisbonne. Sur la place Dom Pedro V, les haut-parleurs crachent: «Le peuple uni ne sera jamais vaincu!» Mais, autour de la camionnette de la CGTP, personne ne reprend le fameux slogan. «Le problème, c'est que le peuple n'est pas vraiment uni…», sourit Vitor. Jeudi, la manifestation contre les mesures d'austérité n'a pas rassemblé les foules à Lisbonne. Selon nos estimations, environ 2.000 personnes ont défilé du Rossio au Parlement. «Les gens ne peuvent plus se permettre de perdre une journée de salaire en faisant grève», explique Vitor. Ingénieur informatique dans le privé, Vitor est venu manifester pour tous les précaires. «Mon salaire à moi n'a pas diminué, mais j'ai bien senti l'augmentation des taxes…»(20minutes.fr) Cela prouve à quel point la population est asphyxiée par le capitalisme.
Source: Yahoo actualités
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