«C’est un rêve qui devient réalité», s’est enthousiasmé le conducteur du train reliant, pour la première fois depuis 56 ans, la Corée du Sud à la Corée du Nord. Les deux pays, toujours théoriquement en guerre faute de traité de paix à la fin à la guerre de Corée (1950-53), ont donc repris mardi une liaison ferroviaire régulière réservée pour l’heure au trafic des marchandises. Un symbole fort de leur rapprochement, deux mois après la tenue d’un sommet intercoréen à Pyongyang.
Le principe de la mise en service d’une liaison ferroviaire, après l’ouverture de routes transfrontalières en 2005, avait été approuvé lors du sommet historique de 2000 dans la capitale nord-coréenne Pyongyang et qui avait marqué le lancement d’un processus de rapprochement entre le Sud capitaliste et le Nord communiste. Mais sa réouverture concrète a été décidée après le deuxième sommet intercoréen d’octobre, qui s’est achevé par une déclaration commune visant à promouvoir paix et prospérité économique dans la péninsule.
Le principe de la mise en service d’une liaison ferroviaire, après l’ouverture de routes transfrontalières en 2005, avait été approuvé lors du sommet historique de 2000 dans la capitale nord-coréenne Pyongyang et qui avait marqué le lancement d’un processus de rapprochement entre le Sud capitaliste et le Nord communiste. Mais sa réouverture concrète a été décidée après le deuxième sommet intercoréen d’octobre, qui s’est achevé par une déclaration commune visant à promouvoir paix et prospérité économique dans la péninsule.