Les faits se sont déroulés fin novembre à Saint-Amand-les-Eaux, près de Valenciennes.
Les jeunes filles, dont une seule est majeure, ont été mises en examen pour "extorsion de fonds précédé d'actes de torture et de barbarie" par le parquet de Valenciennes.
Ce fait divers survient au moment où le gouvernement envisage une nouvelle refonte de la justice des mineurs, régie par l'ordonnance de février 1945.
La ministre de la Justice, Rachida Dati, a approuvé mercredi la proposition visant à rendre possible l'incarcération dès l'âge de 12 ans pour les crimes. L'incarcération n'est aujourd'hui possible qu'à partir de 13 ans.
Les cinq jeunes filles, dont plusieurs avaient fugué d'un foyer d'accueil, étaient hébergées fin novembre par leur victime, un homme d'une quarantaine d'années.
Elles l'ont décidé à leur donner de l'argent avant de le brutaliser et de le torturer avec des morceaux de verre cassé pour qu'il leur révèle son code de carte bancaire, a expliqué un policier du commissariat de Saint-Amand.
L'homme connaissait l'une de cinq adolescentes pour l'avoir hébergée quelques jours plus tôt et avait accepté le 26 novembre de les recevoir toutes pour la nuit.
Sous la violence, il leur a donné un code erroné avant de pouvoir se libérer et d'appeler la police.
Source: Yahoo News
Les jeunes filles, dont une seule est majeure, ont été mises en examen pour "extorsion de fonds précédé d'actes de torture et de barbarie" par le parquet de Valenciennes.
Ce fait divers survient au moment où le gouvernement envisage une nouvelle refonte de la justice des mineurs, régie par l'ordonnance de février 1945.
La ministre de la Justice, Rachida Dati, a approuvé mercredi la proposition visant à rendre possible l'incarcération dès l'âge de 12 ans pour les crimes. L'incarcération n'est aujourd'hui possible qu'à partir de 13 ans.
Les cinq jeunes filles, dont plusieurs avaient fugué d'un foyer d'accueil, étaient hébergées fin novembre par leur victime, un homme d'une quarantaine d'années.
Elles l'ont décidé à leur donner de l'argent avant de le brutaliser et de le torturer avec des morceaux de verre cassé pour qu'il leur révèle son code de carte bancaire, a expliqué un policier du commissariat de Saint-Amand.
L'homme connaissait l'une de cinq adolescentes pour l'avoir hébergée quelques jours plus tôt et avait accepté le 26 novembre de les recevoir toutes pour la nuit.
Sous la violence, il leur a donné un code erroné avant de pouvoir se libérer et d'appeler la police.
Source: Yahoo News