L'entraîneur, qui n'est pas un instructeur de judo agréé, a été inculpé ce mois-ci d'agression physique ayant entraîné des blessures graves et d'utilisation d'un mineur pour commettre un crime, selon le Taipei Times.
Le bureau du procureur a déclaré que l'entraîneur avait frappé le garçon au moins dix fois, pensant qu'il faisait semblant d'être malade lorsque l'enfant de sept ans s'est plaint d'un mal de tête. L'entraîneur a déclaré que cela faisait partie d'un entraînement normal.
Le père du garçon a déclaré aux journalistes locaux que le garçon de sept ans avait supplié l'entraîneur d'arrêter, mais que celui-ci avait continué à le jeter au sol jusqu'à ce que son fils ne réagisse plus du tout et qu'il ait dû être transporté d'urgence à l'hôpital.
L'incident, qui s'est produit le 21 avril, aurait été filmé par l'oncle du garçon qui voulait montrer à sa mère que le judo n'était pas approprié pour l'enfant de sept ans.
Des questions ont été soulevées quant à la raison pour laquelle l'oncle n'est pas intervenu pour arrêter l'entraîneur. La BBC a cité des experts de Taïwan qui ont déclaré qu'il existe une notion de révérence envers les enseignants qui conduit parfois les gens à accepter leur autorité en dépit des circonstances.
La nouvelle de la mort du garçon a suscité une vague de chagrin sur les médias sociaux taïwanais, selon la BBC. L'un des messages disait : "Il n'y a plus de douleur maintenant, petit frère".
Le bureau du procureur a déclaré que l'entraîneur avait frappé le garçon au moins dix fois, pensant qu'il faisait semblant d'être malade lorsque l'enfant de sept ans s'est plaint d'un mal de tête. L'entraîneur a déclaré que cela faisait partie d'un entraînement normal.
Le père du garçon a déclaré aux journalistes locaux que le garçon de sept ans avait supplié l'entraîneur d'arrêter, mais que celui-ci avait continué à le jeter au sol jusqu'à ce que son fils ne réagisse plus du tout et qu'il ait dû être transporté d'urgence à l'hôpital.
L'incident, qui s'est produit le 21 avril, aurait été filmé par l'oncle du garçon qui voulait montrer à sa mère que le judo n'était pas approprié pour l'enfant de sept ans.
Des questions ont été soulevées quant à la raison pour laquelle l'oncle n'est pas intervenu pour arrêter l'entraîneur. La BBC a cité des experts de Taïwan qui ont déclaré qu'il existe une notion de révérence envers les enseignants qui conduit parfois les gens à accepter leur autorité en dépit des circonstances.
La nouvelle de la mort du garçon a suscité une vague de chagrin sur les médias sociaux taïwanais, selon la BBC. L'un des messages disait : "Il n'y a plus de douleur maintenant, petit frère".