Cet attentat illustre, aux yeux du gouvernement d'Islamabad, la nécessité d'une offensive générale contre les taliban en lutte dans le pays.
Personne n'a revendiqué l'attentat mais le ministre de l'Intérieur pakistanais, Rehman Malik, a déclaré que "toutes les pistes mènent au Sud-Waziristan", allusion au bastion des taliban pakistanais dans le nord-ouest du pays.
"Une chose est claire, il faut s'en prendre avec plus de poigne encore à ces tueurs à gages appelés taliban", a dit le ministre.
"Nous estimons que nous n'avons aucun autre choix que de mener à bien une opération au Sud-Waziristan", a-t-il continué sans préciser quand elle pourrait être lancée.
Parmi les 49 morts de l'attentat figurent sept enfants, a déclaré un responsable de l'hôpital principal de Peshawar.
Le kamikaze présumé a déclenché les explosifs placés dans la voiture au moment où elle passait au niveau de l'autobus, qui a été soufflé par la puissance de la déflagration.
La télévision a montré les restes d'un autobus en bord de rue, dans un quartier commerçant de la ville. Peshawar, capitale de la province de la Frontière du Nord-Ouest, a déjà été le théâtre de nombreux attentats ces dernières années.
Une trentaine d'islamistes armés ont par ailleurs attaqué, tôt vendredi dans les faubourgs de Peshawar, un dépôt de camions chargés d'acheminer des fournitures aux troupes occidentales en guerre en Afghanistan. Plusieurs camions ont été incendiés, a indiqué la police pakistanaise.
Les forces de sécurité pakistanaises sont passées à l'offensive cette année contre plusieurs bastions des taliban pakistanais, liés à Al Qaïda, lesquels ont commis de nombreux attentats dans les villes du pays, visant pour la plupart la police et l'armée ainsi que des objectifs gouvernementaux et étrangers.
Un coup décisif a été porté aux islamistes le 5 août avec la mort de leur chef Baitullah Mehsud, tué dans le tir d'un missile par un drone américain au Sud-Waziristan.
Source: Reuters via Yahoo News
Personne n'a revendiqué l'attentat mais le ministre de l'Intérieur pakistanais, Rehman Malik, a déclaré que "toutes les pistes mènent au Sud-Waziristan", allusion au bastion des taliban pakistanais dans le nord-ouest du pays.
"Une chose est claire, il faut s'en prendre avec plus de poigne encore à ces tueurs à gages appelés taliban", a dit le ministre.
"Nous estimons que nous n'avons aucun autre choix que de mener à bien une opération au Sud-Waziristan", a-t-il continué sans préciser quand elle pourrait être lancée.
Parmi les 49 morts de l'attentat figurent sept enfants, a déclaré un responsable de l'hôpital principal de Peshawar.
Le kamikaze présumé a déclenché les explosifs placés dans la voiture au moment où elle passait au niveau de l'autobus, qui a été soufflé par la puissance de la déflagration.
La télévision a montré les restes d'un autobus en bord de rue, dans un quartier commerçant de la ville. Peshawar, capitale de la province de la Frontière du Nord-Ouest, a déjà été le théâtre de nombreux attentats ces dernières années.
Une trentaine d'islamistes armés ont par ailleurs attaqué, tôt vendredi dans les faubourgs de Peshawar, un dépôt de camions chargés d'acheminer des fournitures aux troupes occidentales en guerre en Afghanistan. Plusieurs camions ont été incendiés, a indiqué la police pakistanaise.
Les forces de sécurité pakistanaises sont passées à l'offensive cette année contre plusieurs bastions des taliban pakistanais, liés à Al Qaïda, lesquels ont commis de nombreux attentats dans les villes du pays, visant pour la plupart la police et l'armée ainsi que des objectifs gouvernementaux et étrangers.
Un coup décisif a été porté aux islamistes le 5 août avec la mort de leur chef Baitullah Mehsud, tué dans le tir d'un missile par un drone américain au Sud-Waziristan.
Source: Reuters via Yahoo News