L'explosion a eu lieu vers 13h50 devant une garnison de gardes civils à Palmanova, à quelques kilomètres du palais de Marivent où la famille royale espagnole passe traditionnellement ses vacances d'été.
Le gouvernement espagnol a annoncé dans un communiqué que tous les ports et aéroports de Majorque avaient été fermés pour empêcher les auteurs de l'attentat de quitter l'île, la plus grande de l'archipel des Baléares.
Les autorités n'ont pas tardé à pointer du doigt l'ETA, au lendemain d'un autre attentat à la voiture piégée qui a fait 46 blessés devant une caserne de gardes civils à Burgos, dans le nord du pays.
Ramon Socias, représentant du gouvernement sur l'île de Majorque, a qualifié l'ETA de "bande de fous meurtriers". "Ils sont toujours plus désespérés et dangereux", a-t-t-il dit.
Cet attentat intervient aussi à la veille du 50e anniversaire de la fondation de l'ETA sous le régime de Franco.
Les forces de sécurité espagnoles pensent que les séparatistes, affaiblis récemment par une vague d'arrestations, entendent montrer avec ces attentats qu'ils représentent toujours une menace pour le gouvernement de Madrid.
Le dernier meurtre imputé à l'ETA remontait au 19 juin dernier. Un inspecteur de police avait été tué à Bilbao, dans le nord de l'Espagne, dans l'explosion d'une bombe posée dans une voiture.
Au total, on estime à 800 le nombre de personnes tuées par l'ETA en quarante ans de lutte armée pour l'indépendance du Pays basque.
L'organisation a été touchée récemment par une série d'arrestations, dont celle de son commandant présumé Jurdan Martitegi en avril dernier. Sa capture a porté à quatre le nombre de ses commandants arrêtés en moins d'un an.
Dix-huit membres présumés d'ETA ont été capturés dans une période de trois semaines entre juin et juillet.
Le président du gouvernement socialiste, Jose Luis Rodriguez Zapatero, a rompu des pourparlers de paix avec l'organisation après la mort de deux personnes à l'aéroport de Madrid dans un attentat à la voiture piégée en décembre 2006.
Source: Reuters via Yahoo News
Le gouvernement espagnol a annoncé dans un communiqué que tous les ports et aéroports de Majorque avaient été fermés pour empêcher les auteurs de l'attentat de quitter l'île, la plus grande de l'archipel des Baléares.
Les autorités n'ont pas tardé à pointer du doigt l'ETA, au lendemain d'un autre attentat à la voiture piégée qui a fait 46 blessés devant une caserne de gardes civils à Burgos, dans le nord du pays.
Ramon Socias, représentant du gouvernement sur l'île de Majorque, a qualifié l'ETA de "bande de fous meurtriers". "Ils sont toujours plus désespérés et dangereux", a-t-t-il dit.
Cet attentat intervient aussi à la veille du 50e anniversaire de la fondation de l'ETA sous le régime de Franco.
Les forces de sécurité espagnoles pensent que les séparatistes, affaiblis récemment par une vague d'arrestations, entendent montrer avec ces attentats qu'ils représentent toujours une menace pour le gouvernement de Madrid.
Le dernier meurtre imputé à l'ETA remontait au 19 juin dernier. Un inspecteur de police avait été tué à Bilbao, dans le nord de l'Espagne, dans l'explosion d'une bombe posée dans une voiture.
Au total, on estime à 800 le nombre de personnes tuées par l'ETA en quarante ans de lutte armée pour l'indépendance du Pays basque.
L'organisation a été touchée récemment par une série d'arrestations, dont celle de son commandant présumé Jurdan Martitegi en avril dernier. Sa capture a porté à quatre le nombre de ses commandants arrêtés en moins d'un an.
Dix-huit membres présumés d'ETA ont été capturés dans une période de trois semaines entre juin et juillet.
Le président du gouvernement socialiste, Jose Luis Rodriguez Zapatero, a rompu des pourparlers de paix avec l'organisation après la mort de deux personnes à l'aéroport de Madrid dans un attentat à la voiture piégée en décembre 2006.
Source: Reuters via Yahoo News