Sport
09/09/2010 19:21

Un Stade Français nouvelle formule

En pleine convalescence. Après un début de saison enthousiasmant, les défaites à Toulouse et Biarritz ont suffi pour rappeler que le Stade Français n'était pas tout à fait guéri. Mais, installé dans le wagon de tête du top 14, il a clairement redressé la barre. Oubliées, les meurtrissures d'une saison 2010 catastrophique.


Un Stade Français nouvelle formule
En pleine convalescence. Après un début de saison enthousiasmant, les défaites à Toulouse et Biarritz ont suffi pour rappeler que le Stade Français n'était pas tout à fait guéri. Mais, installé dans le wagon de tête du top 14, il a clairement redressé la barre. Oubliées, les meurtrissures d'une saison 2010 catastrophique. Au placard, les vieilles rancurs internes plus politiques que sportives. Sur un champ de ruines, le Stade Français est «reparti de zéro», comme le jure son talonneur international Dimitri Szarzewski.   D'abord en mettant de l'ordre dans son organigramme. Las, Max Guazzini, président omniprésent du club depuis 1992, a pris du recul et s'est éloigné des affaires sportives pour laisser un seul maitre à bord: Michael Cheika. Le nouvel entraîneur, arrivé du Leinster, a imposé rigueur et sérieux, sur et en dehors du terrain. «Il fallait recadrer le groupe et développer le culte du travail, de l'effort et de la gagne», expliquait, après une préparation d'avant-saison intense, Benjamin Del Moral, préparateur physique du club. Arrivé avec son staff et ses plans en tête, le gourou australien a «insufflé un état d'esprit, de la rigueur et du professionnalisme», complète Szarzewski. Et, en faisant de l'Italien Sergio Parisse son capitaine et du demi de mêlée Julien Dupuy son buteur attitré, Cheika peut s'appuyer de véritables leaders. Cette image plus «pro» que le club cherche à cultiver. Longtemps raillé pour son «amateurisme», notamment par son ancien entraîneur Ewan McKenzie, le Stade Français s'est offert de nouvelles installations pour l'entraînement enfin dignes du top 14.(20minutes)

Coupe du monde de rugby 2011: J-365
Plus qu'un an avant l'accueil par la Nouvelle-Zélande des 20 meilleures équipes de la planète ovale. Tout le pays a foi en la victoire des All Blacks. Présentation. Le rugby compte plusieurs lieux saints. Le premier d'entre eux se trouve à Rugby, dans le Warwickshire anglais. C'est à la prestigieuse école éponyme que l'on doit ce jeu codifié au milieu du XIXe siècle. C'est d'une certaine façon la "Grotte de la Nativité" du rugby. Son deuxième lieu saint, sa "Mecque", s'appelle Eden Park. La porte du paradis de la pratique à XV est à Auckland, en Nouvelle-Zélande, où l'ovale est croyance d'Etat. Il ne reste plus que 365 jours à attendre le coup d'envoi de la 7e coupe du monde de rugby en pays kiwi. Dans l'écrin légendaire, pour une première rencontre face aux Tonga, les All Blacks se lanceront à l'assaut du trophée Webb Ellis, qui leur échappe depuis leur victoire sur les Français (29-9), il y aura 24 ans, dans ce même stade. Ce combat aux antipodes (10 heures de décalage horaire avec la France métropolitaine!) durera du 9 septembre au 23 octobre et s'achèvera là où il a commencé. On attend 85 000 pèlerins. Pour les accueillir, eux et les 19 nations en croisade, la Nouvelle Zélande rénove ses stades. Sur les 13 cathédrales où se dérouleront les 48 rencontres au programme, 7 ont droit à un ravalement profond. L' Eden Park (qui passe de 48 000 à 60 000 places) et le stade de Whangerei seront prochainement terminés. Les enceintes de Nelson, Napier et New Plymouth sont prêtes. Il faut par ailleurs évaluer les dégâts dans celle Christchurch, deuxième ville du pays touchée par deux tremblements de terre (7 puis 5 sur l'échelle de Richter) début septembre. Le nouveau stade de Dunedin, avec un toit fermé, ne devrait être inauguré qu'un mois avant le début de la compétition.(lexpresse)

Source: Yahoo Actualités


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