Belgique : Une équipe de foot francophone mise en demeure de s'entraîner en flamand
On ne pourra peut-être plus parler le français sur le terrain de football de Grimbergen, une commune de Flandre, à proximité immédiate de Bruxelles. Un groupe de pression local, Vlaamse Actie, a obtenu plus de 1000 signatures au bas d'une pétition exigeant que le néerlandais soit la seule langue parlée dans les installations du club local, où s'entraîne une autre équipe, le KFC Strombeek, composé essentiellement de jeunes joueurs francophones. Robert Timmermans, président local de Vlaamse Actie, un homme qui arbore un drapeau frappé du Lion des Flandres sur sa maison, affirme que 'toute le monde est bienvenu à Grimbergen', à condition que l'on y parle le néerlandais et que le 'caractère flamand' de la municipalité soit accepté et respecté. Selon lui, parler le néerlandais sur un terrain de sport représente d'ailleurs 'une chance unique' d'apprendre cette langue. Pour M. Timmermans, l'usage du français, de plus en plus fréquent au club de football, pousse des familles flamandes à inscrire leurs enfants dans d'autres équipes. Le groupe de pression exige donc de l'équipe de Strombeek respecte la langue de la région et embauche des entraîneurs néerlandophones. La municipalité, dirigée par une élue chrétienne démocrate bilingue, a amorcé une négociation avec de club. Elle exhibe un règlement qui stipule que la langue parlée lors des entraînements doit être le néerlandais. Elle affirme toutefois vouloir éviter que des jeunes soient pénalisés. Quelque 150 des 250 joueurs de Strombeek parlent le français. Ils sont souvent originaires de Bruxelles. Le président du club, Christian Donneux, affirme qu'il a tenté, en vain jusqu'ici, de recruter des entraîneurs parlant les deux langues. Il dit aussi vouloir maintenir le caractère flamand de ses équipes mais en refusant tout 'racisme'.(lemonde)
Turquie: un attentat déjoué à Ankara, selon les médias
La police turque a désamorcé vendredi une bombe dans une rue fréquentée de la capitale Ankara, à une centaine de mètres du quartier général d'une force de police anti-émeutes, rapporte l'agence de presse turque Anatolie. L'engin, composé de 3,5kg de plastic, était comparable à ceux utilisés dans le passé par les séparatistes kurdes, selon la chaîne de télévision CNN-Turk. La police n'a pas commenté ces informations. Par ailleurs, des séparatistes kurdes présumés ont ouvert le feu sur un convoi militaire dans le sud-est du pays, jeudi soir, blessant cinq soldats, selon Anatolie. Les tirs d'armes à longue portée ont eu lieu dans la ville de Yuksekova, proche de la frontière irakienne.(AP)
En Russie, l'incendie se rapproche du centre nucléaire de Sarov
L'incendie ravageant une réserve naturelle près du centre nucléaire russe de Sarov, à 500 kilomètres à l'est de Moscou, a encore gagné du terrain, a indiqué vendredi 13 août le ministère des situations d'urgence dans un communiqué. Le foyer d'incendie apparu il y a deux jours dans la partie orientale d'une réserve naturelle, où la foudre a frappé des pins, a gagné du terrain et représente un certain danger', a indiqué le ministère. Le communiqué ne précise pas à quelle distance de l'incendie se trouvent les installations nucléaires où sont notamment fabriquées des ogives atomiques. C'est sur ce site que furent conçues les premières bombes atomiques soviétiques. Quelque 2 600 personnes combattent les incendies qui menacent depuis le 3 août cette zone de de 232 km² où vivent 80 000 habitants et dont l'accès est fermé, sauf autorisation spéciale, en raison des activités sensibles qui y sont menées.(lemonde)
Source: Yahoo Actualités
On ne pourra peut-être plus parler le français sur le terrain de football de Grimbergen, une commune de Flandre, à proximité immédiate de Bruxelles. Un groupe de pression local, Vlaamse Actie, a obtenu plus de 1000 signatures au bas d'une pétition exigeant que le néerlandais soit la seule langue parlée dans les installations du club local, où s'entraîne une autre équipe, le KFC Strombeek, composé essentiellement de jeunes joueurs francophones. Robert Timmermans, président local de Vlaamse Actie, un homme qui arbore un drapeau frappé du Lion des Flandres sur sa maison, affirme que 'toute le monde est bienvenu à Grimbergen', à condition que l'on y parle le néerlandais et que le 'caractère flamand' de la municipalité soit accepté et respecté. Selon lui, parler le néerlandais sur un terrain de sport représente d'ailleurs 'une chance unique' d'apprendre cette langue. Pour M. Timmermans, l'usage du français, de plus en plus fréquent au club de football, pousse des familles flamandes à inscrire leurs enfants dans d'autres équipes. Le groupe de pression exige donc de l'équipe de Strombeek respecte la langue de la région et embauche des entraîneurs néerlandophones. La municipalité, dirigée par une élue chrétienne démocrate bilingue, a amorcé une négociation avec de club. Elle exhibe un règlement qui stipule que la langue parlée lors des entraînements doit être le néerlandais. Elle affirme toutefois vouloir éviter que des jeunes soient pénalisés. Quelque 150 des 250 joueurs de Strombeek parlent le français. Ils sont souvent originaires de Bruxelles. Le président du club, Christian Donneux, affirme qu'il a tenté, en vain jusqu'ici, de recruter des entraîneurs parlant les deux langues. Il dit aussi vouloir maintenir le caractère flamand de ses équipes mais en refusant tout 'racisme'.(lemonde)
Turquie: un attentat déjoué à Ankara, selon les médias
La police turque a désamorcé vendredi une bombe dans une rue fréquentée de la capitale Ankara, à une centaine de mètres du quartier général d'une force de police anti-émeutes, rapporte l'agence de presse turque Anatolie. L'engin, composé de 3,5kg de plastic, était comparable à ceux utilisés dans le passé par les séparatistes kurdes, selon la chaîne de télévision CNN-Turk. La police n'a pas commenté ces informations. Par ailleurs, des séparatistes kurdes présumés ont ouvert le feu sur un convoi militaire dans le sud-est du pays, jeudi soir, blessant cinq soldats, selon Anatolie. Les tirs d'armes à longue portée ont eu lieu dans la ville de Yuksekova, proche de la frontière irakienne.(AP)
En Russie, l'incendie se rapproche du centre nucléaire de Sarov
L'incendie ravageant une réserve naturelle près du centre nucléaire russe de Sarov, à 500 kilomètres à l'est de Moscou, a encore gagné du terrain, a indiqué vendredi 13 août le ministère des situations d'urgence dans un communiqué. Le foyer d'incendie apparu il y a deux jours dans la partie orientale d'une réserve naturelle, où la foudre a frappé des pins, a gagné du terrain et représente un certain danger', a indiqué le ministère. Le communiqué ne précise pas à quelle distance de l'incendie se trouvent les installations nucléaires où sont notamment fabriquées des ogives atomiques. C'est sur ce site que furent conçues les premières bombes atomiques soviétiques. Quelque 2 600 personnes combattent les incendies qui menacent depuis le 3 août cette zone de de 232 km² où vivent 80 000 habitants et dont l'accès est fermé, sauf autorisation spéciale, en raison des activités sensibles qui y sont menées.(lemonde)
Source: Yahoo Actualités