Le tireur, identifié comme Robert Card, âgé de 40 ans, reste encore une énigme pour les enquêteurs, ses motivations demeurant inconnues. Robert Card, un instructeur certifié en armes à feu et réserviste de l'armée, est recherché activement par les forces de l'ordre. Des images le montrent vêtu d'un haut marron et d'un pantalon bleu foncé, brandissant un fusil semi-automatique.
Cette tragédie a plongé la ville de Lewiston dans le deuil, étant l'une des pires tueries depuis la fusillade de Las Vegas en 2017. Les États-Unis, où les armes à feu sont largement répandues et facilement accessibles, connaissent régulièrement de telles tragédies. Actuellement, le pays compte plus d'armes individuelles que d'habitants, avec un adulte sur trois possédant au moins une arme, et près de la moitié de la population vivant dans un foyer où se trouve une arme. Cette situation se traduit par un taux élevé de décès par arme à feu, bien supérieur à celui des autres pays développés. Rien qu'au cours de cette année, plus de 15 000 personnes ont perdu la vie dans des incidents liés aux armes à feu, excluant les suicides, selon l'association Gun Violence Archive.
La ville de Lewiston, située dans le nord-est des États-Unis, a été le théâtre de cette tragédie. Le tireur, toujours en fuite, a pris pour cible un bowling, un bar-restaurant, et, contrairement à ce qui avait d'abord été signalé, il n'a pas attaqué un centre de distribution de Walmart. Les autorités ont immédiatement appelé les habitants à se confiner chez eux. Le président américain, Joe Biden, a été informé de la situation et a promis tout le soutien fédéral nécessaire aux autorités locales. Le FBI de Boston a également offert son appui dans la traque du tireur en fuite.
La police de Lewiston a lancé un appel à témoins en publiant trois photos du suspect, un homme blanc armé d'un fusil semi-automatique équipé d'une lunette de visée, vêtu d'un pantalon cargo bleu et d'un sweat marron. Les enquêteurs ont rapidement identifié le tireur présumé comme étant Robert Card, âgé de 40 ans. Robert Card avait reçu une formation militaire en tant qu'instructeur pour le maniement des armes à feu. L'été précédent, il avait signalé qu'il "entendait des voix" et avait proféré des menaces contre une base militaire à Saco, dans le Maine. Par la suite, il avait été admis en service psychiatrique pour une durée de deux semaines, bien que l'avis de recherche ne fournisse pas de détails sur son diagnostic ou les circonstances de sa libération.
Cette tragédie a plongé la ville de Lewiston dans le deuil, étant l'une des pires tueries depuis la fusillade de Las Vegas en 2017. Les États-Unis, où les armes à feu sont largement répandues et facilement accessibles, connaissent régulièrement de telles tragédies. Actuellement, le pays compte plus d'armes individuelles que d'habitants, avec un adulte sur trois possédant au moins une arme, et près de la moitié de la population vivant dans un foyer où se trouve une arme. Cette situation se traduit par un taux élevé de décès par arme à feu, bien supérieur à celui des autres pays développés. Rien qu'au cours de cette année, plus de 15 000 personnes ont perdu la vie dans des incidents liés aux armes à feu, excluant les suicides, selon l'association Gun Violence Archive.
La ville de Lewiston, située dans le nord-est des États-Unis, a été le théâtre de cette tragédie. Le tireur, toujours en fuite, a pris pour cible un bowling, un bar-restaurant, et, contrairement à ce qui avait d'abord été signalé, il n'a pas attaqué un centre de distribution de Walmart. Les autorités ont immédiatement appelé les habitants à se confiner chez eux. Le président américain, Joe Biden, a été informé de la situation et a promis tout le soutien fédéral nécessaire aux autorités locales. Le FBI de Boston a également offert son appui dans la traque du tireur en fuite.
La police de Lewiston a lancé un appel à témoins en publiant trois photos du suspect, un homme blanc armé d'un fusil semi-automatique équipé d'une lunette de visée, vêtu d'un pantalon cargo bleu et d'un sweat marron. Les enquêteurs ont rapidement identifié le tireur présumé comme étant Robert Card, âgé de 40 ans. Robert Card avait reçu une formation militaire en tant qu'instructeur pour le maniement des armes à feu. L'été précédent, il avait signalé qu'il "entendait des voix" et avait proféré des menaces contre une base militaire à Saco, dans le Maine. Par la suite, il avait été admis en service psychiatrique pour une durée de deux semaines, bien que l'avis de recherche ne fournisse pas de détails sur son diagnostic ou les circonstances de sa libération.
Les vétérans américains et le risque de comportement violent
Il est important de noter que de nombreux vétérans américains souffrent de stress post-traumatique et sont plus susceptibles de manifester des comportements violents en l'absence d'un suivi psychologique adéquat. Selon des statistiques du ministère de la Justice de 2022, parmi les 167 fusillades de masse survenues entre 1966 et 2019, 28,5 % des suspects avaient une expérience militaire.
Le drame de Lewiston souligne une fois de plus la nécessité d'une réflexion approfondie sur la réglementation des armes à feu aux États-Unis, ainsi que sur la prise en charge des problèmes de santé mentale au sein de la population. La recherche de solutions pour prévenir de tels actes de violence reste une préoccupation cruciale pour les autorités et la société américaine dans son ensemble.
Le drame de Lewiston souligne une fois de plus la nécessité d'une réflexion approfondie sur la réglementation des armes à feu aux États-Unis, ainsi que sur la prise en charge des problèmes de santé mentale au sein de la population. La recherche de solutions pour prévenir de tels actes de violence reste une préoccupation cruciale pour les autorités et la société américaine dans son ensemble.