"Je veux savoir ce qui se passe, j'ai l'impression qu'on nous cache quelque chose", a déclaré à la presse Elisabeth Serinian, précisant avoir déposé plainte à la gendarmerie.
La plaignante proteste en outre contre le fait d'être privée d'eau courante à son domicile. La qualité de la nappe phréatique alimentant les maisons du secteur est toujours considérée comme douteuse et interdite à la consommation.
La famille Serinian vit près de la Gaffière, l'un des cours d'eau ayant reçu les effluents chargés d'uranium après la fuite sur le site de la Socatri, une filiale d'Areva traitant les déchets nucléaires du Tricastin.
Elisabeth Serinian dit avoir relevé des concentrations d'uranium de 70 microgrammes par litre dans le puits de sa propriété. Le seuil fixé par l'OMS est de 15 microgrammes par litre.
Elle s'interroge sur l'origine des déchets incriminés. "Ce sont peut-être des déchets radioactifs de l'armée enfouis depuis les années 70", avance-t-elle.
Les autorités ont assuré que cet incident n'avait pas eu d'impact sur la santé des personnels et des riverains.
Source: Yahoo News
La plaignante proteste en outre contre le fait d'être privée d'eau courante à son domicile. La qualité de la nappe phréatique alimentant les maisons du secteur est toujours considérée comme douteuse et interdite à la consommation.
La famille Serinian vit près de la Gaffière, l'un des cours d'eau ayant reçu les effluents chargés d'uranium après la fuite sur le site de la Socatri, une filiale d'Areva traitant les déchets nucléaires du Tricastin.
Elisabeth Serinian dit avoir relevé des concentrations d'uranium de 70 microgrammes par litre dans le puits de sa propriété. Le seuil fixé par l'OMS est de 15 microgrammes par litre.
Elle s'interroge sur l'origine des déchets incriminés. "Ce sont peut-être des déchets radioactifs de l'armée enfouis depuis les années 70", avance-t-elle.
Les autorités ont assuré que cet incident n'avait pas eu d'impact sur la santé des personnels et des riverains.
Source: Yahoo News