"Areva décide de nommer un nouveau directeur général de Socatri avec pour mission de faire un revue globale du fonctionnement de l'établissement et de sa sécurité", a fait savoir le groupe dans un communiqué, sans donner de nom. "Il conduira avec l'aide du groupe un retour d'expérience approfondie de l'événement et sera chargé de la mise en oeuvre des conclusions".
L'incident du 7 juillet, lors duquel 74 kilos d'uranium se sont déversés dans les cours d'eau voisins de l'usine, "est intervenu à l'occasion d'une vidange sur une installation de traitement des eaux, en aval de l'usine d'enrichissement et sans rapport avec les centrales nucléaires du site", indique Areva. "Le rejet dans l'environnement résulte d'un défaut d'étanchéité d'une cuve de rétention".Le groupe nucléaire français a décidé de nommer un nouveau directeur général de Socatri qui aura "pour mission de faire une revue globale du fonctionnement de l'établissement et de sa sécurité".
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé mercredi avoir transmis un procès-verbal d'infraction au procureur de la République de Carpentras après ses constatations à l'usine de la Socatri. Le 11 juillet, l'ASN avait annoncé avoir relevé plusieurs irrégularités lors de son inspection du site la veille.
Selon l'ASN, les dernières mesures réalisées dans l'environnement "semblent indiquer un retour à la normale pour la quasi-totalité des points surveillés dans les eaux superficielles et les eaux de nappe".
Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a demandé une inspection immédiate de "l'état des nappes phréatiques situées près de toutes les centrales nucléaires", après la fuite au Tricastin.
Alors que la préfecture du Vaucluse a maintenu les mesures de restriction d'utilisation et de consommation d'eau prises après la fuite, M. Borloo a indiqué que l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), l'ASN et le ministère de la Santé étudiaient actuellement une levée partielle des restrictions.
Anne Lauvergeon, la présidente du directoire d'Areva, dont la Socatri est une filiale, se rendra vendredi après-midi à l'usine.
source: Yahoo News
L'incident du 7 juillet, lors duquel 74 kilos d'uranium se sont déversés dans les cours d'eau voisins de l'usine, "est intervenu à l'occasion d'une vidange sur une installation de traitement des eaux, en aval de l'usine d'enrichissement et sans rapport avec les centrales nucléaires du site", indique Areva. "Le rejet dans l'environnement résulte d'un défaut d'étanchéité d'une cuve de rétention".Le groupe nucléaire français a décidé de nommer un nouveau directeur général de Socatri qui aura "pour mission de faire une revue globale du fonctionnement de l'établissement et de sa sécurité".
L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a annoncé mercredi avoir transmis un procès-verbal d'infraction au procureur de la République de Carpentras après ses constatations à l'usine de la Socatri. Le 11 juillet, l'ASN avait annoncé avoir relevé plusieurs irrégularités lors de son inspection du site la veille.
Selon l'ASN, les dernières mesures réalisées dans l'environnement "semblent indiquer un retour à la normale pour la quasi-totalité des points surveillés dans les eaux superficielles et les eaux de nappe".
Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a demandé une inspection immédiate de "l'état des nappes phréatiques situées près de toutes les centrales nucléaires", après la fuite au Tricastin.
Alors que la préfecture du Vaucluse a maintenu les mesures de restriction d'utilisation et de consommation d'eau prises après la fuite, M. Borloo a indiqué que l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), l'ASN et le ministère de la Santé étudiaient actuellement une levée partielle des restrictions.
Anne Lauvergeon, la présidente du directoire d'Areva, dont la Socatri est une filiale, se rendra vendredi après-midi à l'usine.
source: Yahoo News