Ouvrant les travaux, M. Bacre Waly Ndiaye, Directeur du Bureau de New York du Haut Commissariat aux droits de l’homme, a rappelé que depuis la première réunion des États parties, le 11 décembre 2003, le nombre d’États ayant ratifié la Convention était passé de 24 à 34. Il a jugé toutefois que beaucoup de chemin restait à parcourir pour promouvoir la Convention et garantir son universalité. Il a notamment souligné que les États parties à la Convention provenaient principalement de trois groupes régionaux et qu’aucun grand pays de destination des migrants n’avait signé ou ratifié l’instrument à ce jour.
Pour M. Ndiaye, la Convention, pour être un instrument efficace de la protection des droits des travailleurs migrants et des membres de leurs familles, doit inclure dans ses États parties des pays de toutes les régions et représentant aussi bien ceux d’origine, que de transit ou de destination. Évoquant ensuite les travaux du Comité pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, dont la séance inaugurale s’est tenue en mars 2004, il a rappelé que celui-ci avait pour rôle d’examiner les mesures prises par les États parties en vue de l’application de la Convention. À ce titre, M. Waly Ndiaye a regretté que seuls le Mali et le Mexique aient pour l’instant soumis leur rapport initial et a jugé que le Comité ne pourrait démontrer la viabilité de la Convention sans ces rapports. Pour le Représentant permanent du Mali, la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille devrait contribuer à réduire les effets néfastes du phénomène des migrations et renforcer la protection des 185 à 192 millions de migrants qui sont des vecteurs de développement socioéconomique pour leurs pays respectifs.
En début de séance et après avoir adopté son ordre du jour provisoire, la réunion des États parties a désigné par acclamation ses deux Vice-Présidents: Abdallah Baali (Algérie) et Silvia Espíndola (Équateur). Elle a ensuite élu, au terme d’un vote, les cinq membres suivants du Comité sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille qui siègeront pour un mandat de quatre ans à compter du 1er janvier 2006: Mehmet Sevim (Turquie), Prasad Kariyawasam (Sri Lanka), Anamaría Dieguez Arévalo (Guatemala), Azad Taghizade (Azerbaïdjan), José Serrano Brillantes (Philippines).
Source: Org. Nations Unies.
Pour M. Ndiaye, la Convention, pour être un instrument efficace de la protection des droits des travailleurs migrants et des membres de leurs familles, doit inclure dans ses États parties des pays de toutes les régions et représentant aussi bien ceux d’origine, que de transit ou de destination. Évoquant ensuite les travaux du Comité pour la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, dont la séance inaugurale s’est tenue en mars 2004, il a rappelé que celui-ci avait pour rôle d’examiner les mesures prises par les États parties en vue de l’application de la Convention. À ce titre, M. Waly Ndiaye a regretté que seuls le Mali et le Mexique aient pour l’instant soumis leur rapport initial et a jugé que le Comité ne pourrait démontrer la viabilité de la Convention sans ces rapports. Pour le Représentant permanent du Mali, la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille devrait contribuer à réduire les effets néfastes du phénomène des migrations et renforcer la protection des 185 à 192 millions de migrants qui sont des vecteurs de développement socioéconomique pour leurs pays respectifs.
En début de séance et après avoir adopté son ordre du jour provisoire, la réunion des États parties a désigné par acclamation ses deux Vice-Présidents: Abdallah Baali (Algérie) et Silvia Espíndola (Équateur). Elle a ensuite élu, au terme d’un vote, les cinq membres suivants du Comité sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille qui siègeront pour un mandat de quatre ans à compter du 1er janvier 2006: Mehmet Sevim (Turquie), Prasad Kariyawasam (Sri Lanka), Anamaría Dieguez Arévalo (Guatemala), Azad Taghizade (Azerbaïdjan), José Serrano Brillantes (Philippines).
Source: Org. Nations Unies.