Entre 1.500 et 4.500 personnes, selon les sources, ont manifesté mardi après-midi dans les rues de Toulouse contre la Révision générale des politiques publiques (RGPP) et les suppressions de postes dans la Fonction publique.
Dans les rangs des manifestants, essentiellement aux couleurs de la CGT, on notait des fonctionnaires des secteurs de la santé, de Météo France, du ministère de l'Agriculture, de l'Office public des HLM, de la recherche et quelques enseignants des syndicats FSU, CGT et Sud-Solidaires.
"Nous demandons le retrait du projet de loi sur la mobilité et nous opposons aux suppressions de postes. Sur les 130.000 postes que comptent la direction des impôts et le Trésor public, 60.000 seront supprimés dans les dix ans à venir", a dénoncé Michel Casas, secrétaire de la CGT Impôts Haute-Garonne.
Dans les rangs de Météo France, Michel Gouverneur, secrétaire FO, a également dénoncé le projet de loi sur la mobilité des fonctionnaires qui, selon lui, pourrait à terme "ouvrir la voie à des licenciements économiques". "Nous sommes inquiets aussi du plan stratégique qui est en cours de discussion depuis plus d'un an. Ce plan prévoit une réorganisation territoriale importante des effectifs de Météo France et la suppression d'environ 500 emplois sur 3.500", a-t-il ajouté.
Source: news.yahoo.com
Dans les rangs des manifestants, essentiellement aux couleurs de la CGT, on notait des fonctionnaires des secteurs de la santé, de Météo France, du ministère de l'Agriculture, de l'Office public des HLM, de la recherche et quelques enseignants des syndicats FSU, CGT et Sud-Solidaires.
"Nous demandons le retrait du projet de loi sur la mobilité et nous opposons aux suppressions de postes. Sur les 130.000 postes que comptent la direction des impôts et le Trésor public, 60.000 seront supprimés dans les dix ans à venir", a dénoncé Michel Casas, secrétaire de la CGT Impôts Haute-Garonne.
Dans les rangs de Météo France, Michel Gouverneur, secrétaire FO, a également dénoncé le projet de loi sur la mobilité des fonctionnaires qui, selon lui, pourrait à terme "ouvrir la voie à des licenciements économiques". "Nous sommes inquiets aussi du plan stratégique qui est en cours de discussion depuis plus d'un an. Ce plan prévoit une réorganisation territoriale importante des effectifs de Météo France et la suppression d'environ 500 emplois sur 3.500", a-t-il ajouté.
Source: news.yahoo.com