Les faits ont eu lieu en septembre 2016 dans le grand Nord du Togo à Korbongou. Le 26 septembre 2016, la police de la localité de Korbongou a reçu un signal de la part des riverains. Ces derniers ont alerté la police pour un colis suspect qui flottait sur la rivière obiagou dans le canton de Korbongou. Arrivée sur les lieux, la police a découvert le corps mutilé soigneusement d’un inconnu et emballé dans un sac en toile de jute. Les parents de la victime résidant à Ogaro dans la préfecture du kpendjal se sont présentés à la police de Korbongou. Ils ont déclaré avoir reconnu le corps mutilé de leur fils à qui la bosse a été amputée et qui était introuvable depuis le 15 septembre 2016.
L’enquête ouverte a permis d’arrêter 3 malfrats le 12 octobre et le dernier F. Ibrahim le jour d’après. Les coupables ont reconnu les faits et affirment être à la botte d’un béninois qui leur a demandé une bosse humaine pour une forte somme d’argent. Les 4 trafiquants d’organes humains font partie d’un réseau criminel de 7 personnes dont deux personnes ont déjà rendu l’âme. La cinquième tête qui est de nationalité burkinabaise est activement recherchée.
La gendarmerie nationale a assuré que les criminels seront remis à la justice qui se chargera de leur faire payer le crime odieux qu’ils ont commis en s’adonnant au trafic d’organes humains.
L’enquête ouverte a permis d’arrêter 3 malfrats le 12 octobre et le dernier F. Ibrahim le jour d’après. Les coupables ont reconnu les faits et affirment être à la botte d’un béninois qui leur a demandé une bosse humaine pour une forte somme d’argent. Les 4 trafiquants d’organes humains font partie d’un réseau criminel de 7 personnes dont deux personnes ont déjà rendu l’âme. La cinquième tête qui est de nationalité burkinabaise est activement recherchée.
La gendarmerie nationale a assuré que les criminels seront remis à la justice qui se chargera de leur faire payer le crime odieux qu’ils ont commis en s’adonnant au trafic d’organes humains.