Les Pays-Bas s'enfoncent un peu plus dans la crise politique
Les principaux partis d'opposition des Pays-Bas ont refusé mardi d'apporter leur soutien à un programme de coupes budgétaires, menaçant d'enfoncer encore un peu plus le pays dans la crise politique au lendemain de la démission du gouvernement de centre-droit. Le Premier ministre libéral Mark Rutte a présenté lundi à la reine Beatrix la démission de son gouvernement après l'échec des négociations entamées début mars sur les économies budgétaires avec le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders. L'alliance entre le parti de Wilders, qui n'appartient pas au gouvernement mais soutenait ce dernier au parlement, et la coalition au pouvoir a volé en éclats lors des négociations sur les moyens de dégager 14 à 16 milliards d'euros d'économies budgétaires. Ces économies sont jugées nécessaires pour ramener le déficit budgétaire sous le plafond des 3% du PIB, conformément au pacte européen de stabilité. Le Parti de Geert Wilders a fait savoir qu'il ne souhaitait plus se soumettre aux exigences de l'Union européenne.(fr.reuters.com) C'est tout de même étonnant de savoir que de simples hommes politiques discutent des milliards de l'Union Européenne.
Timochenko en grève de la faim dans sa prison en Ukraine
L'ancien Premier ministre d'Ukraine Ioulia Timochenko, qui purge une peine de sept ans de prison pour abus de pouvoir, a entamé une grève de la faim après avoir été frappée par des gardiens lors de son transfert à l'hôpital, a déclaré mardi son avocat. Ioulia Timochenko a été ramenée en prison dimanche après avoir refusé de se faire soigner pour de fortes douleurs au dos dans l'hôpital de Kharkiv, où elle avait été transférée de force vendredi. Elle avait expliqué ne pas avoir confiance dans les médecins employés par l'Etat ukrainien. Elle affirme mardi dans un communiqué que trois gardiens de prison l'ont frappée pour la forcer à quitter sa cellule. "Ils se sont approchés de mon lit, m'ont tordu les bras et recouverte d'un drap. Puis ils ont commencé à me tirer de force hors du lit enroulée dans le drap. J'avais mal, j'étais désespérée et j'ai commencé à me défendre comme j'ai pu. J'ai alors reçu un puissant coup de poing dans l'abdomen", dit-elle dans un communiqué lu à par son avocat, Serhiy Vlassenko. "J'ai cru que je vivais mes derniers instants", ajoute-t-elle.(fr.reuters.com) L'UE ne fait toujours rien pour régler ses problèmes?
Législatives en Grèce: l'extrême droite au parlement?
Les mouvements d'extrême droite semblent profiter de la crise économique, sociale, politique et identitaire qui frappe la Grèce, 38 ans après la chute de la dictature des colonels (1967-1974). A l'approche des élections législatives du 6 mai, leur poussée inquiète les partis traditionnels. En Grèce, l'un des effets de la crise est la montée incontestable de l'extrême droite. Créditées à 8% dans les sondages, les deux formations qui la composent, LAOS et L'Aube dorée, devraient même entrer au parlement lors des prochaines élections législatives, le 6 mai. "A la chute de la junte, en 1974, l'extrême droite était quasi-inexistante, composée de quelques monarchistes et de nostalgiques du régime des colonels. Il existait un vide dans le paysage politique grec jusqu'à la création du LAOS (ou 'alerte populaire orthodoxe') en 2000", explique Michalis Spourdalakis, professeur de sciences politiques à l'université d'Athènes. Le LAOS est proche de la "droite populiste" d'Europe du Nord, notamment du Front national en France et de la Ligue du Nord en Italie. Le parti prône l'arrêt de l'immigration, s'oppose à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne et à la reconnaissance de la Macédoine sous son nom actuel, appellation qu'il considère comme faisant partie de l'histoire grecque. En 2000, ses sympathisants ont manifesté contre la disparition de la mention de l'origine religieuse orthodoxe sur les papiers d'identité.(l'express.fr) Cela ne prédit rien de bon.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici
Les principaux partis d'opposition des Pays-Bas ont refusé mardi d'apporter leur soutien à un programme de coupes budgétaires, menaçant d'enfoncer encore un peu plus le pays dans la crise politique au lendemain de la démission du gouvernement de centre-droit. Le Premier ministre libéral Mark Rutte a présenté lundi à la reine Beatrix la démission de son gouvernement après l'échec des négociations entamées début mars sur les économies budgétaires avec le Parti pour la Liberté (PVV) de Geert Wilders. L'alliance entre le parti de Wilders, qui n'appartient pas au gouvernement mais soutenait ce dernier au parlement, et la coalition au pouvoir a volé en éclats lors des négociations sur les moyens de dégager 14 à 16 milliards d'euros d'économies budgétaires. Ces économies sont jugées nécessaires pour ramener le déficit budgétaire sous le plafond des 3% du PIB, conformément au pacte européen de stabilité. Le Parti de Geert Wilders a fait savoir qu'il ne souhaitait plus se soumettre aux exigences de l'Union européenne.(fr.reuters.com) C'est tout de même étonnant de savoir que de simples hommes politiques discutent des milliards de l'Union Européenne.
Timochenko en grève de la faim dans sa prison en Ukraine
L'ancien Premier ministre d'Ukraine Ioulia Timochenko, qui purge une peine de sept ans de prison pour abus de pouvoir, a entamé une grève de la faim après avoir été frappée par des gardiens lors de son transfert à l'hôpital, a déclaré mardi son avocat. Ioulia Timochenko a été ramenée en prison dimanche après avoir refusé de se faire soigner pour de fortes douleurs au dos dans l'hôpital de Kharkiv, où elle avait été transférée de force vendredi. Elle avait expliqué ne pas avoir confiance dans les médecins employés par l'Etat ukrainien. Elle affirme mardi dans un communiqué que trois gardiens de prison l'ont frappée pour la forcer à quitter sa cellule. "Ils se sont approchés de mon lit, m'ont tordu les bras et recouverte d'un drap. Puis ils ont commencé à me tirer de force hors du lit enroulée dans le drap. J'avais mal, j'étais désespérée et j'ai commencé à me défendre comme j'ai pu. J'ai alors reçu un puissant coup de poing dans l'abdomen", dit-elle dans un communiqué lu à par son avocat, Serhiy Vlassenko. "J'ai cru que je vivais mes derniers instants", ajoute-t-elle.(fr.reuters.com) L'UE ne fait toujours rien pour régler ses problèmes?
Législatives en Grèce: l'extrême droite au parlement?
Les mouvements d'extrême droite semblent profiter de la crise économique, sociale, politique et identitaire qui frappe la Grèce, 38 ans après la chute de la dictature des colonels (1967-1974). A l'approche des élections législatives du 6 mai, leur poussée inquiète les partis traditionnels. En Grèce, l'un des effets de la crise est la montée incontestable de l'extrême droite. Créditées à 8% dans les sondages, les deux formations qui la composent, LAOS et L'Aube dorée, devraient même entrer au parlement lors des prochaines élections législatives, le 6 mai. "A la chute de la junte, en 1974, l'extrême droite était quasi-inexistante, composée de quelques monarchistes et de nostalgiques du régime des colonels. Il existait un vide dans le paysage politique grec jusqu'à la création du LAOS (ou 'alerte populaire orthodoxe') en 2000", explique Michalis Spourdalakis, professeur de sciences politiques à l'université d'Athènes. Le LAOS est proche de la "droite populiste" d'Europe du Nord, notamment du Front national en France et de la Ligue du Nord en Italie. Le parti prône l'arrêt de l'immigration, s'oppose à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne et à la reconnaissance de la Macédoine sous son nom actuel, appellation qu'il considère comme faisant partie de l'histoire grecque. En 2000, ses sympathisants ont manifesté contre la disparition de la mention de l'origine religieuse orthodoxe sur les papiers d'identité.(l'express.fr) Cela ne prédit rien de bon.
Source: Yahoo actualités
Référencement Internet et création de sites Web ici