Dans un rapport le comité recommande "que toute la pêche au thon rouge de l'Atlantique est et de la Méditerranée soit immédiatement suspendue" jusqu'à ce que les pays "participant à ces pêcheries, leurs ressortissants et les compagnies opérant dans leurs eaux s'engagent à respecter intégralement les réglementations et le droit de la mer international".
Ces pays "n'ont pas réussi à conserver le thon rouge (...) et la gestion du thon rouge en Méditerranée doit s'améliorer considérablement", ajoutent les rédacteurs du rapport.
Ils soulignent que les "performances des pays et parties contractantes de l'Iccat (Commission internationale de conservation des thonidés de l'Atlantique), en matière de gestion des pêcheries de thon rouge notamment dans l'Atlantique est et dans la Méditerranée sont considérés comme une honte internationale".
L'Iccat devrait "développer un strict régime de pénalisations" en excluant ou imposant des amendes "considérables" aux pays coupables d'infractions, ajoutent-ils.
Les trois experts --le directeur général de l'autorité australienne de gestion des pêches, Glenn Hurry, le professeur de droit international japonais Moritaka Hayashi et l'expert canadien en sciences halieutiques Jean-Jacques Maguire-- avaient été mandatés pour évaluer les performances de l'Iccat, un organisme qui gère notamment les pêcheries de thon rouge, d'espadon de Méditerranée, de thon germon dans le monde.
L'Union européenne, les pays du Maghreb, la Turquie, le Japon ou les Etats-Unis sont notamment membres de l'Iccat et concernés par la pêche au thon rouge, une espèce très prisée pour les sushis et sashimis.
Selon les dernières évaluations du Comité scientifique de l'Iccat, en juillet, 61.100 tonnes de thon rouge auraient été pêchées en 2007 en Méditerranée et en Atlantique est pour un quota fixé à 29.500 tonnes.
Ce quota était déjà très supérieur aux 15.000 tonnes recommandées par les scientifiques.
La Commission européenne avait décidé d'arrêter prématurément la pêche à la mi-juin pour les thoniers-senneurs, pêcheurs industriels qui effectuent la plupart des captures.
L'organisation écologiste Greenpeace a appelé les membres de l'Iccat qui se réunissent en novembre à "fermer la pêche jusqu'à la régénération des stocks".
Source: Dabio
Ces pays "n'ont pas réussi à conserver le thon rouge (...) et la gestion du thon rouge en Méditerranée doit s'améliorer considérablement", ajoutent les rédacteurs du rapport.
Ils soulignent que les "performances des pays et parties contractantes de l'Iccat (Commission internationale de conservation des thonidés de l'Atlantique), en matière de gestion des pêcheries de thon rouge notamment dans l'Atlantique est et dans la Méditerranée sont considérés comme une honte internationale".
L'Iccat devrait "développer un strict régime de pénalisations" en excluant ou imposant des amendes "considérables" aux pays coupables d'infractions, ajoutent-ils.
Les trois experts --le directeur général de l'autorité australienne de gestion des pêches, Glenn Hurry, le professeur de droit international japonais Moritaka Hayashi et l'expert canadien en sciences halieutiques Jean-Jacques Maguire-- avaient été mandatés pour évaluer les performances de l'Iccat, un organisme qui gère notamment les pêcheries de thon rouge, d'espadon de Méditerranée, de thon germon dans le monde.
L'Union européenne, les pays du Maghreb, la Turquie, le Japon ou les Etats-Unis sont notamment membres de l'Iccat et concernés par la pêche au thon rouge, une espèce très prisée pour les sushis et sashimis.
Selon les dernières évaluations du Comité scientifique de l'Iccat, en juillet, 61.100 tonnes de thon rouge auraient été pêchées en 2007 en Méditerranée et en Atlantique est pour un quota fixé à 29.500 tonnes.
Ce quota était déjà très supérieur aux 15.000 tonnes recommandées par les scientifiques.
La Commission européenne avait décidé d'arrêter prématurément la pêche à la mi-juin pour les thoniers-senneurs, pêcheurs industriels qui effectuent la plupart des captures.
L'organisation écologiste Greenpeace a appelé les membres de l'Iccat qui se réunissent en novembre à "fermer la pêche jusqu'à la régénération des stocks".
Source: Dabio