Personne ne semble émettre l’hypothèse – j’hésite moi-même à le faire – que, somme toute, il est évident que Nicolas Sarkozy lance, grâce à l’amendement Mariani, une chasse aux femmes adultères. Ses détracteurs font pis encore : ils affirment que la famille républicaine n’est pas liée par le sang mais par le choix. C’est ainsi que, sournoisement, la gauche caviar s’allie à Sarkozy pour cautionner la persécution de la femme adultère. Et tout cela en catimini, sans rien en laisser paraître.
C’est l’omerta, je vous dis, le black out, l’autocensure, le tabou des tabous.
Pour le cas où vous l’auriez oublié, il s’agit, via un test ADN, qu’un candidat à l’immigration démontre que ses enfants sont bien ses enfants et non ceux engendrés par quelque vil séducteur qui se serait perfidement glissé dans le lit de l’épouse de notre futur immigré.
Imaginons déjà la queue devant les labos africains et ce qui peut en découler d’humiliation pour notre président.
Tel que, par exemple, cette petite histoire de pure fiction que je vous livre :
Les Diop sont devant l’Institut Pasteur à Dakar.
- Ah ! Mais, Diop, mon cher mari, pourquoi m’obliger à amener mes 5 enfants à Pasteur ?
- Aminata, wy, defel dank ! (fais doucement !)C’est la France qui veut ça.
- La France ne veut rien, dé ! Tu ne dois pas faire douter les gens. Mon père te l’a dit.
S’en suit un attroupement d’une bonne vingtaine de personnes dont Diallo, le père de Mme Aminata Diop. Accompagné de trois anciens aux cheveux blancs, le père Diallo fouille dans les nombreuses poches de son boubou, et, la main tendue vers le ciel, brandit un document à l’entête de l’Institut Pasteur en s’écriant :
- Regardez tous : j’ai le test. Ma fille a bien 12 enfants avec cet homme. Pas 5 ni 7. Non : 12. Oui: le Diop, là ! La femme du président de France elle-même ne peut pas avoir ça !
Tout le monde s’esclaffe. Diop ne peut pas quitter l’Afrique sans emmener ses 7 neveux orphelins… On se demande si ces gens n’avaient pas lu mon papier «Cecilia Sarkozy est-elle à la maison ?» en pièce jointe ci-dessous pour ceux que cela intéresserait.
C’est l’omerta, je vous dis, le black out, l’autocensure, le tabou des tabous.
Pour le cas où vous l’auriez oublié, il s’agit, via un test ADN, qu’un candidat à l’immigration démontre que ses enfants sont bien ses enfants et non ceux engendrés par quelque vil séducteur qui se serait perfidement glissé dans le lit de l’épouse de notre futur immigré.
Imaginons déjà la queue devant les labos africains et ce qui peut en découler d’humiliation pour notre président.
Tel que, par exemple, cette petite histoire de pure fiction que je vous livre :
Les Diop sont devant l’Institut Pasteur à Dakar.
- Ah ! Mais, Diop, mon cher mari, pourquoi m’obliger à amener mes 5 enfants à Pasteur ?
- Aminata, wy, defel dank ! (fais doucement !)C’est la France qui veut ça.
- La France ne veut rien, dé ! Tu ne dois pas faire douter les gens. Mon père te l’a dit.
S’en suit un attroupement d’une bonne vingtaine de personnes dont Diallo, le père de Mme Aminata Diop. Accompagné de trois anciens aux cheveux blancs, le père Diallo fouille dans les nombreuses poches de son boubou, et, la main tendue vers le ciel, brandit un document à l’entête de l’Institut Pasteur en s’écriant :
- Regardez tous : j’ai le test. Ma fille a bien 12 enfants avec cet homme. Pas 5 ni 7. Non : 12. Oui: le Diop, là ! La femme du président de France elle-même ne peut pas avoir ça !
Tout le monde s’esclaffe. Diop ne peut pas quitter l’Afrique sans emmener ses 7 neveux orphelins… On se demande si ces gens n’avaient pas lu mon papier «Cecilia Sarkozy est-elle à la maison ?» en pièce jointe ci-dessous pour ceux que cela intéresserait.