Un homme armé d'un fusil qui venait d'agresser Jean Picarel, le maire de Graulhet (Tarn) dans son bureau a été mortellement blessé par la police mardi soir, a-t-on appris mercredi auprès du maire.
L'agresseur est décédé durant son transfert à l'hôpital par hélicoptère.
Une altercation avait tout d'abord opposé le maire dans son bureau avec son agresseur qui s'était enfui en courant avec son arme de chasse.
Selon plusieurs témoins, avant de se rendre à la mairie, le forcené aurait tenu des propos incohérents chez lui avant de sortir et de frapper à plusieurs portes voisines. Une femme de 84 ans qui lui avait ouvert aurait été violemment giflée par lui.
"Lorsque j'ai ouvert la porte de mon bureau je me suis trouvé face à un canon de fusil. L'individu devant moi était comme un chasseur partant à la chasse", a expliqué Jean Picarel à l'AFP.
Une bagarre avait opposé les deux hommes, l'agresseur du maire lui reprochant de lui avoir "fait perdre des milliards", a précisé M. Picarel.
"Il a réussi à me faire tomber au sol et m'a braqué le canon de l'arme entre les deux yeux. J'ai entendu deux déclics, puis plus rien", a-t-il précisé.
La procureure de la République de Castres Danièle Drouay-Ayral a saisi l'Inspection générale de la police (IGPN) pour établir les circonstances de l'affaire. "C'est une procédure normale en cas de mort d'homme", a-t-elle précisé ajoutant que le SRPJ était chargé de l'enquête.
Le préfet du Tarn et le sous-préfet de Castres se sont rendus sur les lieux mardi soir.
En février 2003, Jean Picarel avait été victime d'une tentative d'assassinat: le mari de la maire sortante, Jean-Jacques Rodet, avait tiré plusieurs coups de feu contre lui à son domicile, quelques jours après son élection.
Source: http://fr.news.yahoo.com/
L'agresseur est décédé durant son transfert à l'hôpital par hélicoptère.
Une altercation avait tout d'abord opposé le maire dans son bureau avec son agresseur qui s'était enfui en courant avec son arme de chasse.
Selon plusieurs témoins, avant de se rendre à la mairie, le forcené aurait tenu des propos incohérents chez lui avant de sortir et de frapper à plusieurs portes voisines. Une femme de 84 ans qui lui avait ouvert aurait été violemment giflée par lui.
"Lorsque j'ai ouvert la porte de mon bureau je me suis trouvé face à un canon de fusil. L'individu devant moi était comme un chasseur partant à la chasse", a expliqué Jean Picarel à l'AFP.
Une bagarre avait opposé les deux hommes, l'agresseur du maire lui reprochant de lui avoir "fait perdre des milliards", a précisé M. Picarel.
"Il a réussi à me faire tomber au sol et m'a braqué le canon de l'arme entre les deux yeux. J'ai entendu deux déclics, puis plus rien", a-t-il précisé.
La procureure de la République de Castres Danièle Drouay-Ayral a saisi l'Inspection générale de la police (IGPN) pour établir les circonstances de l'affaire. "C'est une procédure normale en cas de mort d'homme", a-t-elle précisé ajoutant que le SRPJ était chargé de l'enquête.
Le préfet du Tarn et le sous-préfet de Castres se sont rendus sur les lieux mardi soir.
En février 2003, Jean Picarel avait été victime d'une tentative d'assassinat: le mari de la maire sortante, Jean-Jacques Rodet, avait tiré plusieurs coups de feu contre lui à son domicile, quelques jours après son élection.
Source: http://fr.news.yahoo.com/