Le chef de l'Etat français, président en exercice du Conseil européen, a conclu sa visite de deux jours - la première d'un chef d'Etat occidental depuis cinq ans - par un sommet quadripartite: France, Syrie, Qatar et Turquie. Il en a profité pour lancer une mise en garde sur l'Iran.
"L'Iran prend un risque majeur à continuer le processus d'obtention du nucléaire militaire - ce qui est notre certitude - parce qu'un jour, quel que soit le gouvernement israélien, on peut se retrouver un matin avec Israël qui a frappé", a-t-il dit.
"Il ne s'agit pas de savoir si c'est légitime, intelligent ou pas. Qu'est-ce qu'on fera à ce moment-là? Ça sera la catastrophe. Il faut éviter cette catastrophe", a-t-il martelé.
Au cours de ce mini-sommet d'une heure ont été abordées, outre l'Iran, les négociations syro-israéliennes via la Turquie, ou encore les relations syro-libanaises.
Selon M. Sarkozy, "ce n'est pas une folie que de s'occuper de tous les conflits de la région en même temps. Je crois qu'au contraire c'est sage, car tous (...) se tiennent, sont interdépendants", a-t-il dit.
Source: Edicom
"L'Iran prend un risque majeur à continuer le processus d'obtention du nucléaire militaire - ce qui est notre certitude - parce qu'un jour, quel que soit le gouvernement israélien, on peut se retrouver un matin avec Israël qui a frappé", a-t-il dit.
"Il ne s'agit pas de savoir si c'est légitime, intelligent ou pas. Qu'est-ce qu'on fera à ce moment-là? Ça sera la catastrophe. Il faut éviter cette catastrophe", a-t-il martelé.
Au cours de ce mini-sommet d'une heure ont été abordées, outre l'Iran, les négociations syro-israéliennes via la Turquie, ou encore les relations syro-libanaises.
Selon M. Sarkozy, "ce n'est pas une folie que de s'occuper de tous les conflits de la région en même temps. Je crois qu'au contraire c'est sage, car tous (...) se tiennent, sont interdépendants", a-t-il dit.
Source: Edicom