Un débat serré est en cours au sein du gouvernement sur la généralisation du RSA. Expérimenté dans une trentaine de départements, ce nouveau dispositif destiné à favoriser le retour au travail des allocataires de minimas sociaux, est jugé coûteux alors que l'heure est aux économies budgétaires.
Martin Hirsch a confirmé dimanche que François Fillon lui proposait un milliard d'euros "pour commencer", alors qu'il évaluait l'enveloppe nécessaire entre deux et trois milliards d'euros.
Le Haut commissaire a suggéré que le RSA soit en partie financé par une taxe sur les entreprises qui utilisent leurs profits pour racheter leurs propres actions.
"Est-ce qu'il n'y a pas une source de financement supplémentaire quand il y a de très grands profits dans les entreprises, dont une partie sert à racheter leurs propres actions avec très peu d'impôts là-dessus?", a-t-il demandé sur Canal+.
"Ce qu'a proposé M. Hirsch, ce n'est pas une taxe, c'est une contribution volontaire", a affirmé lundi le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre.
Source: news.yahoo.com
Martin Hirsch a confirmé dimanche que François Fillon lui proposait un milliard d'euros "pour commencer", alors qu'il évaluait l'enveloppe nécessaire entre deux et trois milliards d'euros.
Le Haut commissaire a suggéré que le RSA soit en partie financé par une taxe sur les entreprises qui utilisent leurs profits pour racheter leurs propres actions.
"Est-ce qu'il n'y a pas une source de financement supplémentaire quand il y a de très grands profits dans les entreprises, dont une partie sert à racheter leurs propres actions avec très peu d'impôts là-dessus?", a-t-il demandé sur Canal+.
"Ce qu'a proposé M. Hirsch, ce n'est pas une taxe, c'est une contribution volontaire", a affirmé lundi le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre.
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