Le quotidien gouvernemental "El Moudjahid", qui reflète généralement les positions officielles de l'Algérie, note dans un commentaire en première page que "la cohabitation algéro-française est née d'un passé que ni les français, ni les algériens ne peuvent occulter. Il en découle pour tous un devoir de mémoire qui se fonde avant tout sur la solidarité des générations qui se succèdent et qui fait que leur fils endossent les dettes de leur pères comme savent exprimer leur reconnaissance à l'égard de tous ceux qui ont contribué au salut de leurs pays".
Le journal "L'Expression" semble plus adhérer à la vision du président français en proposant à Constantine de se tourner vers l'avenir et "dépasser les rancoeurs du passé et ses ressentiments pour en tirer des enseignements utiles qui éclaireront le futur commun"
Pour sa part, "Liberté" dans un article intitulé "le jeu d'équilibre de Sarkozy" note que "des excuses de la France, il faut peut être repasser, du moins de la bouche de Sarkozy cette fois-ci et même ne plus y songer() il est vrai que le président français est revenu avec une certaine insistance sur le système colonial dans un réquisitoire qui met admirablement les distances de la France avec le repentance".
"El Watan" tire, lui, un bilan plutôt négatif de la visite dans un article intitulé "sur goût d'inachevé" et estime que "encore une fois de plus les deux pays ont raté une occasion sérieuse de dépasser les clivages historiques qui pèsent sur leurs relation".
Plus critique la presse arabophone, à l'image du quotidien "Al Bilad" (proche des islamistes) qui qualifie le discours de Sarkozy à Constantine devant les étudiants de "provocation, pour recevoir ensuite en grandes pompes les harkis à l'Elysée".
"Al Khabar" tout en faisant ressortir la dimension économique de cette visite avec "la cagnotte de cinq milliards d'euros de contrats décrochés par les entreprises françaises" reproche au président français de "mettre sur un pied d'égalité dans son discours la victime et le bourreau".
Source: http://fr.news.yahoo.com/
Le journal "L'Expression" semble plus adhérer à la vision du président français en proposant à Constantine de se tourner vers l'avenir et "dépasser les rancoeurs du passé et ses ressentiments pour en tirer des enseignements utiles qui éclaireront le futur commun"
Pour sa part, "Liberté" dans un article intitulé "le jeu d'équilibre de Sarkozy" note que "des excuses de la France, il faut peut être repasser, du moins de la bouche de Sarkozy cette fois-ci et même ne plus y songer() il est vrai que le président français est revenu avec une certaine insistance sur le système colonial dans un réquisitoire qui met admirablement les distances de la France avec le repentance".
"El Watan" tire, lui, un bilan plutôt négatif de la visite dans un article intitulé "sur goût d'inachevé" et estime que "encore une fois de plus les deux pays ont raté une occasion sérieuse de dépasser les clivages historiques qui pèsent sur leurs relation".
Plus critique la presse arabophone, à l'image du quotidien "Al Bilad" (proche des islamistes) qui qualifie le discours de Sarkozy à Constantine devant les étudiants de "provocation, pour recevoir ensuite en grandes pompes les harkis à l'Elysée".
"Al Khabar" tout en faisant ressortir la dimension économique de cette visite avec "la cagnotte de cinq milliards d'euros de contrats décrochés par les entreprises françaises" reproche au président français de "mettre sur un pied d'égalité dans son discours la victime et le bourreau".
Source: http://fr.news.yahoo.com/