Les débats ont été houleux à Strasbourg, le week-end dernier, aux journées parlementaires de l'UMP, Journées de grogne confortées par un climat socio-politique détestable.
Face à la grogne des députés contre la stratégie d'ouverture de Nicolas Sarkozy et contre la réforme des institutions, Jean-François Copé et Patrick Devedjian ont dû jouer les modérateurs. Un comble pour ces deux fidèles serviteurs du candidat de l'UMP remerciés à minima après la campagne présidentielle.
Quand le premier doit se contenter de la présidence du groupe UMP et finir ses fins de mois grâce à ses revenus d'avocat d'affaires, l'autre, qui espérait au moins la présidence des Hauts-de-Seine, s'est vu gratifier de la charge de secrétaire général de l'UMP… Patrick Devedjian était même le premier à tacler l'ouverture au printemps dernier.
Aujourd'hui, il se voit contraint de la défendre face à un Josselin de Rohan, sénateur du Morbihan, très remonté. En déclarant que « les courants d'air proviennent de ce qu'il y a trop d'ouverture », le sénateur vient grossir les rangs des mécontents, déjà forts de quelques frondeurs de la première heure, tels Arlette Gosskost, député du Haut-Rhin, ou Lionel Lucas, le député des Alpes-Maritimes.
Source Marianne en pièce jointe ci dessous pour lire la suite:
Face à la grogne des députés contre la stratégie d'ouverture de Nicolas Sarkozy et contre la réforme des institutions, Jean-François Copé et Patrick Devedjian ont dû jouer les modérateurs. Un comble pour ces deux fidèles serviteurs du candidat de l'UMP remerciés à minima après la campagne présidentielle.
Quand le premier doit se contenter de la présidence du groupe UMP et finir ses fins de mois grâce à ses revenus d'avocat d'affaires, l'autre, qui espérait au moins la présidence des Hauts-de-Seine, s'est vu gratifier de la charge de secrétaire général de l'UMP… Patrick Devedjian était même le premier à tacler l'ouverture au printemps dernier.
Aujourd'hui, il se voit contraint de la défendre face à un Josselin de Rohan, sénateur du Morbihan, très remonté. En déclarant que « les courants d'air proviennent de ce qu'il y a trop d'ouverture », le sénateur vient grossir les rangs des mécontents, déjà forts de quelques frondeurs de la première heure, tels Arlette Gosskost, député du Haut-Rhin, ou Lionel Lucas, le député des Alpes-Maritimes.
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