Mercredi, la presse française et étrangère a n’a pas eu à choisir. Comme pour se prémunir d’une nouvelle affaire Rasmussen, l’ensemble des médias a exhumé le pan le plus terne de la carrière de Schumacher. Le coureur a pris mercredi le départ de la 5e étape «en jaune pâle», écrit Philippe Brunel dans «L’Equipe». Avant de s’étaler sur ses précédents contrôles positifs, il évoque «une performance accueillie – pourquoi le nier – avec pas mal de scepticisme».
Même dans son pays d’origine, le coureur allemand n’est pas présenté comme un vainqueur propre. «Bild» revient longuement sur son passé pharmaceutique et semble déjà redouter son éventuel triomphe à Paris… En Espagne, «El Pais» relaie les propos du médecin de la Caisse d’Epargne: «Ce n’était pas un chrono propice à un un tel écart. Il a roulé comme une fusée.»
Quant à la presse sportive italienne, qui traite généralement le Tour d’un œil très distant, elle reste beaucoup plus mesurée. Le quotidien sportif évoque «trois dérapages avant d’être sacré roi». Un clin d’œil aux tifosi de la Scuderia Ferrari qui devaient être les seuls à apprécier l’épreuve de vitesse de l’autre Schumi.
Source: 20 minute.
Même dans son pays d’origine, le coureur allemand n’est pas présenté comme un vainqueur propre. «Bild» revient longuement sur son passé pharmaceutique et semble déjà redouter son éventuel triomphe à Paris… En Espagne, «El Pais» relaie les propos du médecin de la Caisse d’Epargne: «Ce n’était pas un chrono propice à un un tel écart. Il a roulé comme une fusée.»
Quant à la presse sportive italienne, qui traite généralement le Tour d’un œil très distant, elle reste beaucoup plus mesurée. Le quotidien sportif évoque «trois dérapages avant d’être sacré roi». Un clin d’œil aux tifosi de la Scuderia Ferrari qui devaient être les seuls à apprécier l’épreuve de vitesse de l’autre Schumi.
Source: 20 minute.