Le start-up, l’endroit idéal pour devenir pluridisciplinaire malgré les risques
Dans une jeune pousse, le jeune talent a l’opportunité de grandir vite. D’après la remarque de Hugues Truttman, recruteur pour les acteurs du numérique : « Un informaticien qui débute en startup progresse plus vite et va plus loin dans sa carrière qu’un autre qui choisit une structure plus installée. »
En revanche, en termes de salaires, durant le stage, on ne touche le plus souvent que le minimum syndical et en ce qui concerne les premiers emplois, on compte sur une décote de 20 à 30% par rapport aux salaires au sein des grands groupes. L’accès à un comité d’entreprise et encore moins à des avantages en nature est presque inenvisageable. En effet, une startup ne dispose pas trop de moyens, par contre les entrepreneurs sont toujours à la recherche des employés engagés et n’hésitent pas à récompenser les bonnes performances.
Face à cette situation, travailler en start-up se révèle un véritable challenge et des risques sont bien présents. La plupart des jeunes pousses n’arrivent pas à survivre à 5 ans. Avant de se lancer, il est conseillé de bien se renseigner sur l’entreprise, à propos de son marché et son contexte et d’avoir une idée sur la solidité du projet. Dans ce cadre, une startup travaillant déjà avec des investisseurs et accueillant des actionnaires de renom à son capital a plus de chance de survie que celle en phase projet.
Les motivations de rejoindre une startup
Dans une startup, les profils généralistes et multidisciplinaires ayant l’esprit d’entreprise, de flexibilité et d’adaptabilité sont à l’honneur, contrairement à un grand groupe, qui est en quête d’une compétence spécifique pour prendre en charge une mission bien déterminée.
Travailler au sein d’une start-up, c’est jouir la liberté procurée par les petites structures, occuper un poste menant à la polyvalence, mettre au plus haut le défi de la création d’entreprise, ne pas avoir peur de l’échec et avoir l’audace d’entreprendre ses idées.
Dans une jeune pousse, le jeune talent a l’opportunité de grandir vite. D’après la remarque de Hugues Truttman, recruteur pour les acteurs du numérique : « Un informaticien qui débute en startup progresse plus vite et va plus loin dans sa carrière qu’un autre qui choisit une structure plus installée. »
En revanche, en termes de salaires, durant le stage, on ne touche le plus souvent que le minimum syndical et en ce qui concerne les premiers emplois, on compte sur une décote de 20 à 30% par rapport aux salaires au sein des grands groupes. L’accès à un comité d’entreprise et encore moins à des avantages en nature est presque inenvisageable. En effet, une startup ne dispose pas trop de moyens, par contre les entrepreneurs sont toujours à la recherche des employés engagés et n’hésitent pas à récompenser les bonnes performances.
Face à cette situation, travailler en start-up se révèle un véritable challenge et des risques sont bien présents. La plupart des jeunes pousses n’arrivent pas à survivre à 5 ans. Avant de se lancer, il est conseillé de bien se renseigner sur l’entreprise, à propos de son marché et son contexte et d’avoir une idée sur la solidité du projet. Dans ce cadre, une startup travaillant déjà avec des investisseurs et accueillant des actionnaires de renom à son capital a plus de chance de survie que celle en phase projet.
Les motivations de rejoindre une startup
Dans une startup, les profils généralistes et multidisciplinaires ayant l’esprit d’entreprise, de flexibilité et d’adaptabilité sont à l’honneur, contrairement à un grand groupe, qui est en quête d’une compétence spécifique pour prendre en charge une mission bien déterminée.
Travailler au sein d’une start-up, c’est jouir la liberté procurée par les petites structures, occuper un poste menant à la polyvalence, mettre au plus haut le défi de la création d’entreprise, ne pas avoir peur de l’échec et avoir l’audace d’entreprendre ses idées.