Selon le ministère, 31 rebelles ont été tués au cours des dernières 24 heures dans des combats à Mannar, Jaffna et Wanni (nord). Au total, ce sont 296 rebelles tamouls qui ont été tués dans les combats depuis le 1er décembre, selon les autorités.
Les chiffres du ministère de la Défense n'ont pas été commentés par les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) alors que dans la guerre qu'ils se livrent depuis 35 ans, les Tigres et l'armée ont pour habitude d'avancer des bilans contradictoires et invérifiables.
Le Sri Lanka, une île de 20 millions d'habitants, ne parvient pas à mettre fin au plus vieux conflit en Asie, une guerre oubliée où alternent phases de combats et périodes d'accalmies.
Un cessez-le-feu a bien été conclu en février 2002, sous l'égide de la Norvège, mais il a volé en éclats depuis l'arrivée au pouvoir fin 2005 du président Mahinda Rajapakse, un nationaliste partisan de la méthode forte contre ceux qu'il qualifie de "terroristes".
Les Tigres tamouls, hindouistes, se battent pour l'indépendance du nord et du nord-est du Sri Lanka, un pays peuplé à 75% de Cinghalais bouddhistes.
Les chiffres du ministère de la Défense n'ont pas été commentés par les Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) alors que dans la guerre qu'ils se livrent depuis 35 ans, les Tigres et l'armée ont pour habitude d'avancer des bilans contradictoires et invérifiables.
Le Sri Lanka, une île de 20 millions d'habitants, ne parvient pas à mettre fin au plus vieux conflit en Asie, une guerre oubliée où alternent phases de combats et périodes d'accalmies.
Un cessez-le-feu a bien été conclu en février 2002, sous l'égide de la Norvège, mais il a volé en éclats depuis l'arrivée au pouvoir fin 2005 du président Mahinda Rajapakse, un nationaliste partisan de la méthode forte contre ceux qu'il qualifie de "terroristes".
Les Tigres tamouls, hindouistes, se battent pour l'indépendance du nord et du nord-est du Sri Lanka, un pays peuplé à 75% de Cinghalais bouddhistes.