France
14/07/2010 11:03

Soupçonné d'avoir poignardé son père

Un adolescent de 17 ans a été placé en garde à vue mardi à Poitiers. Il est soupçonné d'avoir tué son père à coups de sabre japonais alors qu'il ne l'avait pas vu depuis dix ans, a annoncé mercredi le parquet.



Soupçonné d'avoir poignardé son père avec un sabre
Un adolescent de 17 ans a été placé en garde à vue mardi à Poitiers. Il est soupçonné d'avoir tué son père à coups de sabre japonais alors qu'il ne l'avait pas vu depuis dix ans, a annoncé mercredi le parquet. Le père, venu des Vosges pour renouer avec son fils qui vit dans une famille d'accueil à Neuville-de-Poitou (près de Poitiers), a été retrouvé dans une chambre du pavillon, un sabre japonais planté dans le thorax. Le fils s'est enfui du pavillon et a pris une automobiliste en otage pendant près de trois quarts d'heure lundi après-midi. Une fois relâchée, c'est elle qui a donné l'alerte permettant aux policiers d'interpeller le jeune homme.(20minutes)

Un jeune homme de 18 ans poignardé à mort après une fête dans l'Hérault
Un jeune homme de 18 ans a été poignardé à mort dans la nuit de mardi à mercredi en marge d'une fête de village à Beaulieu, près de Lunel (Hérault), a-t-on appris mercredi auprès du groupement de gendarmerie de l'Hérault. Le jeune, originaire d'un village voisin, a été atteint de un ou plusieurs coups de couteau à la suite d'une bagarre qui a éclaté vers 4 heures du matin entre jeunes gens fortement alcoolisés, ont précisé les gendarmes qui n'ont procédé pour l'instant à aucune interpellation. "Nous sommes en phase de recueil de témoignages", a déclaré à l'AFP le commandant du groupement départemental de gendarmerie de l'Hérault, le colonel François Agostini, selon qui les enquêteurs n'avaient pour l'instant "aucun élément sur le nombre de protagonistes ni sur les circonstances de la bagarre".(lepoint)

Un défilé du 14-Juillet aux couleurs africaines
Le défilé du 14 juillet a démarré mardi à Paris avec l'arrivée du président Nicolas Sarkozy, place de l'Étoile, pour passer les troupes en revue, qui ont ensuite défilé sur les Champs-Elysée. Sous un ciel couvert, le chef de l'État a pris place à bord d'un véhicule de commandement. Il a salué de la main les soldats qui s'apprêtaient à défiler, et la foule massée sur les trottoirs, avant d'aller rejoindre, place de la Concorde, la tribune présidentielle, où se trouvaient les chefs d'État africains de treize anciennes colonies françaises, invités d'honneur de cette cérémonie pour le 50e anniversaire de leur indépendance. À la tribune, Nicolas Sarkozy était entouré des présidents camerounais et burkinabé, Paul Biya et Blaise Compaoré. Son épouse, Carla, a à ses côtés Chantal Biya. Le défilé aérien, conduit par les Alpha Jet de la Patrouille de France, a ouvert le bal avec un point particulier cette année : la participation d'une vingtaine d'appareils de l'aéronavale qui célèbre son centième anniversaire. Par détachement d'une trentaine d'hommes, les treize nations africaines ont commencé à battre le pavé de la "plus belle avenue du monde" dans l'ordre alphabétique : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Madagascar, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et Togo. Conviée, la Côte d'Ivoire était représentée par son ministre de la Défense mais ne participe pas au défilé.(lepoint)

Source: Yahoo News

Victor Nouioua



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