Dans un communiqué rendu public mardi, les procureurs estiment que le rejet par les juges des trois inculpations pour génocide était une erreur qui constitue "une charge se rapportant à l'administration de la preuve qui est inappropriée à ce stade de la procédure".
Le 4 mars, la Cour pénale internationale (CPI) avait lancé un mandat international contre l'homme fort de Khartoum, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour (ouest), où la guerre civile a fait au moins 300.000 morts et 2,7 millions de déplacés.
Mais les juges avaient par la suite estimé que les preuves étaient insuffisantes pour l'inculpation pour génocide du dirigeant soudanais.
Omar el-Béchir ne reconnaît pas la compétence de la CPI et les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine réunis vendredi en Libye ont réaffirmé qu'ils n'arrêteraient ni n'extraderaient le président soudanais s'il venait à se rendre dans leur pays.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Le 4 mars, la Cour pénale internationale (CPI) avait lancé un mandat international contre l'homme fort de Khartoum, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité au Darfour (ouest), où la guerre civile a fait au moins 300.000 morts et 2,7 millions de déplacés.
Mais les juges avaient par la suite estimé que les preuves étaient insuffisantes pour l'inculpation pour génocide du dirigeant soudanais.
Omar el-Béchir ne reconnaît pas la compétence de la CPI et les chefs d'Etat et de gouvernement de l'Union africaine réunis vendredi en Libye ont réaffirmé qu'ils n'arrêteraient ni n'extraderaient le président soudanais s'il venait à se rendre dans leur pays.
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